19 Mars 2003 3ème Civ

jurisprudence ne reconnait pas les promesses de récompense. Il qualifie cela de contrat, car il y a une double manifestation de volonté. Sinon la jurisprudence utilise souvent les quasi-contrats. Autre exemple : les loteries publicitaires. Arrêt 28 Mars 1995 CC : fonde l’obligation pour le marchand de remettre le lot promis sur l’existence d’un engagement unilatéral de volonté. Mais la jurisprudence est revenue en arrière et c’est désormais (Arrêt 6 septembre 2002 cc) grâce aux quasi-contrats qu’elle

pour le droit de la consommation sont aujourd’hui utilisées en droit commun des contrats. 2. Les sources supra législatives a) les sources constitutionnelles On parle de constitutionnalisation du droit civil : une décision du Conseil constitutionnel du 19 décembre 2000 considère que le principe de liberté contractuelle est un principe à valeur constitutionnelle. b) les sources communautaires et européennes Le droit communautaire est le droit issu de l’Union Européenne et qui a vocation à s’appliquer

Colbert, un peu dépassées car plus de corporation, arrivée de la révolution indstrielle. Les rédacteur du code du commerce ont écrit un code ou l'activité économique se faisait à l'echelle familiale, le paiement se faisait en monnaie métallique. Au 19, on a l'apparition du machinisme, avec des entreprise de grande envergure, développement du chemins de fer qui va permettre la multiplication des échanges, multiplication des société de capitaux qu'il va falloir réglementé , accélération du progrès

loi espagnol cependant contraire a l’ordre public donc application du for.  1ère question est de désigner l’ordre juridique compétent ? Est-ce que c’est un droit français ou étranger ? 2ème question quel est le statut de la loi étrangère ? 3ème question : l’ordre public et le renvoi Les principales règles de conflits : Statut personnel : en matière d’état et de capacité des personnes c’est la loi de la nationalité Mariage : condition de forme c’est le lieu du mariage Condition de fond

est le plus souvent l’Etat, il est représenté par le magistrat du ministère public, le parquet, il prend la décision. La victime a un rôle pour décider si on poursuit la procédure jusqu’au procès ou non. Elle est une partie au procès pénal. 3éme partie : Le procès judiciaire La procédure pénale, c’est la description de l’intervention des autorités étatiques depuis la plainte d’une victime, la dénonciation ou la constatation d’une infraction, jusqu’à la décision définitive. II. Les rapports

un lien entre au moins 2 personnes, puisque c’est un lien entre 2 personnes pour que ce lien existe il faut que ces 2 personnes ont manifesté leur volonté et ont donné leur consentement, en d’autres termes on devient pas créancier malgrè soi. -3ème argument: argument plus technique, il dit que si on peut s’engager unilatéralement alors corrélativement on devrait aussi considérer qu’on peut mettre fin à l’obligation. Les auteurs classiques nous disent pour tous ces arguments qu’il n’y a pas

(le droit de grève, le droit au travail…). C’est ainsi sur le préambule de la constitution de 1946, que le Conseil constitutionnel a fondé sa décision du 16 juillet 1971 relative à la liberté d’association. Depuis la loi constitutionnelle du 1er mars 2005, la charte de 2004 sur l’environnement en fait également partie3. Hans KELSEN (1881-1973) est un Autrichien ayant eu une influence importante en philosophie du droit et en droit public. Lexique des termes juridiques, V° « Constitution ». 3

privé. Ce régime commun tient en 5 idées : * L’insaisissabilité : les procédures d’exécutions forcées (voies d’exécution du droit privé tels que la saisie vente sur les meubles) sont impossibles contre les personnes publiques (cour de cassation mars 1919, Jousselin). Confirmé par l’arrêt cour de cassation décembre 1987, BRGM contre St Loyd continental qui en a fait un principe. Ca a été repris dans l’arrêt L2211-1 CGPPP. * L’administration peut opposer la prescription quadriennale aux dettes

l’apparence importante d’une loi qu’à son contenu réel (c’est de la communication). Cette tendance conduit à réécrire en des termes différents et souvent plus imprécis des dispositions qui existent déjà dans la législation. Dans une circulaire 26 aout 2003 relative à la maitrise de l’inflation normative et à l’amélioration de la qualité de la réglementation, le 1er ministre déclarait « il revient avant toute proposition nouvelle de vérifier qu’une plus grande attention à l’application effective des textes

constitution de 1958 est assez riche car il comprend d’abord la déclaration des droits de 1789, ensuite les principes fondamentaux des grandes lois libérales des 3ème et 4ème république (liberté d’association, de l’enseignement). Il y a ensuite les principes nouveaux édictés en 1946, ainsi que la charte de l’environnement adoptée le 1er mars 2005 et adossée à la constitution. En revanche ne font pas partie du bloc de constitutionnalité les objectifs à valeur constitutionnelle, qui sont des normes jurisprudentielles