Argumentation Bonheur

Texte 1 : Le savetier et le financier, Jean de la Fontaine. I. La conception du bonheur selon le financier : a) Conception du bonheur fondée sur l’argent, la richesse. • Image d’un homme riche ; présence du champ lexical de la richesse qui le qualifie « tout cousu d’or » v.5 « son hôtel » v.14 » • Le financier compare l’achat « du manger et du boire » à l’achat du sommeil v.11 qui témoigne de sa réelle obsession concernant l’argent • De plus, tout dans son discours est en rapport

Dans notre extrait Anouilh se pose la question qu’est-ce que le bonheur pour l’homme moderne. Dans le texte que nous allons étudier, la vision de bonheur est une source de réflexion, de débat entre Créon et sa nièce Antigone. Nous allons analyser le texte en deux parties en voyant deux vision extrêmes de la vie-celle d’Antigone et l’autre de Créon. Analyse: 1.La conception de bonheur chez Créon a) Bonheur „simple“ Le bonheur chez Créon réside en amour (l.1 „Marie-toi, vite, Antigone, sois

- Rimes variées → -croisées + embrasées + plates - Poésie à visée argumentative - Thèse explicite (V9-11) : éloge du luxe → abondance .luxe et superflu => bonheur dépend des biens matériels . «Le Mondain » désigne Voltaire - L’abondance exprimée par : - répétition de « tout » - énumération V9-11-25-18 - V19 : poissons+ oiseaux = gastronomie - Opposition entre le bon vieux temps

imagine, rêve, construit des idées de nature problématique, au rang desquelles le bonheur figure en bonne place. Dans le Gorgias de Platon, Calliclès s’oppose à Socrate en définissant le bonheur comme dépendant du hasard de la naissance et de ses capacités à assouvir ses désirs. Cette définition, tournée vers l’aspect matériel d’un simple assouvissement se jouant de la justice et de la vérité, est réductrice. Le bonheur doit être défini par une harmonie entre une complétude de l’esprit et une pratique

Argumentation : - La richesse permet de goûter davantage aux plaisirs de la vie. Elle est en quelque sorte le moteur des rêves. L’argent est à la base de presque tout. - La richesse permet d’avoir une éducation qui permet d’atteindre un avenir prometteur. Les personnes qui grandissent dans des familles déjà fortunées vivent la plus part du temps comme des êtres normaux heureux et généreux. Ces personnes fortunées aident les familles moins bien nanties en faisant des dons. Elles ont la chance

Thiberge. Cet échange constitue un temps mort de l'histoire et l'Abbé Prevost l'utilise pour installer un débat d'idées, une sorte d'échange qui occupe l'espace mort de la narration. Ca va être pour D.G. l'occasion de développer sa théorie sur le bonheur qui s'oppose à celle de Thiberge. I / Un texte argumentatif Ce texte est argumentatif ; dans ce texte, il s'agit de réfuter l'accusation de conduite insensée que lui reproche Thiberge. D.G. cherche à effacer la contradiction soulevé par Thiberge

penser fait-il que l'on soit quelqu'un? Et surtout, d'où viennent ces pensées? Descartes tente de répondre à ces questions en établissant la thèse selon laquelle il se demande: qui sommes nous et que sommes nous? Pour cela, il met en place une argumentation logique tout au long de son texte. Tout d'abord sa première hypothèse serait que se sont les sens qui nous trompes. Ensuite, il se dit que se pourrait-être Dieu lui même qui le trompe, cependant il en vient a réfuter cette hypothèse et reprend

paragraphe constitue l’unité de base du plan, il en est également l’unité de sens, puisqu’il détermine la progression de l’analyse. Sa longueur moyenne est de dix à douze lignes, et il se compose des éléments suivants : - une idée principale. - une argumentation qui démontre la pertinence de l’idée. - un ou deux exemples précis qui valident l’idée et supporte l’argumentation. L’exemple n’est pas une décoration : il doit s’accompagner d’une analyse qui renforce votre argument. Fiche dissertation (cc)

problème fondamental. Que peut donc signifier une critique ? La critique d'un texte ne saurait être réfutation, comme trop d'élèves le croient; la « réfutation » désignant, à proprement parler, l'action par laquelle on repousse un raisonnement, une argumentation en prouvant leur fausseté. Ce procédé est difficilement compatible avec la reconnaissance de la richesse effective d'un grand texte, comme c'est toujours le cas des textes qui sont proposés au baccalauréat. Critiquer, ce n'est pas détruire, mais

même à ces objections : cette légèreté, la défiance à l’égard du trop de sérieux, confèrent au genre le « charme » qui le rend persuasif et en fait donc une argumentation plus efficace que les discours théoriques dont l’austérité peut rebuter le lecteur. Pour développer cet argument, l’élève peut faire appel aux avantages de l’« argumentation indirecte » en général et aux vertus de l’apologue qu’il aura étudiés en cours. Par ailleurs, pour La Fontaine, le plaisir procuré par les fables ne mérite pas