Confédération générale du travail

Chapitre 5 : Le role des representants des salariés | I) Les syndicats en France 1 - La représentativité syndicale c’est la capacité à représenté les salariés. 2 – L’article du code du travail qui prévoit la représentativité syndicale est l’Article L133-2 3 – Les 5 critères de la représentativité syndicale en France sont : - les effectifs ; - l'indépendance ; - les cotisations ; - l'expérience et l'ancienneté du syndicat ; - l'attitude patriotique pendant l'occupation 4 – Les autres

une procédure judiciaire. Les syndicats font le dialogue entre l’État, les employeurs et les salariés .Les syndicats reconnus comme représentatifs peuvent signer avec l’État ou le patronat des conventions collectives* qui règlent les conditions de travail pour l’ensemble des salariés. Les syndicats jouent aussi un rôle de gestionnaire d’organismes. C’est ce qu’on appelle le paritarisme : en partenariat avec les organisations patronales, ils gèrent ainsi les caisses nationales d’assurance maladie, d’allocations

sous la présidence du Premier Ministre (Ce texte ne sera pas signé) Les organisations professionnelles et syndicales, Confédération Générale du Travail, confédération Générale du Travail Force Ouvrière, Confédération Française Démocratique du Travail, Confédération Française des Travailleurs Chrétiens, Confédération Générale des Cadres, Fédération de l’Education Nationale, Confédération Nationale des Petites et Moyennes Entreprises, Conseil Nationale du Patronat Français se sont réunies sous la présidence

intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, bien que des liens puissent exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail. La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution française en 1791 avait interdit tout groupement professionnel. Le droit d’adhérer à un syndicat

21 mars 1884 = reconnaissance officielle des syndicats. Sous lʼimpulsion du ministre de lʼintérieur René Waldeck-Rousseau, les députés votent une loi qui sʼinscrit dans une dynamique de réglementation du travail et de la prise en compte des intérêts ouvriers. Ainsi, le parlement républicain instaure une liberté syndicale et dʼassociation professionnelle. La loi Le Chapelier sʼefface donc devant une volonté dʼasseoir les libertés républicaines. Le droit dʼadhérer à un syndicat et de défendre ses droits

concernent les salaires, les conditions de travail, les retraites, etc. C’est par une loi adoptée en 1884 que les syndicats ont été autorisés en France. Cette loi porte le nom de l’homme politique qui en a eu l’initiative : Pierre Waldeck-Rousseau (1846-1904). La loi Waldeck-Rousseau est l’un des textes fondateurs de la reconnaissance des libertés publiques. Elle est le fruit des luttes menées par les ouvriers au xixe siècle pour améliorer leurs conditions de travail. Aujourd’hui, le droit d’adhérer à un

Syndicats : Acteurs de la vie démocratique Définition : Le syndicalisme est un mouvement social qui a pour attention d’unifier les groupes sociaux afin de défendre des intérêts (tels que la hausse des salaires, lutte contre les conditions de travail). Le syndicalisme est également une « action directe » qui a pour but de se défendre par ses propres moyens plutôt que d’agir par l’intermédiaire d’homme politique. Le terme « syndicalisme » s'applique, dans son sens le plus courant, à l'action

direction générale, le conseil d’administration, les actionnaires et les autres parties prenantes. Le dirigeant doit trouver un compromis entre les attentes des différents acteurs, attentes qui sont souvent incompatibles (par exemple, réduction des coûts pour l’entreprise, augmentation des salaires pour les employés). La gouvernance donne un pouvoir de décision et de contrôle plus important aux actionnaires au détriment des managers. retour Quelques syndicats des salariés : CGT : Confédération générale

dont le but est de défendre les droits et les intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, car leur but n'est pas de gouverner mais d'améliorer les conditions de travail.  La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution française (1791) avait interdit tout groupement professionnel. Le droit d'adhérer à un syndicat

intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, bien que des liens puissent exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail. La liberté syndicale a été reconnue en France en 1884 (Loi Waldeck-Rousseau). Le droit d’adhérer à un syndicat et de défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale a été ensuite réaffirmé dans le préambule de la constitution de 1946.