Axe Paradigmatique

prochaines trois années, quatre axes d’évolution et de développement : les deux premiers liés directement à la raison d'être de l'université, sont l'amélioration de la qualité de l'offre de formation et le développement de la recherche. Le troisième axe est l'amélioration de la qualité des processus de support et de gestion. Le quatrième, l'amélioration de la qualité de l'évaluation interne et externe, montre bien l'intention de l'université de passer d'une culture de contrôle à une culture de pilotage

unifié, ni un référent pré-établi, ne pouvaient s’appliquer à nos propos, nous avons donc emprunté, auprès des diverses disciplines des concepts pour circonscrire les contours du référentiel théorique. En fonction de l’angle où nous nous situons, cet axe conceptuel est au croisement de deux courants : territoriaux et socioéconomiques. 2.1. Courants territoriaux 2.1.1. Les proximités du milieu Le milieu qui convient à cette recherche est celui du « milieu entrepreneurial » que Julien (2005) décrit comme

-Le caractère multi dimensionnel d'un parti -La diversité des points de vue disciplinaire, paradigmatique, qui sont susceptibles d'être porté sur le phénomène partisan. On est face à une très grande diversité d'approches... Pour y voir un peu plus clair, il faut essayer d'établir une cartographie, une formalisation schématique sur la manière dont s'ordonne la recherche. (Voir schéma) Premier axe : Au niveau micro, on va étudier les différents agents qui habitent les PP au plus près de la

la notion de générativité menées à l’intérieur même du paradigme sémiotique (à savoir, la théorie des catastrophes, la sémanalyse, la sémiotique subjectale). Dans la foulée des interrogations sur l’universalité des structures sémiotiques tant paradigmatiques (le modèle constitutionnel) que syntagmatiques (le modèle transformationnel), on a souligné que ces dernières étaient en défaut lorsqu’il s’agissait d’articuler les notions d’hétérogène, de gradation, d’expansion, d’intensité ou de rythme qui

sont les économistes qui proposent de dépasser les oppositions paradigmatiques… … Ecole de synthèse : Samuelson, Hansen, Hicks, Mundell, Fleming • Droite 45° • ISLM • ISLMBO Au-delà de la synthèse : le retour aux classiques : la nouvelle économie classique (R. Lucas), cycles réels, anticipations rationnelles. 4. Les hétérodoxies en économie Nombreux sont les économistes qui proposent de dépasser les oppositions paradigmatiques et tentent par ailleurs de raisonner en combinant les approches

dans une vaste entreprise taxinomique des altérités avec lesquelles il entretiendra à la fois des relations de fascination et de répulsion (comme il convient à tout bon processus fantasmatique); c'est dans ce cadre-là que s'accomplira la vocation paradigmatique et polarisante (à laquelle nous avons déjà fait allusion) de la relation à l'altérité orientale. La proxémique nervalienne C'est autour de la question capitale de la proxémique que se nouent dans le Voyage en Orient l'interrogation anthropologique

procédés conjoints et partiellement antithétiques sont sensibles et suffisent à susciter le rire : la reprise et la surprise. Le premier renforce visiblement la construction accusée de la forme poétique – et à cet égard, la chanson revêt la place paradigmatique de texte comique par excellence. Ainsi en va-t-il d’« Insomnie », où l’apostrophe anaphorique (quatre occurrences de « Insomnie ») interpelle la monstrueuse réalité au point de créer le rythme lancinant et envoûtant d’une litanie ; l’allure

régime de l’imaginaire citadin. Il serait dérisoire de la transformer en analyseur des sociétés urbaines » 11 S’il semble conséquent de souligner que l’expérience urbaine mobilise autant l’œil c’est qu’elle prend généralement pour activité paradigmatique la circulation du citadin. Or, se déplacer, déambuler ou circuler consistent en un certain sens à ne passer qu’à la surface des choses. C’est alors qu’il faut entendre la leçon de Simmel et « arrêter de se plaindre de la superficialité des rapports

économique ? 2- L’histoire de la pensée économique et l’histoire des autres sciences 3- Les méthodes de l’HPE 3.1. Une histoire rationnelle ou une histoire intellectuelle ? 3.2. Approche relativiste vs. Approche paradigmatique 1) A quoi sert l’histoire de la pensée économique ? A RIEN Comme l’affirmait Georges STIGLER en 1969, l’histoire de la pensée économique est une perte de temps inutile, comme nous avons tant à faire avec la théorie économique moderne. Certains

à s’interroger sur la manière dont les être humains prennent leurs décisions ([Simon 1997, p. x], [Augier & March 2004, p. 5]. Tout au long de sa carrière Simon va décliner cette question principale autour de trois axes de réflexion. 1) Le premier axe porte sur la question de la rationalité humaine. La notion de rationalité limitée des agents telle que la conçoit Simon le conduit à s’opposer aux hypothèses sur la rationalité de l’homo oeconomicus. Cette réflexion sur la rationalité ne consiste pas