Y A T Il Une Place Pour La Subjectivité Dans La Science

avec la réalité. C'est au moyen des sens que le monde nous parvient sans que nous n'ayons rien eu à faire, tout en étant resté passif. Mais dès lors qu'on examine mieux notre propre fonctionnement il paraît clair que la réalité ne se limite pas au monde sensible. La simple existence de notre faculté de penser semble nous le prouver : nous sommes capable d'élaborer des concepts ou des idées qui ne sont, à priori, pas observables par les sens mais qui proviennent de notre entendement, d'un raisonnement

donner son assentiment à une proposition. Mais il y a plusieurs façons de tenir pour vrai ou de croire au sens général du terme et donc plusieurs espèces qui dérivent du genre croyance que l’on nommera dans son terme ancien « créance ». Le verbe croire et le substantif croyance ne désignent pas toutes les façons de tenir pour vrai mais seulement celles qui ne sont pas de l’ordre du savoir. Aujourd’hui c’est en ce sens qu’on oppose croire et savoir et croyance et science. Distinguer croire et savoir

contraires : la fascination pour la science qui représente l’espoir d’un bonheur accru et la crainte de son pouvoir. La médecine est avant tout une profession basée sur la relation entre un médecin et son patient, théâtre d’une rencontre entre deux êtres humains qui nécessite une réflexion sur le sens humain de cet échange : ceci fait l’objet de l’éthique médicale. De plus, la médecine s’appuie sur un socle de connaissances scientifiques et techniques qui demandent à être maîtrisées, encadrées : c’est

Année universitaire 2004-2005 Sociologie Cours de M. Raphaël Liogier INTRODUCTION A LA SOCIOLOGIE : Différencier la logique des choses et les choses de la logique. Dans la logique des choses, il s’agit de comprendre pourquoi les choses sont logiques de manière externe, en quoi les chose sont elles conditionnées par l’externe. Dans les choses de la logique, il y a une notion d’interne. Dans le cours, il s’agira de comprendre comment une pensée sociologique est elle

Inédit - 2007 Deux courants pédagogiques 2 Dominique Grootaers A partir de la période humaniste (Renaissance), l'École commence à être conçue comme un milieu éducatif complet (au sens où on y donne une éducation globale qui dépasse la seule instruction) et clos (au sens où l’éducation des jeunes passe par leur mise à l’écart du reste de la société et l’instauration d’une clôture délimitant l’école par rapport à son environnement). Cette nouvelle conception va de pair avec le développement

Critique Historique est une procédure, une marche à suivre cohérente. Il faut passer par des étapes : La recherche des sources Examen des sources - exploitation des sources. Le pouvoir c’est la connaissance de l’origine d’une information. St Augustin : Le temps, je sais ce que c’est, mais je ne peux pas le définir. Les historiens sont inscrits dan le tissu de leur époque, ils produisent le fruit de leur temps. L’enjeu du cours est d’évoluer (se déplacer) au sein d’une question fondamentale

historique………………………..p.4 II. L’Histoire comme science ?……………...p.5 1) Qu’est-ce que l’histoire ?……………………..p.5 2) Le choix des documents et les hypothèses. 3) Approfondissement et élargissement du domaine de l’histoire Conclusion……………………………………………………...p.5 Anexes…………………………………………………………….p.6 « S'il est vrai, comme nous aurons à l'établir, qu'un excès de connaissances historiques nuit à l'être vivant, il est tout aussi nécessaire de comprendre que la vie a besoin du service de l'histoire. Celle-ci

Pierre Bourdieu (1930-2002). I/ Biographie Chercheur contemporain à reconnaissance mondial. C’est une figure intellectuelle de 1er rang, Il incarne un véritable mode de pensée. Né en 1930, à Béarn dans une famille modeste. Etudes à l'ENS. Agrégé de philosophie (1955). Fait service militaire à Alger. Son travail ne le satisfait pas donc il se tourne vers l’ethnologie, sur la Kabylie (région d’Algérie). Son travail, carrefour philosophique, anthropologique, écologique. Ses 1ers travaux sociologiques

Intro Le sujet du séminaire autour duquel nous nous réunissons nous porte à nous intéresser sur des regards d’écrivains sur les arts. Il est bien des manières d’interpréter la question comme nous l’avons vu et si le cas d’auteurs s’érigeant comme critiques de formes d’art autres que la littérature se pose, il n’est pas sans intérêt de considérer les discours réflexifs d’écrivains s’interrogeant sur la pratique de la littérature même dans des textes théoriques. Mon sujet est ici de vous exposer

l’ouvrage Michael Jakob est professeur en architecture du paysage à l'hepia (Haute école du paysage, de l'ingénierie et d'architecture de Genève). Il a publié, entres autres, chez Infolio, L'émergence du paysage (2004), Walter Brugger (2005), Paysage et temps (2007) et Le Paysage (2008). Michael Jakob s’inscrit dans une démarche d’étude d’une mode actuelle du paysage, d’une surexposition culturelle qui renverrait à un manque, à son opposé qui serait oublié. Paru en 2008 aux éditions infolio, Le