Xenophon

cigüe. Cette scène va frapper Platon, cela fera naitre chez lui le sentiment du martyr du philosophe. Socrate délaisse l'écrit, c'est un homme de parole, qu'il considère comme plus vivante et plus subtile. Ses propos sont rapportés par Platon et Xénophon. Il est le père de la dialectique, il cherche à construire un raisonnement par un système de Q-réponse afin d'élever le niveau d'exigence avec une Q supplémentaire. Socrate évoque aussi la maïeutique (= art d'accoucher les esprits), qui est

habitait par un daemon, qui a été considéré comme une nouvelle divinité. Il sera condamné à mort. Les pièces de théâtre donneront deux visions contradictoires du personnage. Chez Aristophane il est athée, tandis qu’il est religieux chez Xénophon. Il y a donc une idée de l’athéisme qui n’est pas claire dans la Grèce antique. Socrate est plutôt agnostique : il dit ne pas savoir ce qu’est l’enfer, ni les dieux et ne sait prononcer ni sur eux ni sur les mythes. « Des dieux, on ne peut

reste néanmoins limitée PLATON est donc: - celui qui met les intérêts de l’état en 1er (volontariste) -le père des théories de l’état omniprésent (fasciste voir antilibéral) -père des utopistes (ceux qui dépeint une société idéale) 3/XENOPHON (disciple de SOCRATE) - Il s’intéresse à : -des problèmes concrets (chasse impôt) -la division du travail et les interdépendances entre l’agriculture l’artisanat et le commerce -la production agricole est des méthodes de son organisation

comme cela est souvent le cas (le germe) chez la plupart des prosateurs. Il n'en n'est pourtant pas toujours le cas si l'on considère Platon, dans le "Timéee", qui n'hésite pas à faire une place importante aux traditions babyloniennes, tout comme Xénophon, renchérissant sur Hérodote qui a écrit une chronique très représentative des mœurs et des coutumes perses. Dans l'Antiquité grecque, la figure du poète était incarnée par Orphée, Prince Thrace légendaire, fils de la muse Calliope, poète, musicien

constituée de huit livres qui relate les vingts premières années de l'affrontement entre Athéniens et Spartiates , soit l'opposition entre la ligue du Péloponnèse et la ligue de Délos. Décédé vers 395 avant J-C , Thucydide laisse une œuvre inachevée , que Xénophon se chargera de terminer durant la période hellénistique , et qui reste aujourd'hui très controversée . Par ailleurs, des sources littéraires comme Plutarque ou Echyle ou bien des sources archéologiques peuvent nous être utile quant à l'étude de

sur tout les magistrats par sa >, mais n’a pourtant pas + de pouvoir (auctoritas mais pas potestas). On pense la Rep rétablie, or Auguste a tt les pouvoirs. Principat : Pensée grecque joue un rôle dans l’idée du Principat. Plusieurs écrivains (Xénophon : « Cynopédie » : traité de moral et de pédagogie du gouv idéal=> Cyrus est un exemple. Thucydide « La guerre du Pélopo » => Périclès = homme d’état idéal). Les grecs traitent bcp sur ça. Cicéron est influencer par les écrits grecs avec son « De

Londres, Methuen, 2002. 16 Tom Paulin, The Riot Act, Londres, Faber and Faber, 1985. 17 Dans la réalité historique, les Grecs ne considéraient pas qu’il allait de soi qu’un traître pût être enterré sur le territoire de la cité (voir, par exemple, Xénophon, Helléniques, I, 7, 22). La famille de Thémistocle dut ainsi l’ensevelir en cachette, car il était banni pour trahison (Thucydide, I, 138, 6). 18 La pièce est inédite, mais je me fonde sur mes notes, prises lors de deux représentations (Poitiers

la justice consiste, comme dans l’individu, à remplir sa fonction propre, afin que l’harmonie règne entre les trois ordres. [1] De plus, Platon pose que le plus grand danger dans un État est la division. A ce titre, Platon n’admet pas, comme Xénophon, de grands États à la manière de l’empire perse ; il modèle le sien sur les petites cités entre lesquelles se partageait la Grèce. Toujours dans le but d’éviter la division, il supprime les deux ennemis les plus redoutables de l’unité : l’intérêt

la démocratie directe athénienne. Basée sur le tirage au sort de toutes les fonctions de l’état. XENOPHON lui, aime la dictature. Il reconnaît le culte du chef. Il constate que le peuple aime le chef. Il reconnaît l’importance de la légitimité charismatique et le culte du chef face à ce qu’il appelle l’optimisme démocratique de PERICLES. Cet optimisme est que le peuple en peut pas mal faire. XENOPHON réfute et il préfère l’ordre et la règle énoncé par un chef, plutôt favorable à une monarchie absolue

est toujours posée actuellement. 1.6. Socrate Socrate est un philosophe de la Grèce antique (-470 à -399), dont la philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon). Socrate va suivre les sophistes et affirmer que la philosophie est sur une mauvaise route depuis Thalès, mais sa comparaison avec les sophistes s’arrête là. Il va s’opposer à eux et dire qu’une Vérité existe et que nous cheminons vers celle-ci