Utilitarisme

Instrumentalisme : Hypothèses simplificatrice comme par exemple : * Le rendement constant * Le modèle d’une économie mondiale 2&2 (2 pays/2 produits) * L’homo oeconomicus (indépendant, informé, rationnel) Doctrines Utilitarisme : la recherche de l’utilité personnelle est le critère suprême de l’action morale. Il y a une harmonie des intérêts pour J. Bentham et J.S MILL, i.e. que la recherche du bonheur individuel n’est pas contradictoire avec le souci du bonheur collectif

demande de slectionner les principes de justice par lesquels ils souhaiteraient tre gouverns. Rawls soutient que les parties choisiraient la “? justice comme quit e de prfrence son grand rival, l’?utilitarisme qui se soucie essentiellement du plus grand bonheur du plus grand nombre . Dans ces conditions d’?incertitude, illustres par la position originelle, Rawls affirme que des dcideurs rationnels adopteraient une stratgie

de substituer à la maximisation du bien-être moyen, figure centrale de la vulgate utilitariste dont ils étaient imprégnés, la maximisation du bien-être minimal. Mais ils ont peu à peu perçu qu’ offrait une alternative bien plus radicale à l’ il utilitarisme, faisant comme lui place à des considérations d’ efficacité économique, mais solidement encastrées dans un cadre éthique autrement plausible, de par la place qui y est faite aux libertés fondamentales et au souci prioritaire des moins favorisés

plus forts (loi du plus fort). Dans cet État-là, seuls les buts personnels à courte échéance importeraient sur l’exigence de coopération. Contre Kant on trouve l’ utilitarisme  : conception basée sur l’ »utilité » d’une action. Est juste ou bonne, une action qui profiterait au plus grand nombre et qui contribueraient au plus grand nombre. Bonheur = plaisir. En effet, cette conception morale

Psychologie cognitive (l'apprentissage comme l'approche cybernetique→le processus de traitement d'information INPUT↔OUTPUT. Conception machinique: les langues sont uniquement des outils de transmissiond'infos et de contenus. Doctrine morale "utilitarisme ": l'utilite pratique et l'efficacite d'un individu→comportement "la rentabilite" Personnes ou bien Organisations Rousseau: philosophie educative. Jacotot, Gouin, Passy. Brunot, Guberina, Rivenc, Gugenheim Credif (Centre de recherches

  car   n’a   pas   tous   les   éléments  pour  agir  en  âme  et  conscience.     •  Autres  victimes  :  celles  qui  subissent  conséquences  des  mensonges.   !   Utilitarisme  :   ce   sont   leurs   conséquences   qui   définissent   valeurs   marolles   d’une   action.  Mais  si  sert  mal  immoral  et  si  sert  bien  moral  ?  Plus  compliqué

Colette, 1985, On est tous dans le brouillard. Ethnologie des banlieues, Paris : d. Galilée Rapoport Amos, 1972, Pour une anthropologie de la maison, Paris : Dunod. Revue du M.A.U.S.S, 1999, Villes bonnes � vivre. Villes invivables. Urbanisme, utilitarisme et démocratie, N 14, Paris : La découverte. • • • • • • • • • 

Pour répondre à cette interrogation, nous verrons tout d’abord que, certes, l’œuvre littéraire a traditionnellement, souvent, une fonction instructive, mais nous verrons en un second temps que certaines conceptions littéraires n’impliquent aucun utilitarisme dans l’art. Les grandes œuvres littéraires, finalement, ne dépassent-elles pas cette question de l’intention didactique ? I – La littérature a souvent, traditionnellement, une valeur didactique 1) L’écrivain endosse volontiers le rôle de moraliste

compte de la particularité du contexte. Ils sont indifférents. Les gestionnaires d’USMEd devraient être plus ouvert d’esprit et respecter la diversité des employés, car ils sont leur capital humain Les gestionnaires d’USMed ont une conduite utilitarisme. Ils fondent leurs actions en étant conscient que certaines décisions profiteront à divers groupes et compliquera la tâche à d’autres. Ils ont une conduite amorale, c’est-à-dire qu’ils omettent de considérer les enjeux éthiques que soulève leur

profond, mieux que les auteurs eux-mêmes sans doute qui, n’est-ce pas, n’écrivent jamais que des textes de circonstance, des divertissements, et qui, au fond, ne savent pas ce qu’ils font. De cela vient probablement cette arrogance de certains, cet utilitarisme affiché qui sacrifie sans vergogne la noblesse de la littérature à la rentabilité du plus grand nombre de reçus. Le préfixe « dé » : Au vers 2 du poème, le préfixe « dé » apparaît à quatre reprises : « Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé »