Xénophon Et Les Métèques

découverte de mines d’argent dans le Laurion + on demande aux riches. On intègre sur les bateaux les dernières classes (les Thètes) : ce sont les Rameurs. On intègre les étrangers qui résident à Athènes et qui n’en n’ont pas la citoyenneté (les Métèques). Alors que la situation est très mauvaise pour la Grèce, et que la population civile est évacuée, alors que toute l’Athique est ravagée par les Perses, et que tout semble perdu, il va y avoir un choc décisif : la bataille de Salamine (Septembre

grave que le crime commit à l’encontre d’un métèque ou d’un esclave. La punition était de la peine de mort pour un crime contre un citoyen, le bannissement contre un métèque et une peine d’amende contre une esclave. Le citoyen ne peut pas être soumis à la torture, ne pouvait pas être vendu comme esclave et le seul cas de figure ou on pouvait verser de l’argent pour un citoyen c’est lorsqu’il était prisonnier de guerre. - On trouve l’ordre des métèques : métèque, littéralement, est celui qui vit avec,

« partout où la majesté des institutions et des lois, où l’appareil et la dignité de la magistrature ont été reconnus, copiés, là est quelque chose d’européen ». N’oublions pas non plus le rôle de la réflexion en matière économique. Les analyses de Xénophon dans L’économique, les Mémorables, mais surtout son analyse de la division du travail dans la Cyropédie sont importantes au point qu’elles son encore commentées par les économistes modernes et au premier chef d’entre eux Karl Marx. Pour sa part

commerce, élections à divers postes…). Mais la citoyenneté antique ne concerne qu’une petite minorité. Ainsi, par exemple à Athènes, seuls 10% des habitants ont la qualité de citoyens. Ce sont tous des hommes libres. Les femmes, les esclaves et les "métèques", c’est-à-dire les étrangers, en étaient exclus. La citoyenneté existe également à Rome, mais l’évolution y est très différente. Au fur et à mesure de l’extension de son empire, Rome donne à un nombre d’individus toujours plus important le droit

pouvoir au peuple. Mot du vocabulaire de la lutte politique. Apparu de Périclès, sorte de « gouverneur » d'Athènes était le seul à défendre la démocratie à l'issu des guerres du Péloponnèse. - manière péjorative dans la bouche de Platon, Aristote, Xénophon. - La démocratie grecque : 2 siècles : fin VIème s. - IVème s. av è. c. - « Le siècle des réformes » avec Solon → Clisthène → Périclès. Réforme des institutions qui va étendre le corps des citoyens (politès) et donc la participation politique

préserver la qualité. Cette hypothèse est assez sérieuse car à Rome c’est tout à fait différent. Mais Rome n’a jamais été une démocratie. ▪ La concession de la citoyenneté : elle est rare. Généralement Athènes donne la citoyenneté à des métèques méritants. 3ème observation : il y a trois catégories sociales dans la cité athénienne. Il y en a une pour les activités cultuelles. Il y a aussi les tribus et les dèmes qui sont des rouages fondamentaux. 4ème observation : le classement

de Physique (I, II, VII ?), un livre du De l'âme (III), le début de la Métaphysique, le début de la Politique. Aucune chronologie n'est cependant certaine. Il s’intéressa à la vie politique locale mais ne put y participer du fait de son statut de métèque (« étranger » à la cité). Quand Platon mourut en -346, son neveu Speusippe lui ayant succédé, Aristote dépité partit pour Atarnée avec deux condisciples, Xénocrate et Théophraste. Il se peut aussi qu'il ait fui une Athènes de plus en plus hostile

de Physique (I, II, VII ?), un livre du De l'âme (III), le début de la Métaphysique, le début de la Politique. Aucune chronologie n'est cependant certaine. Il s’intéressa à la vie politique locale mais ne put y participer du fait de son statut de métèque (« étranger » à la cité). À la mort de Platon, en -346, Speusippe, neveu de Platon, succéda à celui-ci. Dépité, Aristote partit pour Atarnée, avec deux condisciples, Xénocrate et Théophraste. Il se peut aussi qu'il ait fui une Athènes de plus en

d’Alexandre une dizaine d’années plus tard, Aristote le métèque, protégé du régent macédonien Antipater, est en danger dans une cité soulevée contre le joug étranger. C’est alors la fuite à Chalcis dans l’île d’Eubée et sa mort de maladie, un an après, à soixante-deux ans8. De ce long et lacunaire parcours doivent être retenues deux idées : Aristote était étranger à Athènes et étranger à son temps. Dans la capitale de l’Attique, il n’est qu’un métèque, brillant certes, mais qui ne peut être parfaitement

Voie sacrée. Le sacrifice effectué rassemble tous les citoyens. Enfin, c’est une fête particulièrement solennelle, qui n’a lieu qu’une fois par an. La fête des Panathénées est une fête civique, qui doit montrer l’union de tous (y compris les métèques) autour de la déesse protectrice de la cité. Vie civique et vie religieuse sont ainsi étroitement mêlées. procession traverse la ville afin de porter le péplos à la statue d’Athéna sur l’Acropole. L’itinéraire traverse Athènes en reliant tous