Transfiguration Du Réel

Les 3 dimensions : Rationnelle, Symbolique & Imaginaire On communique sur l’ensemble ou sur une partie du positionnement. Le positionnement est constitué de deux types d’éléments : ⋅ ⋅ Factuels : il s’agit des éléments concrets, de caractéristiques réelles et objectives que l’on veut que le public connaisse FAITS Immatériels : ils définissent la personnalité du PS, ils dérivent d’éléments factuels et font entrer dans l’univers du PS (jeune, masculin, sérieux, décontracté,…) Exemple : La Smart est plus

Il n’y a plus de distinction claire entre l’univers de la diégèse et l’univers réel. La vraisemblance produit un oubli provisoire, pour faire corps par l’imagination avec la diégèse. Cette attitude suppose la mimesis comme technique dominante de l’art. b) Chez Aristote dans la Poétique, la mimésis est la représentation d’une fiction telle qu’elle serait si elle était réelle. Elle fait donc appel à la nature et au réel. Dans le théâtre l’identification, et donc le fait de se mettre à la place des

sur un principe de crescendo : s'entremêlent les thèmes du chant et de l’ivresse du sujet lyrique, puis du fleuve même, à la faveur d’une personnification. La montée de l’ivresse correspond à une amplification du chant et à un mélange de sensations réelles et de souvenirs de légendes, dans une confusion quasi merveilleuse, mais où affleurent discrètement quelques notes dysphoriques.Le deuxième mouvement est constitué d’un alexandrin lapidaire, isolé typographiquement du reste du poème ; celui-ci se

particuliers en fonction de ses traits distinctifs, il existe néanmoins certaines directions d’étude qui se révèlent pertinentes pour de nombreux textes : la tonalité dominante, le traitement original d’un thème connu , la transformation ou la transfiguration du réel ou du quotidien, le caractère symbolique d’un élément essentiel, la fonction du texte. Plus spécifiquement s’il s’agit d’un récit : le rythme et la progression du récit, le rôle de la focalisation.. Si le texte est une description ou un

après que le mot ambivalent « tronc » a rappelé que c’est sa verticalité physique qui le fait ressembler à un homme, que les mots « droit » et « debout » représentent une verticalité morale, le signe de sa dignité : le poème exhibe ainsi la transfiguration progressive qu’il met lui-même en oeuvre. La personnification du pin est d’emblée (avec sa « plaie » au vers 4) et constamment associée à l’idée de souffrance et de dommage : le pin est humain en tant que victime. Dans le deuxième quatrain

XIXème siècle est le chef de fil du naturalisme. Le naturalisme est un courant littéraire issu du réalisme. Le réalisme a pour optique de représenter le réel dans son exacte vérité et ainsi représenter la société à travers des personnages issus d’une classe sociale basse. Le réalisme est caractérisé par 3 éléments : la représentation exacte du réel, l’anti-héros : le personnage est médiocre ainsi que l’effacement du narrateur derrière le personnage. A la différence du réalisme, le naturalisme observe

Théophile Gautier, « Le Pin des Landes » Commentaire Si la seconde génération romantique, celle qui naquit autour de 1810 et que caractérise, selon Paul Bénichou, son « désenchantement », affrontée à l’hostilité du réel, renonça aux prétentions prophétiques de ses aînés, elle n’en conserva pas moins une très haute idée du rôle de l’artiste. « Le Pin des Landes », publié dès 1840 dans La Presse avant d’être inséré dans España en 1845, en témoigne : Théophile Gautier y représente et y manifeste

noblesse. Mais ces derniers, puis, et surtout, ZOLA entraînent le réalisme dans la voie du naturalisme, qui se soucie non seulement de description, mais de connaissance, est imbu de la méthode expérimentale, et s'attache aux aspects les plus sombres du réel. Le roman naturaliste sera très attaqué et, en 1887, après la publication de la Terre, de ZOLA, le Manifeste des Cinq dénoncera l'immondice de la littérature zoliste. Cette protestation au nom de la dignité de l'art, nous la trouvons déjà en 1879

traversé les siècles si elle n'avait pas été la transposition de cette autre idée qui consiste à éviter d'entrer en contact direct, charnel, avec une matière ressentie comme à l'origine de toute souillure, cela devant s'entendre de façon à la fois réelle et symbolique et la souillure pouvant être morale autant que physique. Les gants permettent aux mains de rester propres et deviennent ainsi symbole de pureté. Mais peut-on parler du gant sans évoquer la main ? Cela me parait injuste, car la main

plus complexe, et l'interprétation est plus problématique. B. Les figures du poète et l'expérience de la ville. 1. Un "je" sans image aux milles images. L'utilisation du "je" Baudelairien est spécifique ; Ce n'est pas que la transfiguration par l’écriture d’une vie déchirée ou l’expression de la sensibilité d’un homme meurtri. En effet, le "moi" chez Baudelaire est plus torturé que chez ses semblables, et donc plus intéressant pour le lecteur ; dans les fleurs du mal, ce "moi" est