Arthur Schopenhauer

pensera comme désir. S’il n’est pas assouvit, s’il est irréalisable, il devient déception. Dans cette perspective, désirer, serait un cercle sans fin de nouvelles souffrances. Oui, « L’homme est en proie de cycles sans fin du désir. » comme le dit Schopenhauer. Il est même un risque de mort spirituelle à trop espérer en vain. Dans ces deux visions cohérentes du désir, celui-ci apparaît comme un véritable paradoxe. C) Questionnement. Un tel paradoxe conduit à de longues réflexions et à de nombreux

réflexion sur de nombreuses questions existentielles : Qui suis-je vraiment ? Suis-je vraiment une partie de ce monde ? La nature humaine se retrouve alors bouleversée et au centre de l'étude. Cette idée est défendue par de nombreux philosophes, comme Schopenhauer, qui affirme que l'homme par sa connaissance juste et donc sa lucidité , affronte le monde complexe et cruel, ce qui peut être traduit par un défaitisme. Pour répondre à cette interrogation, nous allons diriger notre étude vers deux axes, pour

souffrances : Schopenhauer. Qu'est-ce qu'un désir ? C'est un manque. Je désire ce que je n'ai pas, je désire ce qui me manque. Or ce manque est toujours en même temps une tension qui provoque en moi quelque forme de souffrance. La faim, la soif, le désir d'avoir un portable à Noël, le désir de s'acheter un veste hors de pris, sont autant de souffrances possibles qui se manifestent d'autant plus facilement à nous que nous ne satisfaisons pas nos désirs, que nous les frustrons. Schopenhauer. La vie

cristallisation » : phénomène en 2 temps. L’amour transforme la personne aimée, l’idéalise. 1. Trouver une nouvelle qualité à cette personne aimée grâce aux expériences vécues. 2. Se poser des questions pour être sur. (raison / imagination ) Schopenhauer : On sait ce qu’il y a en surface, pour ce qui est en profondeur, c’est plus mystérieux. Notre vie psychique : mouvement, agitation autrement dit vie de l’esprit. Notre conscience nous dévoile la surface, dans notre intimité les choses restent

Pessimisme Le pessimisme (du mot latin pessimus superlatif de malus signifiant "mauvais") désigne un état d'esprit dans lequel un individu perçoit négativement la vie. En particulier, d'après cette doctrine, la vie humaine est une perpétuelle douleur (Schopenhauer), parce que notre destination est d'agir et qu'agir consiste à obtenir ce que nous n'avons pas. Le pessimisme nie le progrès de la civilisation et de la nature humaine. Le pessimisme philosophique est une idée similaire mais non identique des

Platon. « Schopenhauer opposait à cela le raisonnement suivant : puisque certains actes entraînent après eux du regret («conscience de la faute»), il faut qu'il y ait responsabilité : car ce regret n'aurait aucune raison, si non seulement toutes les actions de l'homme se produisaient nécessairement - comme elles se produisent en effet d'après l'opinion même de ce philosophe, - mais que l'homme lui-même fût, avec la même nécessité, justement l'homme qu'il est - ce que Schopenhauer nie. Du fait

dire l'absence de troubles de l'âme. Mais l'être humain place généralement son bonheur dans la satisfaction de ses désirs, et tente de les satisfaire à tout prix, comme l'exprime l'expression même de « chasse au bonheur ». Or comme le rappelle Schopenhauer dans Le monde comme volonté et comme représentation, livre IV, paragraphe 57, le désir est infini, au sens où il est insatiable, puisque dès qu'il est saisit de son objet, le manque d'un autre objet se fait ressentir. Le satisfaire revient donc

par Descartes sous un plan métaphysique, en tant que faculté infinie par laquelle l’homme ressemble à Dieu. Kant fera passer ce concept au plan éthique : la volonté est reliée au devoir et à la loi morale. Elle est l’outil de la raison pratique. Schopenhauer en fera la force aveugle s’exerçant sur tous les êtres. La psychologie donnera un sens plus faible, au sens de forme réfléchie et pleinement consciente de l’activité. Volonté, désir et passion Ainsi, elle est différente du désir, car ce dernier

comme totalité le bonheur représente une somme de désirs et une stabilité dans leur satisfaction. Dance cas, on pourrait radicalement se demander s'il n'y aurait pas un désir de bonheur et dès lors prise avec l'illusion ? Mais comme le remarque Schopenhauer «le bonheur satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir» Si le bonheur est un état stable de plénitude, ce dernier ne peut jamais être atteint et c'est pourquoi il utilise la métaphore de l'aumône : Si elle sauve la vie au mendiant aujourd'hui

n'avaient-ils pas bu assez d'eau comme prescrit par leur médecin ? Je ne pense pas. La vitesse entraîne le stress et le stress provoque des maladies et des dépressions, la raison est là ! Ensuite, intéressons nous maintenant à la citation d'Arthur Schopenhauer dans Aphorismes sur la sagesse dans la vie, “Tout ce qui est exquis mûrit lentement”. J'ai personnellement perçu cette phrase comme si elle nous disais que la beauté est lente. En effet, vous serez d'accord avec moi pour dire que l'art est généralement