Alfred P Sloan

communication des entreprise est de plus en plus axée sur cette finalité. Définition: « développement qui répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des génération futures à satisfaire leurs propres besoins » Il s'articule autour des 3 P : Profit, People, Planète. L'entreprise est donc amenée à créer de la richesse économique tout en prenant en compte l'aspect social et à altérer le moins possible l'environnement. C. Débat sur les finalités de l'entreprise. Les finalités de l'entreprise

communication des entreprise est de plus en plus axée sur cette finalité. Définition: « développement qui répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des génération futures à satisfaire leurs propres besoins » Il s'articule autour des 3 P : Profit, People, Planète. L'entreprise est donc amenée à créer de la richesse économique tout en prenant en compte l'aspect social et à altérer le moins possible l'environnement. C. Débat sur les finalités de l'entreprise. ● ● ● Les finalités de l'entreprise

spécifiques • La technique est la matérialisation de la science et de la technologie en projets, machines et produits Definition 2) • La science comme bien publique et la technologie come bien privé (publications scientifiques VS brevets) -> Dasgupta, P., David, P.A., 1994. Toward a new economics of science. Research policy 23, 487–521. 8 Comme la science et la technologie sont liées? Quelle est la direction causale? (1/3) • La crédence commun est que la science est exogène, et elle produit l’ avancement

spécialisation des ateliers. * La firme japonaise est plus centrée sur la rotation des tâches. * Comparaison entre les firmes américaines (H) et japonaises (J) et cohérence entre les mécanismes de coordination et d’incitation dans chacune des firmes. | Alfred DupondCHANDLER(Economiste et historien américain) | 1918-2007 | La stratégie facteur déterminant de l’évolution des structures | Les facteurs influençant la structure | * Il a travaillé sur l’histoire des E américaines pendant la première moitié

forme de campagnes de pression (mouvement de consommateurs, mouvements écologistes).  Il peut également exister des coalitions formelles au sein des conseils d’administration et cela pourra influencer le devenir de l’entreprise (nomination de tel ou tel P. D. G., décisions d’absorption ou de fusion).  – Quant aux influences internes, Mintzberg les classe en 5 groupes : 1.  Les coordinateurs au sommet (direction générale, membre du conseil d’administration). 2.  L’encadrement (cadres chargés de

ainsi d' « Administration ». De même, le livre de Peter Drucker The Practice of Management24 est traduit en 1957 par « Direction des entreprises » dans le titre et par « gouvernement » s'il s'agit d'une très grande entreprise, le traducteur s'expliquant p. ix des difficultés qu'il a eues à traduire « manager ». Les styles de management[modifier | modifier le code] Article détaillé : Styles de management. Management vs. leaderhip et manager vs. leader[modifier | modifier le code] Les termes « management

d'entreprise. 1. Histoire comparée Le Du Pont model L'apparition du contrôle de gestion est attribuée, par la plupart des auteurs [BOUQUIN 1994, JOHNSON & KAPLAN 1987, CHANDLER 1977] au modèle Sloan-Brown. Cette conception d'un management décentralisé et délégataire aurait vu le jour au sein du groupe Du M. FIOL & P. JOUAULT [FIO 1991] considèrent ainsi, dans une lecture de l'histoire originale, qu'entre 1920 et 1940 il convient de parler de contrôle opérationnel, tournant essentiellement autour de la

moderne. * Présentation des écoles moderne. * Les différentes théories des écoles modernes: Section 1: L’école néo-classique : a) Peter Ferdinand Drucker. * Les tâches majeures du management selon Drucker. b) Alfred P. SLOAN. * Les principes de décentralisation coordonnée. c) Octave Gélinier. * Les règles pour l’efficacité des entreprises. Section 2: l’école systémique et la prise de décision: a) MINTZBERG

Hirotaka Takeuchi (1995), le succès des entreprises japonaises ne s’explique pas uniquement par la politique de l’emploi à vie, le système 10 Reich R., L’économie mondialisée, éd. Dunod, Paris, 1993, pp157-169. (Reich R., The Work of Nations, ed. Alfred A. Knopf, Inc., New York, 1991). 11 Enregistrements d’achats et de paiements effectués avec une carte de crédit, compensation de chèques, comptes bancaires, correspondance, fiches de paie, notes d’hôpital. 12 Employés de commerce, d’hôtel, d’agences

Emettre des idées Voir lesquelles sont réalisables Etudier les idées réalisables Etudier les marchés, les concurrents Mettre en place le projet Se faire connaitre et avoir une clientèle fidèle Adopter des stratégies opérationnelles Questions vision de P Drucker Tableau des différences entre management stratégique et opérationnel Management stratégique Management opérationnel Décision qui relèvent de la direction de l’E, qui vont définir la stratégie de l’E. Impact à long terme, pour assurer le développement