Analyse complexe

étouffée. Mais à ce moment Freud ne parle pas de l’Oedipe→ il en parlera en 1910. Freud avait compris l’importance de la vie sexuelle infantile qui était frappée par l’interdit et le refoulement mais bien avant le complexe d’Oedipe. Période de latence : cette période a été avant le complexe d’Oedipe et période de latence veut dire : attente de cette vie pulsionnelle, cette sexualité infantile va être mise en sommeil jusqu’à la puberté : c’est-à-dire les modifications corporelles physiologiques de la

point d’abscisse 0. b. À l’aide de la partie A, étudier la position de la courbe (C ) par rapport à la droite (T). 4. Tracer la droite (T) les asymptotes et la courbe (C ). EXERCICE 3 : Commun à tous les candidats (5 points) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct ([pic]), on considère l’application f du plan dans lui-même qui, à tout point M d’affixe z, associe le point M ’ d’affixe z’ telle que : z ’ = z2 − 4z. 1. Soient A et B les points d’affixes zA = 1 − i et

p2 3 x −1 Il existe une fonction numérique g positive telle que f ( x) − f (0) p g ( x) ∀ε f 0, f ( x) − f (0) p ε dès que x p 1 ε 2 4 ε 2 . Si 0 p α p inf( ; ) , alors ( x p α ⇒ f ( x) − f (0) p ε ) Exercice 12 Dans le plan complexe, soit A(2i) et f l’application qui à M ( Z ) a M ' ( Z ' ) tel que Z ' = r r (O, e1 , e2 ) est un repère orthonormé direct a) b) c) d) e) f) f n’admet aucun point invariant f n’est pas bijective r la droite (O, e2 ) privée de A est invariante

en particulier à une fonction applique ledit procédé de sommation. à laquelle on Dans les parties I et II les notations utilisées sont les suivantes. Toute application de N dans C étant une suite complexe, si a est une telle suite, on utilise la notation usuelle a(n) = an . A toute suite complexe a, on associe la suite a dé…nie par : n 1 X n ak 8n 2 N; an = n 2 k=0 k L’ objet des parties I et II est de comparer les propriétés de la série Partie I : deux exemples. X n 0 an aux propriétés

d'icônes, une option permet de rappeler le délai écoulé depuis la dernière > sauvegarde. Dmaths peut être installé en mode réseau ou multi-utilisateurs. Un bouton permettant d'écrire plus facilement le conjugué d'un nombre complexe est disponible dans la boîte de dialogue Macros bleues. Intégration du milifred de Frédéric Diaz permettant de créer un papier millimétré. Correction de bugs. Intégration du module BatchConv qui pemet d'exporter des

« Développement psychique de l’enfant ». ES-1. Table des matières Introduction : 2 L’Attachement : 2 Les compétences du nourrisson: 3 Selon S. Freud : 3 Stade oral. 4 Stade anal. 4 Stade phallique. 4 Stade de latence, 5 Le complexe d’Œdipe : 5 Personnages influents: 6 Selon Piaget : 8 Le stade sensori-moteur. 8 Le stade préopératoire. 8 Le stade des opérations concrètes. 9 Le stade des opérations formelles. 9 Conclusion : 9   Introduction : Au cours de cette

donc les deux solutions complexes conjuguées suivantes : z' = 1 + i 3 = 2 e i p 3 et z" = 1 - i 3 = 2 e -i p 3 2. On a : (z')2004 = 22004 e i 2004 p 3 = 22004 e i 668p = 22004 Partie B 1. Les nombres complexes z' et z" ont un module égal à 2. Donc les distances OA et OB sont égales à 2. Les points A et B sont sur le cercle de centre O et de rayon 2. y O' 3 A B' ® j -2 -1 O ® i I 1 2 x - 3 B 2. En utilisant l'écriture complexe de r1 : BAC S 2004 -

Avenue Ibn Batouta, B.P. 1014 Rabat, Maroc .:: Module Math´matiques I : Alg`bre ::. e e Fili`re : e Sciences de Mati`re Physique (SMP) e et Sciences de Mati`re Chimie(SMC) e Chapitre II: Rappels et compl´ments sur les nombres r´els et e e complexes. Par Prof: Jilali Mikram Groupe d’Analyse Num´rique et Optimisation e http://www.fsr.ac.ma/ANO/ Email : mikram@fsr.ac.ma Ann´e : 2005-2006 e 1 TABLE DES MATIERES 1 Les nombres r´els e 1.1 Loi de composition interne . . . . . . . . 1

Aucune justification n’est demandée. Une réponse correcte vaut 1 point, une réponse fausse ou l’absence de réponse vaut 0 point. Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé (O, u, v) , on considère les points A, B et C d’affixes respectives : zA = 3 1 + i 2 2 ; zB = − 1 3 + i 2 2 et z C = z B − z A 1) Soit z un nombre complexe vérifiant : z + 2z = 11 + 8i alors l’écriture cartésienne de z est : a) z = 4 + 3i b) z = 3 − 4i c) z = 3 + 4i 2) L’écriture 71 = 7 × 9 + 8 est la

les mécanismes de défense. | | - Le Surmoi : instance « morale », interdictrice, interne, inconsciente. | |Il « est l’héritier du complexe d’Œdipe » Freud. Il se construit par identification aux images parentales intériorisées. Il prend à son | |compte les exigences attribuées aux parents. Il se montre souvent plus sévère que les parents eux-mêmes.