évolution De La Liberté Syndicale

de la population active travaille dans les services/ Le taux de syndiqués en France est de 8%, en Suède ce taux est de 80%. L’histoire syndicale française est un affrontement idéologique entre 4 grands courants : - anarcho-syndicalisme (révolutionnaire) - marxiste - socialiste réformiste - chrétien catholique Organisations syndicales : elles sont légales depuis la loi du 21 mars 1884. C’est à partir de 1860 que des syndicats sont crées dans diverses branches. Avant ce

dynastie héréditaire, drapeau blanc, chambre des pairs ), et les acquis de la Révolution ( constitution, libertés individuelles ). Le système électoral est censitaire et favorise les notables ruraux et la grande bourgeoisie urbaine. C’est une monarchie constitutionnelle. Charles X, mène une politique réactionnaire qui déçoit l'opposition républicaine.Il se fait sacrer à Reims , suspend la liberté de la presse et limite le droit de vote . cela provoque la révolution de juillet 1830 .Ces "Trois Glorieuses"

stratégique 11% Gestion du changement 25% Expertise RH 58% Motivation 6% 2. Une vocation plus stratégique La stratégie RH intègre la projection dans le temps du développement des RH Le directeur personnel est devenu DRH 3. Une évolution des profils L’accroissement des effectifs RH L’augmentation du niveau de qualification initiale Rattachement à un niveau plus élevé 4. Emergence d’une culture « projet » et « résultats » Culture projet : nommer des personnes qui développent

white collar, par référence à un code vestimentaire, distinct du bleu de travail des ouvriers (blue collar). Dès le milieu du XlXème siècle, les sociétes américaine, anglaise et française sont marquées par l'importance des classes moyennes. Une évolution comparable s'amorce dans les pays d’europe continentale où elles deviennent un enjeu politique essentiel avec l’essor du suffrage universel. Les classes moyennes traditionnelles n’augmentent que modérément. Elles sont constituées par les commercants

sont soumises à deux contraintes différentes d’adaptation de l’emploi : moduler le volume de travail pour faire face aux fluctuations temporelles de la demande d’une part, adapter la qualité de la maind’œuvre aux évolutions des techniques de production ou de gestion comme aux évolutions qualitatives de la demande, d’autre part. La demande adressée aux entreprises connaît des variations partiellement imprévisibles (hausse ou baisse conjoncturelle des commandes) et d’autres plus prévisibles : saisonnalité

la loi, les conventions et accords collectifs de travail. 1 Ainsi le salarié est protégé dans son intégrité personnelle ou encore dans son emploi. Si cette protection est nécessaire, elle doit être savamment dosée pour ne pas porter atteinte à la liberté d’entreprendre et au pouvoir de direction de l’employeur. Comment protéger le salarié sans pour autant dissuader l’employeur d’entreprendre? La somme des différents contrats de travail donne naissance à une collectivité qui dispose de ses propres

des usages. Distinction entre relations individuelles et collectives : Individuelles : Ce sont les relations entre l’employeur et le salarié. Collectives : Ce sont les relations entre l’employeur et les représentants du personnel (les délégués syndicaux -> obligatoires dans les entreprises de plus de 50 salariés ; les délégués du personnel -> obligatoires dans les entreprises de plus de 11 salariés ; le comité d’entreprise -> obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés). Le CE gère

majeures de sa cstr° historique a été la reconnaissance du droit des org° syndicales à agir en justice pour défendre l’intérêt collectif des salariés. Dès le début des années 1900 cette q° a été portée devant les tribunaux et à l’époque il a eu une opp° entre les ch civiles qui avaient admis ce pouvoir et les ch criminelles. C’est la ch mixte de la Cour de cass qui dans un arrêt de 1913 a reconnu le pvr des org° syndicales d’agir en justice pour défendre l’intérêt collectif des salariés à agir en

143 - Le chômage et la greve, 155. Annexe: Le travailleur « propriétaire » de son emploi? 170. 5. Les syndicats et la démocratie, 173 La politisation syndicale, 174 -Faire pression pourquoi? 176 - Faire pression comment? 180 - L'arme absolue du pouvoir politique syndical, 183 - La d~mocratie recule avec les conquêtes syndicales, 185 - Le syndicat, firme managériale ? 188 - Les syndiqués sont-ils satisfaits? 192 - Les syndiqués sont-ils complices? 195 - Les syndicats au cœur de la crise

formel, renvoyant à l’existence d’une construction juridique permettant d’encadrer, à travers une hiérarchie des normes, le pouvoir de l’État, l’État de droit est progressivement devenu quasi synonyme de démocratie libérale et de respect des droits et libertés des citoyens. Comme le souligne Jacques Chevallier, « ce que le concept d’État de droit a gagné en extension, il l’a perdu en compréhension ». 1. UN CONCEPT D’ORIGINE ALLEMANDE 1.1. Le Rechtsstaat du XIXe siècle Le concept d’État de droit, traduction