Carnage

« entassa ». Ils sont presque tous en anaphore * Champs lexical de l’horreur : meurtre, carnage, horreur, rapine, égorgea. * v.11 fait écho avec le v.14 * Le décor décrit est mis en relation avec son caractère et renforce son coté macabre, inhumain. Les épines aussi sont un décor (v.6/7) * Il a réussi à faire croire au personnage, dupé tout les autres animaux. Personnage mis à la rime avec carnage coté terrifiant du singe. * Réaction du « public » v.17 : paradoxe. Les bêtes l’admiraient

jour ou la nuit (La lumière au plafond est allumée mes l’ont perçois aussi la lumière du jour). Mais les personnages et les mouvements sont tous dirigé vers des sens différents, la distorsion des personnages intensifie la sensation de carnage, de panique, de carnage. On peut voir : 4 femmes qui tente d’échapper eu flamme. Dont une qui pleure son enfant mort, cette illustration fait clairement référence à la scène de la Piéta (La piéta est la scène ou la vierge Marie pleure son fils Jésus après la

temporel ainsi que les acteurs du scandale dénoncé. Il livre des noms et des lieux en amplifiant le registre polémique. Pour cela il met leur noms au pluriel et les numérote :  «  des Grégoire VII; Des Bonifaces VIII » «  ont couvert l'Europe de carnage et d'horreur » → l' Espace hyperbolisé D'Holbach se sert de cette article pour exposer sa visée et ses idées. Il y critique de manière personnelle la religion. La phrase « Dans des siècle d'ignorance » fait allusion a l'obscurantisme et au manque

autrefois gouverner par Hector le défunt mari d’Andromaque . Cette destruction est exprimée par l’héroïne dans une tirade s’entendant du vers 16 a 35 . La tirade abrite deux champs lexicaux celui de la mort : « funérailles » « ensanglantant » « carnage » « cris des mourants » ainsi que celui de l’incendie : « étincelants » « brulants » « étouffés ». On peut clairement voir la proximité entre la mort et Pyrrhus. La mort et lui étant étroitement liés , Andromaque ne peut faire un choix irréfléchi

détruite en 1937 par les aviateurs de la légion Condor, qui ont été envoyés par Hitler pour soutenir le Général Franco. Ce bombardement a eu lieu un jour de marché, avec des bombes explosives, puis incendiaires, faisant de nombreuses victimes. Ce carnage a été relaté par un journal, et Pablo Picasso a décidé de faire un tableau pour relater l’horreur de cette attaque. Description du tableau Ce tableau est fait avec une peinture à l’huile sur une toile dont les dimensions sont 3,50 m de hauteur et

que »). - Les tercets correspondent à la proposition principale. Les premiers sont consacrés à la guerre, les derniers à l’indifférence à Dieu. Plan 1. La condamnation de la guerre 2.La condamnation de Dieu 3.La sérénité de la nature face au carnage I/ LA CONDAMNATION DE LA GUERRE 1/ L’évocation de la guerre - La guerre est évoquée comme une entreprise de construction. - Les armes comme la mitraille apparaissent dès le premier vers. L’enjambement du vers 2 met en relief le verbe « siffler

clins d’œil adressés à l’illustre prédécesseur Napoléon Ier ( l’antéposition archaïsante de l’adjectif « royal appétit » v.1 ), ▪ et dans la façon de jouer subtilement avec le sens des mots, pour mieux mêler hommes et animaux ( l’antre entouré de carnage v.11 ( = Massacre, tuerie ) se transforme en caverne « pleine d’ossements » v.14 ). C- Le récit Le récit, que le complément de temps « un jour » situe dans un passé indéterminé, non historique, est caractérisé, comme chez La Fontaine, par

nul n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, O frères implacables! Charles Baudelaire J’ai choisi ce poème car il y a une musicalité grâce a une personnification de la mer au même plan que l'homme et grâce au Rîmes embrassées. L’homme et la mer partagent

dramatique. Vivacité du style direct (v. 5-6, 15-17). Sonorisation de la scène : « grincer des dents », « rugissements ». Violence des actions : champ lexical du massacre et de l'épouvante : « horreur », « meurtre », « égorgea », « dévasta », « carnage » ; thème de la mort : « ossements » (v. 14), métonymie pour « cadavres ». Pour rendre compte de la violence, Hugo recourt à divers moyens : la variété des rythmes : les alexandrins isolés marquent les étapes du récit (v. 3, 4, 11, 12 et 17) ;

avril 1994, environ 3, 5 millions de personnes, soit près de la moitié de la population totale du Rwanda avant la guerre civile, ont été tuées ou contraintes de fuir leurs foyers en raison du conflit ethnique. Beaucoup de ceux qui ont survécu au carnage ont péri du choléra et d’autres maladies qui déciment les camps de réfugiés. Les migrations sont un autre symptôme de désintégration sociale. Que ce soit parce qu’ils fuient pour chercher une vie meilleure ou parce que des conditions politiques