Une Passion Sans Illusion Est Elle Possible

Sous-entends que le désir est aliénant. Obstacle à la liberté. Désirs = 2 types : désir d’avoir et désir d’être. Vouloir ce qu’on a pas(manque) ou augmenter ce qu’on a déjà ! Mode de vie, idéal de vie : représentation d’une vie la plus parfaite possible, qui permettrait au mieux de s’épanoui, qui nous correspond. Vise une perfection de soi. * L’idéal de vie nécessite-t-il de se libérer de tous les désirs pour être atteint ? * Se libérer du désir, n’est-ce pas non plus une entreprise paradoxale 

chrétienne invente tout un « arrière-monde » fictif (l’au-delà) au nom duquel elle réprime durement la vie. L’éloge de la souffrance et du sacrifice de soi, la condamnation de l’égoïsme, la répression de la sexualité et du plaisir, la valorisation des passions tristes, tout dans le christianisme vise à réprimer la santé et la vie. Le socialisme prolonge cette morale sur le plan économique, et l’anarchisme sur le plan politique (le socialisme est d’ailleurs censé déboucher, dans la théorie marxiste, sur

Drogoul Louise S6FrC Sujet : Philippe Berthier, dans son introduction aux Illusions perdues que « ce roman est l’initiation, par la souffrance et l’échec, à la dure loi du réel ». Vous disserterez sur ce sujet. Illusions perdues intimide d'abord par ses proportions, par l'importance aussi que lui attribuait Balzac lui-même au sein de La Comédie humaine : ce roman, écrit-il, est "l'œuvre capitale dans l'œuvre". Mettant en scène écrivains, actrices, libraires et imprimeurs, il propose une

connaissance de soi est-t-elle possible ? Intro : La connaissance de soi est une question qui intéresse beaucoup les philosophes qui ont différentes thèses sur ce sujet. Par exemple Descartes et son cogito « je pense donc je suis » ou bien dans le traité de la nature humaine de Hume qui discrédite la thèse de Descartes et en affirmant une nouvelle thèse sur l’aspect inconnaissable du moi. C’est pourquoi nous pouvons nous poser la question, une connaissance de soi est-t-elle possible ?

Le bonheur suppose de se libérer du poids de la morale et de la justice, artifices créés par les faibles pour se protéger des forts. Le bonheur suppose une vie sans règle = déréglée. La nature des forts exige qu’ils laissent libre cours à leurs passions.« Si le dérèglement et la liberté demeurent dans l’impunité, ils font le bonheur ! » bonheur, liberté, devoir, justice, natureCritique  : Platon , Gorgias . Une vie déréglée ne mène pas

déviation du déplaisir, rien d’autre n’entrant alors en considération. Seule alors la pulsion sexuelle, la libido, est à l’œuvre. Le désir prend ses origines de l’instinct de conservation de l’homme mais ce dernier à la liberté de varier les objets possibles de satisfaction, par rapport à l’animal qui reste sur de simples besoins fondamentaux. On pourrait en conclure que désirer n’apporte aucune souffrance. Car pour l’instant, on a vu que désirer apportait la satisfaction voire le bonheur. Mais pour

une potence était dressée pour l'y attacher aussitôt qu'il aurait satisfait sa passion, ne triompherait-il pas alors de son penchant ? On ne doit pas chercher longtemps ce qu'il répondrait. Mais demandez-lui si, dans le cas où son prince lui ordonnerait, en le menaçant d'une mort immédiate, de porter un faux témoignage contre un honnête homme qu'il voudrait perdre sous un prétexte plausible, il tiendrait comme possible de vaincre son amour pour la vie, si grand qu'il puisse être. Il n'osera peut-être

Les philosophes se sont très peu intéressés à l'amour sentiment mais plutôt au ravage que produisait la passion amoureuse à l'intérieur de l’être. Dans son œuvre, les deux sources de la morale et de la religion, Bergson cherche dans un premier temps à définir le terme amour. Puis, il fait une généalogie de l'amour romanesque. Et enfin, il évoque le rôle des sentiments dans la philosophie sociale. Comment prendre en compte philosophiquement l'émotion ? Dans un premier moment, nous étudierons la mise

qui est désiré. Ensuite, Rousseau décrit l’état où l'on se trouve lorsque l’on vient à posséder ce qui était désiré, la réalité ne pouvant rivaliser avec la beauté qu’avait produite l’imagination. Rétrospectivement, on se rend compte qu’il n’y a illusion et beauté que lors du désir et que le plaisir qu’elles procurent est bien supérieur à celui de la possession et de la jouissance de l’objet désiré. Pour Rousseau, la vie ne vaut vraiment d’être vécue que si elle est emplie de désirs. Ce texte s’organise

L’homme est un être de désir. Cela est un fait. On peut même penser que c’est la conscience qui rend possible le désir, au sens où seule la représentation de ce qui comblerait un manque ferait naître le désir. Or pour quelles raisons sommes-nous capables de désirer ce qui n’est pas nécessaire ? Qu’est-ce qui, en effet, peut motiver cette recherche de ce qui n’est plus de l’ordre du besoin, lequel recherche plutôt tout ce qui nous est nécessaire ? Pourquoi, qui plus est, désirer ce que l’on n’est