Arthur Schopenhauer

à ce que pense Schopenhauer. Selon lui, le désir est infini car l'objet de notre désir est éphémère et n'a aucune valeur, c'est le désir qui le rend important. Cette idée montre le pessimisme de Schopenhauer, car il pense que le désir est un manque et une souffrance, c'est-à-dire une malédiction, mais que nous ne pouvons rien y changer. Au contraire, selon Spinoza, le désir n'est pas un manque mais l'affirmation d'une puissance d'exister et d'être affecté. En revanche, Schopenhauer dit que nous sommes

évolution dans le temps. Il a donc conscience de sa fragilité et la possibilité de sa destruction. Il a en ce sens conscience du fait qu'il peut mourir et que son devoir est de maintenir dans l'existence. C'est donc une forme de paradoxe que présente Schopenhauer : l'homme est à la fois le plus doué des animaux parce qu'il a conscience de choses que les autres n'aperçoivent même pas. Mais il est aussi le plus petit des animaux, parce que ce dont il a conscience le confronte sans cesse à sa finitude et à

appelle « bonheur » serait un épisode lumineux, joyeux qui se détache sur toile de fond de difficultés, soucis, c’est une sorte de trêve, de répit dans une longue succession de peines. 3 – Risque de lassitude, d’ennui dans l’état stable du bonheur. Schopenhauer montre que l’homme est inapte au bonheur, dans sa vie il n’y a pas d’état durable de satisfaction complète , le bonheur n’est que l’absence momentanée d’une insatisfaction, d’une souffrance. «  La vie oscille tel un pendule, de droite à gauche

Bruges-la-morte est un subtile mélange entre le roman et la poésie symboliste. En effet, Rodenbach s’est intéressé à nombreux de ses contemporains symbolistes pour réaliser son livre. On y retrouve notamment le pessimisme allemand de Nietzche ou Schopenhauer marqué par une certaine mélancolie et par la réhabilitation du côté plus mystérieux et plus métaphysique de la vie. Tout au long du roman, le héro, Hugues Viane, est plongé dans un mal de vivre et dans un interminable deuil suite à la mort de sa

fidélité n’est qu’une illusion tout comme le mariage est un échec. Le 18 juillet 1869 Louis Bouilhet meurt et, quelques jours plus tard, Maupassant est reçu bachelier à la faculté de Caen. Son année de philosophie lui aura surtout fait découvrir Schopenhauer dont le pessimisme le marquera profondément. Novembre sonne l’heure du départ pour la faculté de droit de Paris. Les débuts littéraires Maupassant arrive à Paris et s’installe rue Moncey, dans l’immeuble où son père vit très modestement. 1870

confrontation avec la réalité produit nécessairement une déception. Référence possible : Rousseau, La Nouvelle Héloïse. Donc, il est voué à ne jamais être satisfait. Il est insatiable et se porte toujours sur un autre objet. Référence possible : Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation, p.80. Car le désir est l'essence de l'homme. Il est donc insatiable: on ne peut et on ne doit pas y mettre fin. Spinoza, Ethique. p.77 Transition : devons-nous alors renoncer à maîtriser nos

concevable » (Kant) ; (iii) « La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain » (Schopenhauer) ; (iv) « Telle qu’elle nous est imposée, notre vie est trop lourde, elle nous inflige trop de peines, de déceptions, de tâches insolubles. Pour la supporter nous ne pouvons nous passer de sédatifs. » (Freud) ; (v) « ces petits plaisirs au lieu

si les désirs de l’Homme ne sont jamais satisfaits, il est constamment dans la souffrance et dans la frustration qui fait obstacle à sa connaissance du plaisir. D’autre part, le désir est insatiable puisque le désir est toujours renaissant. Schopenhauer a dit «  le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir «. En d’autres termes, nous pouvons dire qu’il n’y a rien qui puisse satisfaire pleinement le désir au point de nous faire cesser de désirer. En conséquence, le désir est donc inextinguible

but est voué à l'échec; en ce sens qu'il ne possèdera pas la force de continuer à vivre. Il sera dépressif et tentera certainement de mettre fin à ses jours." L' Homme oscille comme un pendule de gauche à droite entre la souffrance et l'ennui." (Schopenhauer) Cette vision, bien qu' assez pessimiste de la vie décrit très bien cette situation. En effet, l'Homme souffre de ne pas pouvoir obtenir ce qu'il désire mais dès que l'objet convoité est acquis, le plaisir n'est qu' éphémère est l'Homme retombe

raison »(Champfort) « On devrait bien les nourrir et les bien vêtir, mais ne point les mêler à la société. Elles ne devraient jamais lire que des livres de piété et de cuisine » (Lord Byron) « La femme atteint sa maturité d’esprit à la 18e année » (Schopenhauer) « La mission de la femme c’est quatre K. : Kinder, Kleider, Küche, Kirche (Enfants, toilette, cuisine, église) » (Guillaume II) « Ce n’est pas l’éducation, c’est la nature qui a fait aux femmes les cheveux longs et les idées courtes » (en el Beffroi