Bamilékés

coloniaux. - De 1954 en 1960 en Algérie. Prétextant de l’insurrection algérienne, sous la conduite du Front de libération Nationale (FLN), l’occupation française massacre environ un million d’Algériens. - De 1945-1971 : Massacre au Cameroun En pays Bamiléké, la boucherie fait environ 400.000 morts. Des villages rasés au naphalm. - Le 29 Mars 1959, attentat mortel contre Barthélémy Boganda, à l'instigation des services secrets français. Paroles de Charles DE GAULLE le lendemain de sa mort : "Enfin

dynamisme que la Chine conquiert le monde tout entier et compte aujourd’hui parmi les plus grandes puissances au monde. L’Afrique pourrait être inspirée et prendre la même voie. Au Cameroun, nous avons les ressortissants des Grassfields, notamment les bamilékés qui sont une population très dynamique, ils s’implantent un peu partout dans le pays et même ailleurs en Afrique et dans le monde pour propulser l’économie camerounaise. Pour pouvoir faire suivre cet exemple par le grand nombre, il faudrait pour

manifestations physiques Au-delà des formes verbales, la politesse se reconnaît également par les apparences. La posture qu’adopte un valet à son maître peut bien définir la considération ou non qu’il a à l’égard de ce dernier. Dans la région Bamiléké, les peuples accueillent leur roi courbés et à chapeaux bas (Claude Njiké Bergeret,Ma Passion africaine,1999). La galanterie est une composante de la politesse, mais l’homme galant est-il poli ? A cette question Julia Kristeva dans la politesse in

(chefferies) traditionnels, sites archéologiques, zones de chasse • Province du Nord-Ouest (Bamenda) : zone de montagne, paysages verdoyants, grandes chefferies, artisanat • Province de l’Ouest (Bafoussam) : zone de montagne, chutes d’eau, chefferies Bamiléké, lacs et cratères, carnaval des morts et autres fêtes traditionnelles • Province du Sud (Ebolowa) : zone de forêt dense et d’îles naturelles, plages • Province du Sud-Ouest (Buéa) : Mont Cameroun et ouverture sur l’Atlantique, forêt humide dense

le Golfe de Guinée et sur l’agriculture camerounais de cacao et de café. Ils ont des importantes dettes avec le FMI et son monnaie est aussi le Franc CFA. Las langues sont divisées en trois groupes: le Groupe Santou, avec Cameroun et ses Bamiléké, Enondo, Bassa et Pidji-English; Gabon et se Fang et Congo et se Lingala; le Groupe Nigéro-Congolais, avec la République Centrafricain et se Sango, et le Groupe Nilo-Sahélien, avec Tchad et son Arabe mélangé à des dialectes.  L’Afrique des

souvent des entreprises publiques ou des personnalités politiques importantes. À la fin des années 1980, l’État était « certes créditeur de prèsde140 millions de FCFA sur le système bancaire, mais celui-ci a dû dans le passé accorder aux commerçants bamiléké et aux “aladji” (hommes d’affaires du Nord) des prêts estimés officieusement à plus de 100 milliards ce qui aggravait considérablement sa situation économique. En outre, on note sur le plan interne les détournements des fonds publics et la mauvaise

Aujourd’hui encore plusieurs races d’Afrique tropicales s’y rencontrent : bantous, semi – bantous, et soudanais. Ces diverses races se subdivisent en ethnies, dont la somme est estimée à plus de 200, les principales étant les béti, les bassa, les bamilékés, les bamoun, les doualas, les haoussas, les peuls, les pygmées, les foulbés… La population totale est estimée à 16,5 millions d’habitants avec croissance démographique de 1,8%, une densité de 36,5 habitants au km² et une espérance de vie qui oscille

(Dassault, Lagardère...). Plan politique Quarante ans de Françafrique, ce sont des millions de morts, des centaines de milliards de francs détournés, des peuples méprisés, des milliers d’assassinats : _ Génocides, massacres, tortures : massacre des Bamilékés au Cameroun de1957 à 1970 (des centaines de milliers de victimes), complicité de génocide au Rwanda en 1994* (un million de morts), litanie de massacres au Tchad (au moins 100 000 morts depuis 1980, des dizaines de milliers de personnes violées et

19ème siècle, et qui ne sont toujours que quelques millions en 2010, sont considérés comme formant des nationalités et même des nations avec leur Etat national propre, alors qu’en même temps, les Haussa du Nigeria, les Bakongo de la RDC, ou les Bamilékés du Kamerun, qui sont parfois des dizaines de millions, ne sont que de vulgaires tribus inaptes à accéder à la dignité de nationalité et moins encore au statut de nation ? Si donc, comme il faut le faire, nous considérons les soi-disant « tribus »

représente le principe féminin, sa figure est associée au froid, à la nuit et à la fécondité. Lisa est le principe masculin symbolisant la force. Pour lesYoruba, peuple du Bénin et du Nigeria, la divinité majeure est Olorun, ou Olodumaré. Chez les Bamiléké, elle est nommée Si. Au Burundi et au Rwanda, elle porte le nom d’Imana ; pour les Peul, elle se nomme Gueno, pour les Sérères du Sénégal, Roog Sène ; pour les Malinké et les Bambara, Mangala ; pour les Massaïs, Ngai. Une divinité du même type existe