Transfiguration Du Réel

dans la nature. La fantaisie s’y déploie librement. Le récit fantastique, au contraire, aime nous présenter, habitant le monde réel où nous sommes, des hommes comme nous, placés soudainement en présence de l’inexplicable. Alors que le féerique place hors du réel un monde où l’impossible, partant le scandale, n’existent pas ; le fantastique se nourrit des conflits du réel et du possible. Mais, à côté du merveilleux rose, il existe un merveilleux noir où fantastique et féerique se rejoignent. Nous

univers il y a l'homme qui n'est jamais immobile devant lui. Il est possible d'extraire de ce spectacle certaines caractéristiques et de les intégrer dans un image, non pas représentation, mais suggestive. Ce qui est sur l'écran plastique n'est ni le réel, ni le pensé c'est un signe. C'est ) dire un système de lignes et de tâches intermédiaires qui permet le truchement, laisse l'artiste attirer l'attention du spectateur sur un point du spectacle éternellement mobile de l'univers. » Pierre FRANCASTEL

Nature. Puis le deuxième quatrain se transforme cette fois en une allocution à Hermès. Enfin, les deux derniers tercets mettent en exergue la transmutation du réel par le regard poétique. Plan d’ensemble : I – L’allocution à la Nature (1er quatrain : vers 1 à 4). II – Une allocution à Hermès (2nd quatrain : vers 5 à 8). III – La transmutation du réel par le regard poétique du poète (2 tercets : vers 9 à 14). ● Synthèse du développement 1 Origine du mot : du latin médiéval alchemia, issu de l’arabe « (al)kîmiya

parfois dormir, mais la sorcière reste toujours en éveil. Elle détient le secret de la sagesse, des sciences magiques et de l'amour universel... Il faut savoir que la magie n'est pas un art qui se limite à jeter ou fabriquer des sorts. C'est une transfiguration que l'univers opère sur la sorcière, c'est une relation secrète avec le féminin et le masculin sacré ! Il n'y a rien de plus magique que la présence du sacré dans notre vie. Cela change tout et nous transforme ! C'est cette relation exceptionnelle

Andromaque de Racine. * La poésie est également liée à la musique, c’est l’art du rythme, de la sonorité, de la mesure. * C’est une exploration du langage, par l’utilisation des images, des figures de style, des connotations, ⋄ c’est une transfiguration du réel. I La versification Le vers 1°) Le vers régulier Le mètre du vers : Alexandrin : 12 syllabes. ex : « je/ fais/ sou/ vent/ ce/ rêve/ é/ tran/ ge et/ pé/ né/ trant » de Paul Verlaine 1 2 3 4 5 6

de la création poétique mais aussi comme protecteur de la nature. Eveille dans les champs les vers comme les roses Verbes mélioratifs. Lexique de la nature et de l’être humain. Anthitese vers/rose + Soleil sujet de tout les verbes on assiste a une réelle célébration des bienfaits et pouvoirs du soleil. Le mot “vers” est polysémique puisque il fait référence au “vers”, les asticots, mais aussi au “vers” que créé le poète. fait s’évaporer les soucis vers le ciel // + allitération en s Le soleil, en

de métamorphose féerique. Étymologiquement Le pont est un ouvrage, un lien qui relie deux réalités séparées mais qui symbolise également peut-être un entre-deux entre une vision ordonnée et une vision chaotique de la réalité, ou peut être un entre-deux entre le réel et l'abstrait, ou, en d'autres termes, entre l'immanence et la transcendance. 1-Un tableau impressionnisme et symbolisme Le regard du peintre Dans "Les Ponts" Rimbaud use de termes relevant du registre pictural donnant au lecteur l'impression

héroïques, exceptionnels. Bien des éléments concourent à l’explosion visionnaire finale : les feux de la forge, endroit chargé de mystère, sont propices, par leur éclat intermittent et leur jeu d’ombres et de lumière à une transfiguration des formes. Dès lors, on quitte le réel pour l’exagération épique. L’hyperbole « quand il prenait son élan, on voyait des montagnes de chair roulant et durcissant sur la peau » introduite cette exagération et son cou est comparé «à une colonne » ou une statue

» (l1), et cela fait voir le peuple aux yeux du lecteur différemment, aucun personnage ne s’en détache comme chez Hugo. C’est pourquoi il est comparé à une «rivière », à un fleuve refoulée certes imposant et emportant tout sur son passage mais sans réel but. De plus, le point de vue des personnages, celui de Hussonnet en particulier, renforce cette impression que le peuple ne fait que céder à une impulsion destructrice, qu’elle ne défend pas d’idée qu’est celle de rétablir la justice mais qu’elle

retour de la rime en « olles », échos sonores. Strophe 3 « glacé » / « passé » (V5-V6) Scène d’un autre temps, d’un autre monde ? Le lecteur est donc plongé dans un rôle inquiétant. C. Une atmosphère lugubre. III. La laideur en beauté, transfiguration. La sublimation par l’écriture et par l’art : les leçons du poème. A. Une idéalisation esthétique de la charogne. Progression de la description : d’abord réaliste S1 à S6 puis un autre monde (thèmes neutres) S7 à S8. S6 et S7 tout le cosmos