Tutelle Et Curatelle Cas Pratique

FICHE 13 : Le contrat Le contrat, ou convention, est l’accord de volonté intervenu entre deux ou plusieurs personnes en vue de créer, modifier, transmettre ou éteindre un droit subjectif. En pratique, on emploie indifféremment le terme contrat ou convention. Le contrat est unilatéral lorsqu’une ou plusieurs personnes sont obligées envers une ou plusieurs autres, sans que de la part de ces dernières, il y ait d’engagement (art. 1103 du Code civil). Le contrat est synallagmatique ou bilatéral lorsque

cour d'appel de paris du 30 avril 1963 => arrêt Dame-Barbier Pourquoi ? Car la pression sur la volonté portant atteinte à la liberté matrimoniale est trop forte. L'individu perd ses moyens d'existence. Exception : la clause est justifiée dans des cas exceptionnels ou la nécessité des fonctions l'exige impérieusement. Exemple : Assemblée plénière de la cour de cassation du 19 mai 1978 arrêt publié au Dalloz 1978 page 561. Un professeur enseigne dans un lycée catholique s'est divorcée puis remariée

Sociétés. Cette immatriculation n'est pas obligatoire, mais elle est nécessaire pour obtenir la personnalité morale. Cette société est dite "occulte" quand les associés ont choisi de ne pas la révéler aux tiers. Elle est dite "ostensible" dans le cas contraire. Les sociétés en participation sont utilisées dans deux séries d'hypothèses, savoir : o Elles constituent d'abord le moyen de financer de manière occulte un gérant qui réalise une opération pour le compte de plusieurs personnes qui désirent

davantage évalué que si il s’agissait d’une chose toute simple. Une personne par destination n’est pas une personne, c’est une chose à usage de la personne. Tout être humain né vivant jouit de la personnalité juridique mais ça n’a pas toujours été le cas : l‘esclave était selon Carbonnier un non sujet de droit dépourvue de personnalité juridique. Lors de l’adoption du code civil en 1804, l’esclavage s’est maintenu dans les colonies françaises. Il a fallu attendre 1848 pour que l’esclavage soit aboli

obligations qui exceptionnellement sont dépourvues de sanctions juridiques, le créancier n’a pas de moyens de contrainte à l’égard de son débiteur. Si l’obligation naturelle est une obligation juridique car si elle est exécutée volontairement dans ce cas cette exécution sera valable et produire les mêmes effets que l’exécution d’une obligation civile. EX : ce sont des obligations qui répondent à un devoir moral (obligation naturelle) : obligation alimentaire qui existe entre frères et sœurs.

j’achète pour vendre}, par accessoire {accessoire à l’activité principale du commerçant}, ou bien par la forme {la forme de l’acte est commercial : lettre de change, société commercial}. NB : dans un cas pratique on doit se rappeler de l’identité des contractants. La preuve est libre en Droit commercial. En cas de litige (acte mixte) le particulier aura le choix entre le tribunal civil ou commercial, par contre si le demandeur est commerçant, il doit porter plainte dans un tribunal civil. Un acte de commerce

Enfin, il est impératif. L’article 1388 du CC nous dit que les époux, ne peuvent déroger ni aux droit ni aux devoirs qui résultent pour eux du mariage. Ils ne peuvent déroger aux règles de l’autorité parentale, de l’administration légale ou de la tutelle. Toutes les règles relatives à la filiation, sont d’ordre public. Aucun type de divorce, autre que ceux prévus par la loi, n’est possible. Toutefois nous pouvons apporter quelques atténuations, le rôle de la volonté, donc des conventions, d’accroît

droit de l'église) quant à lui valorise le mariage. C'est une union indissoluble mais il existe das cas d'annulation facilement consacré, ainsi la non consommation. Le divorce était prohibé. Les fiançailles si elles était rompus entraînaient l'excommunion. Sous la révolution il y a bouleversements des règles connues jusque là. Le mariage devient une union civile. Le divorce existe mais pour des cas très farfelus, ainsi l’incompatibilité des mœurs, l'adoption est admise encore fallait il avoir plus

jurisprudence : Règle qui ressort d’un ensemble de décisions concordantes rendues par une juridiction sur un même problème de Droit. Règle posée par la Cour de Cassation mais versatile. La jurisprudence est valable au moment où on statut même si le cas est antérieur. Elle donne l’interprétation d’un article 6. La doctrine : Le mot doctrine a un sens spécifique ; c'est l'ensemble des opinions (écrits, commentaires, théories...) données par les universitaires et autres juristes. La doctrine

elle peut servir de source de droit. Elle existe, soit car une loi est imprécise ou obscur, dans se cas le juge va devoir déterminer le sens du texte, soit car il n’existe aucun texte dans se cas le juge va devoir « l’inventer » car il est obligé de trancher. Il existe une tendance générale pour les tribunaux à suivre les jurisprudences précédentes afin de ne pas voir leur décision casser par la cour de cassation. Section 3 : Domaine d'application de la loi dans le temps. Quand un texte