épicure Et La Conscience

reste la base du bonheur. (plaisir souverain). Peu de dogmes, initiation rapide : l’épicurisme présente de nombreux attraits. Société épicurienne basée sur l’amitié. Epicure est un maître aimé et aimant. Il apparaît comme le libérateur (libérateur des superstitions, des âmes : contre la notion de punition des dieux)) Peu de conscience politique mais définition très juste de la justice : elle n’existe pas en soi mais est un pacte d’utilité dont l’objet est que nous ne nous lésions point réciproquement

l'homme doit lutter contre les turbulences de son corps ; les Cyrénaïques, au contraire, font de la satisfaction de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez Épicure. La classification des désirs[modifier] La morale épicurienne est une morale qui fait du plaisir le seul bien, et de la douleur le seul mal. Pour atteindre le bonheur (l'ataraxie), l'épicurien suit les règles du quadruple remède, appelé le

humaine ? Quelles sont les fonctions naturelles de l’homme ? Seule notre pensée et notre volonté ne dépendent de notre nature. Le bonheur c’est penser sa vie, ne pas s’attacher aux conséquences de nos actions. 2) Epicure : le bonheur comme absence de troubles a. la philosophie du bonheur Epicure conçoit le bonheur comme le bien que tout homme recherche et insiste sur le rôle fondamental que joue la philosophie dans la recherche du bonheur. Le rôle de la philosophie qu’Epicure estime nécessaire à tout

Epictète la liberté et le bonheur se trouve dans la maîtrise de soi même et non dans l’appropriation qui lui est étranger. Texte : Epicure, Lettre à Ménécée. 1) Pour Epicure, le plaisir se trouve dans l’apathie, c'est-à-dire l’absence de douleur ou de souffrance physique et dans l’ataraxie c'est-à-dire l’absence de trouve ou de dérèglement de l’âme. 2) Pour Epicure, ne défend pas l’abstinence ou du renoncement total de la vie. Il suggère une morale pour réduire notre abondance et aux aléas du

le seul être à avoir pleinement conscience qu'il existe et que son existence est limitée dans le temps. Cette certitude fait naître chez lui la crainte et la douleur. Il vit tout en sachant que sa vie va prendre fin et il est terrifié par sa mortalité. De plus la mort n'est rien puisque comme le dit Épicure dans La Lettre à Ménécée «la mort n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort nous n'existons pas». Épicure étant matérialiste,considère que

Lettre à Ménécée Epicure(341-271 avant J-C) Epicure considère que le bonheur est « à notre portée et facile à se procurer » à condition de – – – – – savoir ce qui nous rend malheureux revenir à l'essentiel se délivrer des croyances, des préjugés car c'est ce qui constitue un obstacle au Bonheur. Avoir des connaissance car c'est l'ignorance qui suscite la crainte, on a peur que de ce que l'on ne connaît pas, que ce de ce qu'on l'on ne maitrise pas. La peur se transforme en angoisse

de la simple impression à la ferme affirmation mais non soumise réellement à l’examen critique. *allégorie de la caverne extrait de La République de Platon => ombre = savoir fondé sur l’expérience, empirisme; souffrance des prisonnier = prise de conscience de l’ignorance. *scepticisme: ne crois en rien , rien n’est vrai, position fausse car contradictoire. *relativisme: à chacun sa vérité, autant de vérités que d’individus = contradictoire. *selon Platon l’idée du bien est la cause du désir de

de se limiter au strict nécessaire, de rechercher la paix et la sérénité grâce à la satisfaction des besoins, de renoncer à la poursuite des désirs, qui maintiennent l'âme dans l'inquiétude et la déception. N'est-ce pas d'ailleurs ce que préconise Épicure (341-270 av. J.-C.) ?   II. Faut-il établir une hiérarchie des désirs ? À la différence de l'animal, l'homme doit choisir entre les objectifs qu'il se donne. En effet, si tous les manques le troublent, il ne peut les satisfaire tous. Dans l'Antiquité

épicurienne* le thème du Carpe Diem. « Carpe Diem » est une expression tirée d'un poème d'Horace (auteur latin du 1er siècle avt JC) qui signifie « Cueille le jour ». On l'emploie pour exprimer une invitation à profiter du temps présent et à prendre conscience de la brièveté de la vie. Ce thème est très présent dans l'oeuvre de Ronsard, qui l'utilise souvent pour persuader la femme aimée de céder. Les Amours font de Ronsard le poète lyrique par excellence. Ce prince des poètes tombe amoureux en 1555

PhiloChapitre 2  : La conscience Pb  : avoir conscience de soi, est-ce se connaitre ? Les grecs avaient gravé sur le fronton du temple de Delphes « connais-toi toi-même ». Ça veut dire pour les grecs se connaitre en tant qu’être humain :· Par rapport aux dieux · Par rapport à son propre environnement (l’homme ne peut pas être heureux s’il ne connait pas sa place dans l’ordre des choses)Se connaitre en tant qu’individus · Ses gouts· Ses forces et faiblesses