Arrêt Gomel 1914

Autrement pour se prononcer sur la recevabilité d’une requête, le juge doit définir d’abord le droit applicable. Si c’est le droit administratif qui s’applique, il exigera le respect de la demande administrative préalable (cf. Cour d’appel de Dakar. Arrêt ABDOURAHMANE NDOYE). A ce facteur bloquant il faut ajouter l’inaptitude du juge ordinaire à appliquer les règles de droit administratif. Paragraphe 2 : La privatisation du contentieux administratif Le problème d’une éventuelle privatisation

de l'État en cas de non transposition de directives : manquement du pouvoir législatif C.E. Sect, 30 VI 1950 QUÉRALT incompétence négative C.E., 14 I 1916 CAMINO erreur de fait : exactitude matérielle des faits C.E., 04 IV 1914 GOMEL qualification juridique des faits C.E., 19 V 1933 BENJAMIN contrôle maximal ès libertés publiques C.E., 31 I 1902 GRAZIETTI fin des actes discrétionnaire C.E. Sect., 15 II 1961 LAGRANGE contrôle restreint : une des premières

dit « qu’il existe un principe général du droit selon lequel toute décision administrative peut faire l’objet, même sans texte, d’un recours pour excès de pouvoir » cela afin de « protéger les administrés contre l’arbitraire de l’État ». Suite à cet arrêt, il est expressément déclaré qu’un recours pour excès de pouvoir ne peut être empêché de quelconque façon vis à vis des décisions du pouvoir réglementaire. Seulement, étant simplement le fruit de la jurisprudence du Conseil d’Etat, le législateur pourrait

sans le refondre, le réécrire. Cette codification a été opérée sur la base de deux décrets de codification du 8 novembre 1973 pour les parties législatives et réglementaires du code et un décret du 3 janvier 1977 pour la partie qui regroupe les arrêtés a caractère réglementaire. Auparavant, en vertu d’un décret 1954, il existait un code commun de l’urbanisme et de l’habitation. Ce code c’est constitué pour l’essentiel un code de procédure administrative non contentieuse. Qui regroupe poux l’essentiel

Les grands arrêts de la jurisprudence administrative Juges de l'administration – Ordre juridictionnel administratif (CE) CADOT – 1889 PRINCIPE = Disparition de la théorie du ministre-juge ou « justice retenue », avant cette décision, les arrêts du CE étaient retenus au ministre prenant la décision finale → Le CE décide à partir de cet arrêt que c'est à lui de trancher les litiges (TC) BAC D'ELOKA 21.04.1921 Distinction entre SPA (service public administratif : CPAM) et SPIC (service public

Numéro du document : Publication : GAJA/17/2009/0003 Les grands arrêts de la jurisprudence administrative, 17e édition 2009, p. 16 Décision commentée : Conseil d'Etat, 19-02-1875 n° 46707 Indexation ACTE ADMINISTRATIF 1.Acte de gouvernement 2.Définition 3.Intérêt supérieur de l'Etat 4.Décision politique 3 ACTES DE GOUVERNEMENT CE 19 févr. 1875, PRINCE NAPOLEON Lebon 155, concl. David (D. 1875.3.18, concl. David) Marceau Long, Vice-président honoraire du Conseil d'Etat Prosper Weil, Membre

Résumé des grands arrêts de la jurisprudence administrative ***TC, 8 février 1873, Blanco Fixe les principes fondamentaux du droit administratif en soulignant clairement l’autonomie du droit de la responsabilité administrative. La compétence du juge administratif provient de la nature du litige (litige en relation avec une gestion publique). *TC, Société immobilière de St Just, 1902 possibilité de recourir à l'exécution forcée d'une décision si et seulement si il y a nécessité d'y recourir

transparente (CA si existence du critère matériel du contrat entre les 2 pers.priv) ⇨ CE 2007 Commune de Boulogne-Billancourt : hypothèse pers.priv transparente B. Contrat conclu entre deux personnes publiques ⇨ TC 21 mars 1983 UAP c/ ministre des PTT : arrêt de principe : rencontre entre 2 gestions pub : présomption irréfragable ⇨ CE, Et.compagnon Rey : présomption peut ê renversée si le contrat fait naitre des relations de dt privé C. Contrat conclu entre une personne publique et une personne privée

réparation de préjudice. La loi 28 pluviôse an 8 les dommages de travaux publics étaient indemnisés. En fait, la jurisprudence commence au milieu du 19ème siècle envisager de créer un système de responsabilité. On le trouve dans un arrêt du conseil d’état du 6 décembre 1855, arrêt Rotchield qui jette les bases d’une future responsabilité. Mr Rotchield envoie un coli par la poste (diamants) et le facteur le livre bien à Mr Rotchield mais à un autre Mr Rotchield. Il y a un petit dommage Mr Rotchield fait

concernant le recrutement et la carrière des magistrats (qu’elles soient réglementaires ou individuelles) Exclusion compétence JA Sauf qq exceptions (Actes préparatoires et Actes d’exécution) Les actes préparatoires => Pas contrôle du JA – Exemple  - arrêt de renvoi devant une juridiction ou plainte déposée par une personne publique. Les actes d’exécution => Pas ctrl du JA (car ils sont la conséquence de la décision de justice). Voie de fait On peut expliquer : Théorie jurisprudentielle :