28 Mars 2000 Filiation

intouchable, mais sur la réalité sur laquelle il repose. Jusqu’à la loi du 15 juillet 1955 l’enfant adultérin est sans droit et le texte ne lui ouvre guère qu’un droit alimentaire et encore, non sans contradictions, à condition qu’on ne constate pas sa filiation, laquelle n’apparaît donc que par prétérition ! Traditionnellement, la nature le commande, l’enfant adultérin par un seul parent, l’autre étant libre de liens, est néanmoins considéré comme adultérin par les deux puisque ce qui détermine son statut

TGI de Bordeaux annule ce mariage. Les époux interjettent appel mais la cour d’appel de Bordeaux confirme le jugement du TGI (arrêt du 19 avril 2005). Les époux forment un pourvoi en cassation et l’arrêt a maintenu la nullité du mariage (arrêt du 13 mars 2007). La cour de cassation a apporté une définition de ce qu’est le mariage en établissant que « selon la loi française, le mariage est l’union d’un homme et d’une femme ». La cour européenne des droits de l’homme a toujours refusé de dire que

marqué par de très importantes réformes à partir de 1999 avec l'instauration du PACS (loi du 25 novembre 1999 révisé par la loi 23 juin 2006. Il y a la réforme sur l'autorité parentale par la loi du 4 mars 2002 et sur la dévolution du nom de famille. La réforme sur le divorce s'est faite par la loi du 26 mars 2004 et celle de l'affiliation par la loi du 5 juillet 2005. Le droit de la famille est composé de deux piliers : le couple (première partie) et l'enfant (deuxième partie). Première partie :

individuelles permettant de déterminer la situation de la personne au regard des institutions juridiques. Cet état se compose de 3 éléments : * l’état dans la cité (nationalité) * l’état dans la famille (situation d’un individu au regard d’une filiation, du mariage ou du PACS) * l’état personnel (sexe, l’âge(majorité ou pas), la santé(mentale)) => ce que l’on va étudier. Chapitre 1 : L’existence de la personne physique Existence c’est entre la naissance et la mort Section I : La naissance

Code civil suisse du 10 décembre 1907 (Etat le 1er juillet 2013) 210 L’Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu l’art. 64 de la constitution1;2 vu le message du Conseil fédéral du 28 mai 19043, décrète: Titre préliminaire Art. 1 A. Application de la loi 1 La loi régit toutes les matières auxquelles se rapportent la lettre ou l’esprit de l’une de ses dispositions. A défaut d’une disposition légale applicable, le juge prononce selon le droit coutumier et, à défaut d’une coutume

résidence, et dont on n'a plus aucune nouvelle. Cette personne n'est pas physiquement localisable et on ignore si elle est vivante ou morte. Aucun élément ne permet de se prononcer sur sa situation. L'absence a été profondément remanié par la loi du 28 Décembre 1977, qui en a simplifié le régime ( de l'absence). Elle est régit par les articles 112 à 132 du code civil. Les textes distinguent désormais 2 périodes : Une période durant laquelle la personne est présumé en vie. Une seconde période à partir

Maastricht, Lisbonne.. Ces règles ont pour but l’organisation institutionnelle de l’union. Le droit dérivé : Ce sont les règles de droits crées par les organes de l’UE. Ces règles intégreront ensuite les droits nationaux. Ex : Une directive en 2000 relative au commerce électronique ou en 2011 directive au droit à la consommation, une réforme créée et intégrée. 2/ La notion de règle de droit : a) Caractères : La règle de droit est avant tout une règle mais qui poursuit un objectif particulier

constitue la cellule de base de la société. • D’un point de vue juridique : la famille est un groupe de personnes qui sont reliées entre elles par des liens, liens fondés sur le couple, principalement le mariage (lien d’alliance), et lien fondé sur la filiation (lien de parenté). Le droit a depuis longtemps organisé les règles qui régissent la famille c’est pourquoi, le droit consacre la famille entant qu’institution. Le doyen Carbonnier a définit la famille comme l’un des principaux piliers du droit

extrêmement mouvant, et par conséquent très vivant. Le droit de la famille est au cœur des débats qui traversent la société. L’homosexualité oblige à repenser politiquement le droit de la famille. Cela à des implications sur le mariage, le Pacs, la filiation, autorité parentale… Il est important de partir du fait social pour les qualifier juridiquement. Il y a des faits que le droit ne peut ignorer. Le droit peut-il faire abstraction de la situation de fait ? Le droit doit-il se plier fasse au fait

logement 27 II- Les mesures d'autonomie 27 A- L'autonomie professionnelle 27 B- L'autonomie bancaire 27 C- L'autonomie quant aux biens meubles 27 D- L'autonomie ménagère 28 1) Le domaine de solidarité ménagère 28 a) L'indifférence de la nature de la dette 28 b) Le critère de l'objet de la dette 28 c) Les exceptions à la solidarité du mariage 28 2) Les effets de la solidarité ménagère 29 III- Les mesures de crises 29 A- L'intervention judiciaire tenant à la défaillance d'un époux 29 B- L'intervention judiciaire