Carbocation

électronique autour de l’atome d’oxygène 9 (H) = 2,1 ; (C) = 2,5 ; (O) = 3,5 ; (Cl) = 3,0 ; (F) = 4 EFFET INDUCTIF ET RÉACTIVITÉ CHIMIQUE Exemple 2 : Stabilité des intermédiaires réactionnels: formation des carbocations + Stabilité Carbocations primaires Carbocation secondaire Carbocation tertiaire Effet donneur exercé par les groupements rattachés au C+ Stabilisation de l’atome C+ déficitaire en électron 10 EFFET MÉSOMÈRE  L'effet mésomère représente les mouvements des doublets d’électrons

L’addition de HX (HCl, HBr, HI, HClO, H3O+ …) se déroule en deux étapes : d’abord l’addition de H+ qui transforme l’alcène en carbocation, puis l’addition de l’anion ou du nucléophile sur le carbocation intermédiaire. La régiosélectivité de cette addition est contrôlée par la première étape où se forme le carbocation le plus stable. En général il s’agit du carbocation avec la charge + portée par le carbone le plus ramifié, ce qui permet de mieux comprendre la règle empirique de Markovnikov selon

chimie_chap_X_2_SubstitutionNucléophile1 Chapitre X-2- Substitution Nucléophile (S.N.) ***** Comment remplacer une fonction par une autre******* BCPST1 A.L. Bacchetta A- Le substrat électrophile, groupe partant nucléofuge Halogénoalcane : définition, réactivité, propriétés physiques Alcool : réactivité, nécessité d’une activation pour rompre C-O, propriétés acidobasiques, propriétés physiques B- Substitution nucléophile sur halogénoalcane Bilan, conditions opératoires, observations cinétiques Mécanismes

qui unit le groupe carboné au groupe partant est ionisée en un carbocation et un anion (ou contre-ion), dans la mesure où le groupe R est tertiaire, voire secondaire, mais pas primaire (énergie de formation trop élevée). Cette ionisation, qui est une réaction lente, favorisée par la formation de liaisons hydrogènes avec le solvant, correspond à la première partie du mécanisme de substitution monomoléculaire SN1(§ 8.1.3). Le carbocation est alors stabilisé par solvatation : le solvant l’entoure comme

facilement attaquées, en particulier, par des entités chargées positivement telles que H+, le proton, provenant par exemple d’acides hydrohalogénés (formule générale HX avec X = halogène, comme dans HCl, HBr) ou d’un carbone chargé positivement appelée carbocation (§ 6.11). Cette attaque pourra s’effectuer sur chaque face du plan « sp2 » ce qui peut conduire, dans certains cas, à deux composés différents par leur représentation dans l’espace (voir les réactions d’addition sur les doubles liaisons, chapitre

stéréosélectivité et de la stéréospécificité Addition électrophile ionique de HX  ▪ Bilan, mécanisme réactionnel, profil énergétique. ▪ Régiosélectivité : règle de Markovnikov, interprétation de la régiosélectivité, stabilité des carbocations (cas de carbocations stabilisés par un groupement mésomère donneur ou déstabilisé par la présence d’un groupement inductif attracteur) ▪ Aspect stéréochimique ▪ Réactions de transposition Addition électrophile ionique de H2O ▪ Bilan, mécanisme

proton. Il se forme un carbocation qui est ensuite attaqué par l’anion présent dans le milieu. 1. Addition électrophile sur les alcènes Une double liaison est un site nucléophile en raison de sa forte densité électronique ; cela explique une attaque facilitée pour les réactifs électrophiles tels que H+. Il se forme d’abord un carbocation qui est ensuite attaqué par l’anion présent dans le milieu ; X-. La formation du carbocation est l’étape lente et c’est le carbocation le plus stable qui sera

huiles. La biochimie pourrait compléter cette définition en ajoutant que les lipides peuvent provenir, en totalité ou en partie, de condensations de thioesters basées sur des carbanions et/ou de condensations d'unités d'isoprène basées sur des carbocations[2]. Ceci fait référence à la manière dont les être vivants synthétisent les lipides. Il existe plusieurs voies de synthèse qui peuvent se regrouper en deux catégories selon la « brique de base » utilisée : un thioester ou un isoprène. Cependant

brutales. 3.1. Réactions d’addition électrophile (AE) Le mécanisme d’AE est en deux étapes : la formation du carbocation et l’attaque du nucléophile. 3.1.1. AE d’hydrogénohalogène (HX) Cette réaction consiste à faire l'addition d'un acide HX sur la double liaison d'un alcène. +HX X Pour un alcène dissymétrique, cette réaction est régiosélective en fonction de la stabilité du carbocation formé. Régiosélectivité est une réactivité d’une partie d’un groupe fonctionnel, qui possède plusieurs parties

La Sn1, mécanisme à étapes successives, dépends uniquement de la concentration du groupe nucléophile. Lors de la première étape, un groupement attracteur d'électron se détache de la molécule formant ainsi un carbocation. Lors de la deuxième étape, un groupe nucléophile attaque le carbocation. L'attaque peut se faire des des côtés, il en résulte donc un mélange racémique (mélange en proportions égales des énantiomères lévogyre et dextrogyre). La Sn2, mécanisme en une étape, dépends de la concentration