Xénophon Et Les Métèques

Periclès : Colle 3Périclès, en grec Periklếs (v.495-Athènes 429 av. J.-C.), stratège et homme d’État athénien, de la tribu Acamantide et du dème de Cholargue, membre de la famille des Alcméonides, fils de Xanthippe et d’Agaristè.L’influence de ce personnage sur son époque fut si grande qu’on surnomme généralement cette période "le siècle de Périclès".Il est né en 494 av J.C. et meurt en 429 av. J.C. Sur le plan familial, il épousa une femme dont il eut deux fils : Xanthippe et Paralos. Puis il s’éprit

maître ni élève n’a pu négliger le plus célèbre des aèdes. Homère est donc, au sens plein, l’éducateur de la Grèce (Livre X, La République). Bien des Hellènes apprennent par cœur des passages voir les œuvres dans leur totalité : Xinératos, cité par Xénophon dans Le Banquet sait oar cœur les 28 000 vers de l’Iliade et de l’Odyssée. Quelle est la nature de cette influence ? L’influence d’Homère procède avant tout de L’édification morale : L’influence d’Homère est assurément éthique, morale

« kratos » = pouvoir. Au 5eme siècle, Athènes est divisé en 3 catégories: les citoyens: au départ seul le père doit être Athénien, on réduit ensuite aux personnes dont les deux parents sont Athéniens, ils disposent de droits politiques. les métèques: (= celui qui change de maisons) ils sont libres mais ne sont pas Athéniens, pas propriétaire, devant la Justice ils doivent être représentées. Sous la 3eme République le terme a été utilisé par l'action française (= façon injurieuse de qualifier

tellement fermée que qu’elle va ete la place des etrangers dans la cite ? 2) La situation de l’étranger. Les habitants du monde grec connaissaient deux types d’etrangers : le barbare qui ne parle pas grec, quin ‘est pas née dans un cité grec, et le métèque qui est un grec mais qui est née dans une autre cité. A) Le barbare. Celui dont on ne comprend pas la langue, le grec n’entend que du brui lorsque le barbare parle. Littéralement le barbare c’est celui qui maltraite la langue. A partir du 5eme

telle qu’elle était pratiquée dans la Grèce antique, à Athènes notamment. Seuls les citoyens, nés eux-mêmes de citoyens, peuvent prétendre exercer un pouvoir politique, participer aux assemblées, recevoir une charge. Les étrangers en résidence, les métèques, aussi bien que les esclaves et les femmes sont totalement exclus de la vie politique. Les estimations qui ont été effectuées autorisent à conclure que la vie politique athénienne ne concernait qu’environ 10 % de la population totale.

l’esclave, le métèque ou l’affranchi, il prendrait très souvent l’Athénien pour un esclave et le frapperait. En effet, par ses vêtements, le peuple ne se distingue pas des esclaves et des métèques et son apparence extérieure n’est pas meilleure. […] Voilà pourquoi nous avons accordé la liberté de parole (isègoria) aux esclaves à l’égard des hommes libres et aux métèques à l’égard des citoyens, car la cité a besoin des métèques pour une foule de métiers et pour la marine. » ■ PSEUDO-XÉNOPHON (v. 430 -

discipline éthique : Morale et politique, les soeurs jumelles! ! Cité hellénique : réalité et idéal.! ! ARISTOTE :! « L’Homme est un animal politique. »! ! Dans la Grèce archaïque l’aristocratie est au pouvoir et femmes, enfants, esclaves, métèques et hilotes ne sont pas citoyens.! ! ! ! Apparition du Démos —> revendications du peuple (dater autour du VI° av. J.C)! Réguler les émeutes —> apparaissent les législateurs (constitut°) = Soumission à LA LOI.! ! => Marche vers la démocratie

beaucoup de diversité, ils peuvent servir à travailler aux métiers à tisser, les esclaves pédagogues, esclaves d'Etats, esclaves mal traités, biens traités... Ils peuvent même avoir une familiarité avec leur maître. L'affranchissement est rare. Les métèques, enfin, sont les étrangers résidant à la cité. Ils sont libres et ont une certaine protection juridique puisqu’ils sont, en règle générale, commerçants. Les femmes athénienne vivent dans des appartements particuliers : les gynécées, n'ont pas de

spécialistes qui assurent le commandement effectif (voir B.). 3) Les marins (qu’il faut distinguer des soldats embarqués sur les navires) appartiennent à la quatrième classe censitaire, la plus pauvre : ils sont des thètes (rameurs) et sont citoyens ou métèques. Vers 450, ils reçoivent une solde, qui complète les maigres revenus qu’ils tirent de petits lopins de terre ou de métiers d’artisans. Les thètes sont très nombreux et forment la nautikos ochlos (la foule des marins) peu appréciée car réputée vulgaire

cités grecques, abrite plusieurs catégories de personnes : - les libres : relèvent de cette catégorie les citoyens de plein droit, les femmes filles de citoyens (qui peuvent être aussi femmes et/ou mères de citoyens), les enfants de citoyens, les métèques installés ou de passage, les affranchis. - les non-libres : les esclaves (d'origine grecque ou barbare) On peut résumer ces différentes composantes de la façon suivante : | |CITOYENS