Type 88

data=Dataset) summary(mod) y=poids x=taille library(ellipse) plot(ellipse(mod,c(1,2)),type="n") grid() abline(h=mod$coef[2],lty=2,col="blue",cex=0.7) abline(v=mod$coef[1],lty=2,col="blue",cex=0.7) points(ellipse(mod,c(1,2)),type="l",lwd=3) points(0,0,col=1,cex=2,pch=20) points(mod$coef[1],mod$coef[2],pch=18,cex=3,col="red") ### jack <- rstudent(mod) ta=qt(1-(0.05/2/34),31) plot(jack,ylab="Résidus

cliniques privées qui envoient souvent des analyses en urgence. - réalisation d’expériences selon un protocole défini par un chercheur. Ils ont également pour but : - présentation des résultats : utilisation des outils statistiques (moyenne, écart-type, coefficient de variation …), maîtrise de logiciel comme Excel, Word. - critique éventuelle des résultats et recherche de l’élément responsable de l’obtention de résultats inexploitables. - maintenance des appareils - formation technique des

ou quantitatives. La série statistique relative au couple de variables (X ; Y) est représentée dans un tableau. Tableau élémentaire : Numéro de l'individu 1 2 i n Variable X x1 x2 Variable Y y1 y2 xi yi xn yn On étudiera ce type de tableau lorsque les variables sont quantitatives dans le cours sur la corrélation. Tableau de contingence : On a regroupé les individus qui ont les mêmes caractéristiques par rapport aux deux variables X et Y. Dans le tableau de contingence

production • caractéristique de la qualité du « produit » • échantillons indépendants • statistique « W » estimée sur l’échantillon, indicateur de qualité – Si le processus est sous contrôle, alors • W suit une loi de probabilité de moyenne et écart-type connus ou estimés. • Définition de la CC de Shewhart UCL = µW + kσ w  CL = µW  LCL = µ + kσ W w  2009 3 J Gaudart, LERTIM, Aix-Marseille Université Forme Générale Données Qualitatives Données Quantitatives p chart c chart 2

placer votre argent sans risque. La formule de calcul du ratio de Sharpe est la suivante : : ratio de Sharpe d'un Portefeuille par exemple : Rendement du portefeuille : Rendement de l'avoir sans risque : Écart-type du portefeuille (risque du portefeuille). Il ressort immédiatement de cette formule que : -Tout ratio de Sharpe négatif indique un placement dont le rendement a été inférieur à celui de l'avoir sans risque ; -

spectraux : O, B, A, F, G, K et M. O étant le plus chaud et M le plus froid. Les types spectraux peuvent ensuite être subdivisés en utilisant un suffixe numérique de 0 à 9; où 0 est le plus chaud et 9 le moins chaud. Ainsi le Soleil est une étoile de type spectral G2. Sa couleur se déduisant de sa température, le Soleil est jaune. En mesurant la brillance apparente du Soleil et sa distance par rapport à la Terre, on en déduit la quantité de lumière qu'elle émet, donc sa luminosité. Sept classes de

La courbe associée à la distribution : La courbe cumulée associée à la distribution : [pic] Sur le troisième histogramme La courbe cumulée associée à la distribution : La courbe cumulée d’une distribution normale ayant un écart-type et une moyenne identiques. 2. S-Eau-S !!! A) Testons l’hypothèse : Étape 1 : formulation de l’hypothèse H0= x1=x2 et Ha= x2≠ x1 Étape 2 : choix de l’estimateur On fera le test approprié sur Z. Etape 3 : la marge d’erreur

est une variable aléatoire normalement distribuée. La note moyenne est de 70 et l'écart type est de 10. La corporation des comptables décide que seulement 25% des participants seront accrédités par cet examen. Quelle note faut-il obtenir pour être accrédité? Détaillez les étapes de vos calculs. Note: Ce que vous devez rechercher ici est la valeur de x (la note) dans la formule z = (x - moyenne)/écart type. IL vous faudra donc, après avoir identifié la cote z centrée réduite, isoler x dans cette

Estimation de la variance d'une distribution Variance empirique Soit {x1, x2, ..., xn} un échantillon de n observations issu d'une distribution de probabilité. Suivant le même schéma de pensée que précédemment, nous définissons s², la variance empirique ("empirique" voulant dire "de l'échantillon"), comme la moyenne des carrés des différences entre les valeurs des observations et la moyenne de l'échantillon. s ² = 1/n. i(xi - )² i = 1, 2, ..., n Nous laissons au lecteur

Dans « Le type idéal comme instrument de recherche de sociologique », article paru dans la Revue française de sociologie en 2003, Jacques Coenen-Huther commence par rappeler que l'idéal-type de Max Weber fait depuis longtemps partie du vocabulaire courant en sociologie. Nombreux sont les sociologues qui y font référence dans leurs recherches, ou qui l'utilisent sans toutefois le nommer ainsi. Il a beau être couramment utilisé, il reste un concept chargé d'ambiguïté, difficile à définir et qui