Compotes De Andros

comme consultant chez Danone dans le cadre du lancement des compotes. Après une étude de marché réalisée sur le marché des compotes, Danone a décidé de lancer deux lignes de produits. Les dirigeants s’interrogent sur les perceptions de la marque par les consommateurs, notamment, sur son image et sur la pertinence de son positionnement. 1- Danone grâce à ses deux nouvelles lignes de produits est maintenant actif sur le marché des compotes Expliquez pourquoi il est intéressant pour une entreprise

stratégiques IV. Les préconisations / recommandations Les confitures représentent 61% du chiffre d’affaire et les compotes 28%. Intro : Nous allons traiter le cas de la « confiturerie Jean-Marc Faraud » en 2003. Il s’agit d’une entreprise localisée à Tarbes-Ossun crée par M. et Mme Faraud. L’entreprise fabrique et commercialise dans ses locaux essentiellement de la confiture, de la compote ainsi que des produits complémentaires tels que du miel, cache-pots, confiseries. Il on commencés par la vente

 Bonne Maman  Mise en contexte : Andros & Bonne Maman Dans les années 70, le marché était fragmenté entre un nombre considérable de marques locales voire régionales. Il n’y avait pas de grandes marques nationales qui dominaient le marché. Les produits étaient banalisés et toutes les offres se ressemblaient. Les années 70 furent l’époque du développement de la grande distribution moderne en France. En quelques années, le paysage se transforma complètement avec la multiplication des hypermarchés

en tout) 10.5 millions CA - Compotes (CA symbolique) 4.9 millions CA - Miel 1.23 millions CA - Confiserie 515 mille CA - Autres 1 120 CA Analyse externe: - confitures extras ( 14.1% pdm en volume) - confitures premier prix ( 17% pdm en volume) - confitures allégées (17.5% du marché) - confitures haut de gamme ( 12.3% pdm en volume) Segmentation du marché: Confiture: -Bonne maman (20.50% des pdm en volume) -Materne (18.50% des pdm en volume) -Andros (11.30% pdm en volume) -Faraud

à forte concurrence Ce marché subi en effet une énorme concurrence entre chaque entreprise. Les deux plus importantes Danone et Yoplait, cherchent à innover sans cesse afin de conserver leurs parts de marché. Suivi de près par Andros, leader sur le marché des compotes et société novatrice ayant lancé la mode du yaourt facile à boire, à transporter et à utiliser. 3. Les opérateurs Les trois premiers groupes occupent plus de 55 % du marché. DANONE est présent à peu près égalitairement sur

des parts de marché en volume. La marque appartient au groupe Andros qui demeure aujourd’hui encore une entreprise familiale puisqu’elle est dirigée depuis 2000 par les fils de son fondateur : Jean Gervoson. Frédéric Gervoson s’occupe d’Andros et des confitures Bonne Maman et son deuxième fils Xavier Gervoson s’occupe des gâteaux Bonne Maman. Andros propose différents produits à base de fruits comme de la confiture, des compotes ou bien des jus de fruits, qui sont destinés au grand public ou

bios et naturels de la part des consommateurs * Mode du grignotage et du Snack chez les jeunes actifs (pas le temps de manger) | * Nombreux concurrents : -Innocent (53% de PM)-Andros (22% de PM)-Immedia (20% de PM)-Hero (5% de PM) qui propose du sans sucre ajoutée et déjà reconnu dans ce domaine avec leur compote.-Pampryl : l’une des plus vieille marque de Jus de Fruit. Elle a donc une place solide sur le marché des jus de fruit-Jocker, avec ses petites fioles VitalBienfaits-MySmoothie, qui

Le coup de jeune de Bonne Maman Question n°1 Le fondateur du groupe Andros et de la marque Bonne Maman est Jean Gorvoson un vieux de la vieille du terroir français, un lotois de pur souche de 89 ans qui est rentré dans le monde du commerce après la guerre en vendant des pots de confiture « faites maison » sous la bannière Andros. C’est après la révolution de mai 68 que Jean Gervoson voit son activité se décupler, il créé en 1971 la marque Bonne Maman qui se veut une nouvelle marque certes industriel

50% de fruits et 50% de sucre, faire cuire, mettre en pot, et voilà ! Il est difficile de changer la recette. Si on met plus de sucre et moins de fruits, on dégrade sensiblement la qualité. Si on met peu de sucre, on transforme le produit en compote. Pour cer- tains fruits, on peut mettre de la pectine pour faire de la gelée. La recette de la confiture semble donc intemporelle et l’innovation pour le moins limitée. Certes, on peut imaginer un grand nombre de confitures différentes2 en

bassine 50% de fruits et 50% de sucre, faire cuire, mettre en pot, et voilà ! Il est difficile de changer la recette. Si on met plus de sucre et moins de fruits, on dégrade sensiblement la qualité. Si on met peu de sucre, on transforme le produit en compote. Pour cer- tains fruits, on peut mettre de la pectine pour faire de la gelée. La recette de la confiture semble donc intemporelle et l’innovation pour le moins limitée. Certes, on peut imaginer un grand nombre de confitures différentes2 en faisant