Ascese Intérieure

cas de la danse, tout le monde admet que le « naturel » soit obtenu par une ascèse impitoyable. Vous n’arriverez pas à placer votre voix, entre celle des critiques derrière lesquels vous vous réfugiez par manque d’assurance, celle des écrivains dont l’éclat vous intimide ou vous méduse, celle de vos professeurs que vous essayez de « récupérer », de recycler à votre profit, si vous ne dénouez en profondeur vos voix intérieures. Vous ne pourrez y parvenir tant que l’exercice vous paraît faux, et que

paralyse, l’amour crée une dépendance physique illusoire, etc. Mais l’on s’habitue aux représentations fausses et troublantes et les mauvaises habitudes sont plus destructrices que les passions. Donc il faut de fait une véritable ascèse pour « détruire l’acropole intérieure » des représentations fausses[10]. L’apathie du sage le rend alors indestructible. La mort d’autrui, comme l’idée de sa propre mort, ne peuvent l’affliger : car la représentation de la mort, correctement analysée, n’est pas une

vivre sans maitre, sans chaines, sans discipline est impensable pour Nietzsche, pour lui = nihilisme. c) quadruple amour d’abord aimer la critique , l’agôn le conflit, la guerre intestine, la guerre intérieure, aimer polémiquer , y voir un plaisir > critiquer c’est l’ interrogation de la légitimité d’une position ou d’un énoncé L’esprit critique ne revient

«Toujours, sous les rameaux du laurier de Virgile,» (v.13) - Le laurier symbolise la gloire - VIRGILE, poète latin, développe le rêve d'une renaissance de l’Italie épuisée par les guerres civiles → propose une régénération morale calquée sur sa propre ascèse poétique - VIRGILE est également évoqué par le Pausilippe, mont où se trouve le tombeau du poète latin «Pausilippe altier, de mille feux brillant,» (v.13) b) Sous le signe d’Orphée «Car la Muse m'a fait l'un des fils de la Grèce.» (v.8) - La périphrase

locales tout en intégrant le culte des ancêtres. Les deux premières constituent avec l’idéologie confucianiste les « trois écoles  » (san jiao 三教) dont les représentants se disputaient l’influence à la cour. Elles comprennent dans leurs pratiques des ascèses individuelles et le monachisme, alors que tous les aspects de la religion traditionnelle sont intimement liés à la vie sociale, économique et familiale. Le Taoïsme Le taoïsme (chinois: 道教, pinyin: dàojiào, « enseignement de la voie ») est à la

applicable par n’importe quel homme raisonnable. Se demander si son agir peut être transformé en une maxime valable universellement est donc contraire à l’idée de Jankélévitch. Puisqu’avec Jankélévitch il s’agit de faire référence à sa propre vie intérieure. Le langage prendra, dans la mesure où il est expression personnelle une résonance particulière chez Jankélévitch. Il peut nous induire en erreur dans la mesure où il est "obtus, simpliste et sommaire"6. Il ne sera donc pas le moyen privilégié

de la vie liturgiques).Le quiétisme apparaît comme une réaction au jansénisme, par la recherche d'un Dieu plus accessible que celui des hôtes de Port-Royal, qui ne parviennent à la communion divine qu'après la mort et après une vie marquée par une ascèse rigoureuse et terrifiante qui ne leur garantit pas d'être sauvés.Cette doctrine est condamnée par le pape Innocent XI dans la bulle Coelestis Pastor (le pasteur des cieux) (1687).  Le développement de cette doctrine, violemment combattue par Bossuet

« soi » qui subit cette métamorphose intérieure ; le second, de nature historique, s'interroge sur la constance de cette compréhension de la philosophie. Quels sont les penseurs qui ont abordé cette question ? Les guides de ce parcours à travers les âges de la philosophie, des Stoïciens à Michel Foucault, de Saint Augustin à Bataille, ont développé différents concepts autour de ce rapport à soi réflexif et fondateur : ce sont notamment les termes d'expérience intérieure, de pratique de soi ou encore d'herméneutique

classiquement complexes du libre-arbitre et de la nécessité, faisons d’abord cette remarque que la liberté se présente le plus souvent comme un grand embarras. « La liberté, mot détestable ». Et, puisque tout accès direct semble barré, l’épreuve intérieure de la liberté ne faisant surtout pas preuve, l’atmosphère de toute discussion sur ce sujet restera morose, voire désespérée. Comment faire droit alors au plaisir tout simple pris à l’exercice de la liberté lorsqu’il consiste à mouvoir aisément ses

valeur en soi, mais elle est le témoignage objectif d’une réalité intérieure. Elle est la conséquence vérifiable que la vie spirituelle est vraiment intensément vécue, Le travail apparait alors non comme un moyen, mais comme le témoignage du salut, comme une œuvre d’art partant de la réalité d’une vie spirituelle. Il n’a pas pour but d’acquérir de la richesse, encore moins de donner du plaisir; il est le fruit normal de la vie intérieure de l’homme. Ce travail n’aura jamais de fin; il faudra préserver