11 Février 1997 Cassation

l'exclusivité territoriale accordée à l’un de ses intermédiaires lorsque ce dernier ouvre un site Internet pour vente. Les juges de Bordeaux ont eu l'occasion de trancher ce type de litige par un arrêt rendu le 26/02/200312. Dans cette affaire opposant 11 12 - Natalie Castagnon, inter-net et réseau de distribution, http://franchise.com/thématique_1.html - CA de Bordeaux, 2ème Ch, arrêt n° 01/ 04496, du 26/02/2003, Ste FLORA PARTNER c/ Ste LAUREN PORTAl ROUVELET 7 la société FLORA PARTNER à

Compétence d'attribution B. Compétence territoriale ( Section III - Procédure A. La demande introductive d'instance B. La conciliation C. Le jugement D. Les voies de recours 1. L'opposition 2. L'appel 3. Le pourvoi en cassation Bibliographie ____________________________________________________________ _______________ Chapitre II - Le contentieux non prud’homal du travail ( Section I - En droit Européen ( Section II - En droit interne A- Les juridictions

promettant II) Des conséquences néfastes pour le droit des contrats A) Une insécurité juridique quasiment cautionné B) Une importante perte d’efficacité quant à la promesse unilatérale de vente Introduction La cour de cassation réunie en sa 3éme chambre civile le 11 Mai 2011, a eu l'occasion de se prononcer sur un arrêt concernant la force obligatoire des avant-contrats et plus précisément la question de l’exécution forcée en nature des promesses unilatérales de vente. En l’espèce, un nu-propriétaire

________________________________________ 3 Civ. 1ère, 13 février 2001 : erreur sur les motifs ......................................................... 4 Com., 18 février 1997 : erreur sur la valeur ................................................................ 5 2. L'ERREUR INEXCUSABLE _____________________________________________ 6 Civ.1ère, 16 décembre 1964 : l’erreur grossière est inexcusable.................................. 6 Civ.3ème, 21 février 2001 : le dol chasse l’inexcusable...............

responsabilité du notaire rédacteur de l’acte, JCP, Notariale 2005, n°38, page 1550. - AZENCOT M. : Baux dérogatoires au statut des baux commerciaux et convention d’occupation précaire, LPA, 1er février 1993, p 8. - BARBIER J.-D. : Baux dérogatoires et convention d’occupation précaire, Revue Administrer 1997, n° 285, page 10. - BLATTER J.-P. : Les conventions exclues du statut des baux commerciaux, Revue des loyers 2004 page 64. - BOCCARA B. : La tacite reconduction, l’ordre public dans les baux

de l’infraction, non réprimable). Aucun de ces critères ne s’avèrent satisfaisant intellectuellement ni juridiquement. La Cour de cassation a finalement opté pour la répression systématique des infractions impossibles dans son arrêt « Perdereau » du 16 janvier 1986. Il s’agissait en l’espèce d’une tentative de meurtre opérée sur un cadavre. La Cour de cassation souligne que le décès préalable de la victime est une circonstance indépendante de la volonté de l’auteur, qui s’analyse comme une absence

service public dès lors qu’ils ont fait l’objet d’un aménagement spécial. Cette conception modératrice a bénéficié des propositions de la commission de réforme du CC à la Libération. Alors même que le CC n’avait pas été modifié, la Cour de cassation dans une décision du 7 novembre 1950, fit application des critères de la conception modératrice. Le CE ne se ralliera à cette conception qu’en 1956 (19 octobre), section, SOCIETE LE BETON. La définition JP et doctrinale du domaine public issue des

concubinage évoque la communauté de vie alors que l'union libre marque la possibilité de rompre a tout moment l'union. En droit social, on parle de vie maritale par opposition à vie conjugale. La cour de cassation avait donné une définition du concubinage dans une décision de la chambre sociale du 11 juillet 1989 et dans cette définition, elle disait que le concubinage concerné deux personnes ayant décidé de vivre comme des époux sans pour autant s'unir par le mariage et cette situation ne pouvait concerner

la conclusion et a l’exécution du contrat. Décision de la cour de cassation  Arrêt du 28 Juin 2006 qui exclu l’indemnisation du préjudice consistant en la perte d’une chance de réaliser les gains que laissait espérer la conclusion du contrat. La victime ne peut en effet prétendre à l’indemnisation de ce préjudice dans la mesure où le contrat n’a pas été conclu et où cette conclusion n’était pas pour lui un droit. La cour de cassation a en outre précisé récemment [ arrêt du 26 novembre 2003] que le

principes généraux du droit » que les textes spéciaux régissant l’administration devaient être interprétés et appliqués (T.C. 8 février 1873, Dugave et Bransiet, Rec. 1er supplément, p. 70). Avant 1944, lorsque le Conseil d’Etat français se référait à un principe général du droit, il ne le formulait pas et n’employait pas cette expression (C.E.F. Section 28 février 1930, Bertier, Rec. p. 237, S. 1930 – III – 105, note Alibert) ; il obligeait cependant l’administration à le respecter. Rares étaient