Utilitarisme

classiques vont influencer la pensée économique. C’est le seul tronc commun. Le classicisme anglais est partie d’une philosophie = l’utilitarisme avec Jeremy BENTHAM. Théorie qui remplace la morale religieuse par des principes psychologique. Les utilitarismes dans le bonheur du plus grand nombre n’estiment que tout individu est le lieu d’affrontement entre des forces égoïstes. il y a deux tendances : écossaise ou du sens morale innée selon laquelle l’homme est poussé à rechercher de manière égoïste

manque de contextualisation et donne l’impression que cette personnalité tombe du ciel. ». Toutefois, l’acte délinquant ne peut pas entièrement se définir comme une construction opérée par la réaction sociale, ce serait retomber dans un nouvel utilitarisme, mais il faut plutôt envisager un processus interactif, dit Debuyst. Il considère également que la criminologie clinique doit cesser de se centrer exclusivement sur cet objet largement construit et se tourner globalement vers les « comportements

l'oeuvre. ex: yeux verts de MARIE DAUBRUN ne sont plus des objets de sensualité que ds la mesure où permettent création de Beaux vers. Puisque Beauté = nbr bienfaits pr tous les homme alors VALERY " le poète est le plus utilitaire des êtres" (utilitarisme : maximiser le bonheur global) L'artiste a donc sa morale tt comme le Saint, très strict et peu conduire à un certain ascétisme : abandon des joies simples de l'existence si pas création de Beauté garantie Martyre car des expériences très fécondes

devoir et des devoirs, goût de l’effort, maîtrise de soi, silence. 10 Plus tard, dans le choix des options, le poids des représentations pèse dans la balance : les matières scientifiques tendent à être perçues comme « une rationalité sans faille, un utilitarisme, au ras du sol, une obsession de l’objet au détriment de la relation, une exclusion de la sensibilité (Dhavernas, 1992) et donc contraires à l’identité féminine qui met en avant la relation à autrui, la fantaisie, l’imaginaire, l’affectivité. Les

Nous ne cessons de passer du désir à l’ennui et de l’ennui au désir sans jamais accéder au bonheur. Indications bibliographiques Aristote, Éthique à Nicomaque ; Bentham, Principes de morale et de législation ; Épicure, Lettre à Ménécée ; Mill, Utilitarisme ; Kant, Critique de la raison pratique, Fondements de la métaphysique des mœurs ; Platon, Gorgias, Philèbe, Protagoras ; Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation ; Sénèque, De la vie heureuse.

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connaissance sur l'expérience, y compris nos structures de pensée. Même la logique est construite, est appris grâce aux choses qui se passent devant nous. Renaissance - Francis Bacon 17ème siècle - John Locke - empirisme 19ème siècle - John Stuart Hill (utilitarisme - le fondement de la moral c'est le bonheur et le bien de l'humanité en générale) 20ème siècle - pragmatisme John Stuart Hill et Dewey : le but de la philosophie c'est d'améliorer le bonheur de l'humanité. Les valeurs, les qualités, de la pensée

réponse qui pourrait venir à l’esprit c’est, tout simplement, que la morale ne concerne que les autres par définition. Mais on pourrait contester cette explication en faisant valoir que, dans les trois théories morales les plus débattues, kantisme, utilitarisme, éthique des vertus, cette asymétrie n’existe pas.1 1 Michael Slote, « Some Advantages of Virtue Ethics » in From Morality to Virtue, Oxford, Oxford University Press, 1992, p. 3- 21 qui donne la prime de la symétrie morale à l’éthique des vertus

nous-mêmes. C’est la seule garantie : on se garantit mutuellement ces droits. Morale = mot latin = tradition moral de l’éthique. Ethique = mot grec = mœurs, caractère, manières d’être… En philosophie, les 2 termes parlent des mêmes choses (devoirs, utilitarisme…). Aujourd’hui, certains pensent que les 2 termes se valent, mais d’autres estiment qu’ils correspondent à des concepts différents, comme Paul Ricoeur : - Ethique = renvoit à tout ce qui concerne la « vie bonne » ; - Morale

marché, l'elément de base, object direct de tous les intérêts utilitaires, est constitué par les marchandises concrètes. Elles ont une valeur instrinsèque pour laquelle elles sont désirées. Elles seront considérées comme réalités premières de tout utilitarisme mercantile. Le système monétaire, par contre, n'est qu'une construction artificielle qui se superpose à ces réalités concrètes et primières avec l'unique finalité instrumentale de les manier avec plus de commodité et une efficacité plus grande