Argumentation Et Ironie

procédès auquels il recourt ? 1° L'argumentation par analogie 2° La stratégie énonciative (implication de La Bruyère et de son destinataire) 3° Des procédés de persuation pour choquer 4° Registre Satirique et Ironie 1° L'argumentation par analogie Comment organise-t-il son argumentation ? a) Première partie. Introduction (Lignes 1 à 8) : Exorde. Double fonction : annoncer le sujet & capter l'attention du destinataire. b) Deuxième partie. Il prend des exemples de comportment d'animaux concrets

sorcier, le roi ordonna » concession à la raison malgré l’obscurantisme de la superstition. Ironie dans la synonymie « mage » / « sorcier » qui ont le même sens avec deux connotations différentes. « On lui rendît l’amende de quatre cents onces d’or... ils en retinrent seulement trois cent quatre - vingt - dix - huit pour les frais de justice, et leurs valets demandèrent des honoraires ». Ironie du jugement en faveur de Zadig qui lui coûte plus cher en étant reconnu innocent que coupable

satirique 3) Ironie dans registre satirique -Dans l’exemple du chasseur→ décalage entre gravité de la situation et l’amusement futile, léger, chiens poursuivant un sanglier §2 - §2 « ne vous en étonnez pas » ironie ce n’est pas étonnant qu’il ne pense plus à son fils (ce qui est étonnant). Transition : Pascal s’appuie sur des exemples concrets et s’adresse au lecteur pour mieux persuader. Mais il s’appuie aussi sur une argumentation rigoureuse. II Une argumentation rigoureuse de l’exemple

ecclésiastique ainsi que la superstition dans cet extrait ? (problématique) Tout d’abord, il utilise une argumentation efficace et plaisante, qui porte une critique voltairienne habituelle de l’Eglise. (annonce de plan). (introduction avec quatre parties : accroche avec contexte littéraire et présentation de l’oeuvre, présentation de l’extrait, problématique et annonce de plan). I- Une argumentation efficace et vivante. (phrase d’introduction de la partie avec rappel du thème lors de la rédaction)

Aussi n'est-il pas étonnant que ceux-ci servent d'argumentation et permettent ainsi de contribuer à défendre de grandes causes efficacement, en touchant le maximum de personnes. I) Les éléments qui permettent aux romans d'être de véritable argumentation II) Grands causes défendues et leur impact (but) = les différents types d'argumentation des romans = comment certaines défendent de grandes causes 1) généralités sur le roman et l'argumentation 2) les causes, exemple précis preuve opinion

énonciation du théâtre) - il utilise ensuite le pronom personnel « je » (+ de 14 fois dès la ligne 8) -> discours devient personnel (description du penchant irrépressible) - argumentation tourne autour de deux foyers argumentatifs opposés : une argumentation en faveur de l’inconstance amoureuse et une contre-argumentation à l’égard de la fidélité. - début du discours par question rhétorique doublé d’une exclamation « Quoi ? Tu veux qu’on se lie …» = étonnement, indignation devant la position de

Celle de Sépulvéda est explicite : « les habitants du nouveau Monde sont des esclaves par nature ». Celle de Las Casas est implicite mais par opposition sa thèse est: les Amérindiens sont des Hommes à part entière. Et nous pouvons donc trouver des argumentations opposées qui amènent à cette controverse. ---------------------------------- --L’argumentation de Sépulvéda est marquée par un regard ethnocentrique, il base ses arguments par rapport à sa propre culture. Sa stratégie se retranche derrière l’opinion

dénonçaient au XVIIIe siècle. Nous étudierons donc comment Voltaire partage sa vision de la société. Après avoir analysé en quoi ce chapitre se rapproche de l'incipit d'un conte, nous verrons qu'il propose une critique de la société à travers une argumentation implicite. Le premier chapitre de Candide se présente d'abord comme l'incipit d'un conte. On reconnaît la formule « il y avait » qui est caractéristique des contes de fées. Les personnages sont décrits avec de nombreuses qualités. En effet

être reconnu à sa juste valeur II-Philinte, l'homme du monde pragmatique A-Une argumentation en faveur de la mesure et du bon sens Idéalisme d'Alceste ne tient pas compte des réalités en société - interpelle son interlocuteur par son nom - discours mesuré et s'oppose aux exès de son ami Alceste = hyperboles pr dénigrer les règles de politesses Philinte= + modéré “qq dehors civils” v.66 -argumentation : 2 fois “mais” (connecteur argumentatif) → s'oppose à Alceste pr le rappeler aux

ploymorphe. Elle ne relève pas « du comique franc, ne provoque pas de rire spontané et si elle est bien souvent ressentie comme évidente ce n'est que de manière intuitive »(ibid). Pour Antoine Fouquelin, auteur en 1955 d'une rhétorique française, il y a ironie « quand par le contraire, le contraire est entendu ». Ainsi on dira qu’un énoncé est ironique lorsque le locuteur dit A alors qu'il pense non-A mais qu’il veut aussi faire entendre à son destinataire principal qu’il pense bien le contraire de ce