Bureaucratie Mécaniste

stratégique et le centre opérationnel. Entreprise fragile. Evolution de l’entreprise limitée.But : survie La bureaucratie mécaniste : s’épanouie dans des environnements simples et stables, production standardisée : standardisation des procédés ; postes très spécialisé et compétences faibles : organisation efficace mais pas adaptable, absence de motivations. But : respect des procédures La bureaucratie professionnelle : environnement stable et complexe (besoins connaissances très importantes), fondée sur

sein de l’entreprise ou de la société, afin de s’adapter aux contraintes du marché. La flexibilisation de l’outil de production est une tendance lourde de l’évolution industrielle. En effet, les acteurs économiques tendent à passer de la bureaucratie, mécaniste ou professionnelle (logique productiviste), voire de la technocratie (logique qualitative) à l’adhocratie (adaptation à la demande). On dénote principalement quatre formes de flexibilité : Flexibilité quantitative, Flexibilité

taille, ajustement mutuel ou supervision directe, pouvoir centralisé, à l’aise dans un environnement dynamique et simple * La bureaucratie mécaniste (ex : P de masse, à la chaîne) : âgée, relativement grosse, standardisation des procédés, centrée sur la technostructure, environnement stable et simple * La bureaucratie professionnelle (ex : hôpitaux, universités, fonction publique) : âgée, de grande taille, standardisation des qualifications, décentralisée : pouvoir

caractère universel. Dans ce modèle, les rapports entre les individus dont les tâches sont spécialisées sont régis par une logique qui leur est exogène. La structure est alors dite mécaniste. C’est lorsque les trois dimensions (spécialisation, coordination et formalisation) atteignent leur apogée que la structure mécaniste peut être qualifiée de bureaucratique. Ce modèle est pyramidal. Le modèle est territorial lorsque l’entreprise est découpée en territoires reliés les uns aux autres suivant des axes

Weber Sociologue, il explique les classes sociales, philosophes mais aussi économiste allemand, il explique l’origine du capitalisme. Il est considéré comme le père de la sociologie moderne. Weber a travaillé sur la légitimité du pouvoir et la bureaucratie. 3.1. La légitimité du pouvoir Quelle est l’origine du pouvoir de certaine personne ? La différence entre pouvoir et autorité : Le pouvoir : capacité à contraindre, à obliger les autres à faire ce que l’on souhaite L’autorité : qualité

Les prémisses de l’analyse des organisations : l’approche mécaniste simple La réflexion sur l’organisation se développe surtout à partir du XIXème siècle du fait de : - la révolution industrielle - l’émergence de l’entreprise de grande taille - l’élaboration d’une législation sociale encadrant le travail : 1864 : droit de grève 1884 : loi Waldeck-Rousseau légalise les syndicats. I/ La vision de l’organisation selon les classiques (1900-1940) A/ Taylor (1856- 1915) Il a commencé sa carrière

utilisés pour atteindre les objectifs. Mais si on analyse trop, on risque de ne plus agir ou du moins pas assez vite. Un bon chef d’entreprise doit être capable d’équilibrer les deux. WEBER va démontrer que la bureaucratie est le symbole positif du pouvoir légal. Pourquoi positif ? La bureaucratie est la forme la plus juste pour 4 raisons : * Elle est fondée sur la compétence. * Le fonctionnement s’appuie sur une réglementation impersonnelle. * Les taches sont divisées en expertises (elles

des pouvoirs rend les fonctions trop autonomes. * La phase de formalisation, qui est caractérisée par la mise en place de procédures et de règles de coordination. Cette phase prend fin lorsque l’excès de formalisation conduit à une crise de bureaucratie. * La phase de collaboration, qui est caractérisée par la mise en œuvre de groupes autonomes et responsables fondés sur la confiance. Cette phase s’achève par une crise de renouveau lorsque ce management consultatif fait reposer l’individu des

difficile à réaliser suite aux principes et aux valeurs de chaque homme travaillant dans l’entreprise. Des croyances qui ne peuvent pas être éliminées, puisque l’être humain déborde de variables psychologiques qui ne peuvent pas mises à part. La vision mécaniste des hommes est donc un autre point faible pour ces théories. Le troisième et dernier point repose sur l’idée que l’organisation est un système clos, isolé de l’environnement extérieur. Ce qui ne peut pas être vrai .Les règles préétablies ne peuvent

quoi il se distingue d’autres notions ? Quelles fonctions de la firme il concerne ? La flexibilisation de l'outil de production est une tendance lourde de l'évolution industrielle. En effet, les acteurs économiques tendent à passer de la bureaucratie, mécaniste ou professionnelle (logique productiviste), voire de la technocratie (logique qualitative) à l'adhocratie (adaptation à la demande). La flexibilité peut revêtir de multiples aspects : variation des horaires, des salaires, des effectifs. Traditionnellement