Carnage

sans avoir combattu 40 Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu. Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges; De notre sang au leur font d'horribles mélanges. Et la terre, et le fleuve, et leur flotte, et le port, Sont des champs de carnage où triomphe la mort. 45 Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres, Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait, Ne pouvait discerner où le sort inclinait ! J'allais de tous côtés encourager

d'écriture sont utilisés dans ce texte pour augmenter son effet, parmis lesquels se trouve l'oxymore : « De ce commun bonheur pleure son ennemie. » (l.29), l'anaphore : « Déjà de traits en l'air s'élevait un nuage; Déjà coulait le sang, prémices du carnage. » (l.11/12) ainsi que « Les dieux font sur l'autel entendre le tonerre; Les vents agitent l'air d'heureux frémissement » (l.26/27) (nous pouvons noté que à deux reprises, la première partie de l'anaphore est séparée de la deuxième par un point virgule)

«Je suis le diable. Je viens faire le travail du Diable. Donne ton fric». Pendant ce temps-là, les autres membres de la famille rassemblent les habitants, Sharon Tate, Abigail Folger et Jay Sebring et les ligotent.   La prise d’otage tourne au carnage lorsque Voytek demande à ce qu’on épargne Sharon Tate, tout en essayant de pousser le revolver. Tex tire dans l’épaule de Voytek et somme Susan Atkins de l’achever à coups de couteau. Il se débat et reçoit 4 coups de couteau au niveau des jambes et

“ ôta du meilleur des mondes ” ou encore “ renversèrent ” qui fait penser à une bataille de petits soldats de plombs. L'horreur de la guerre est cachée, atténuée. C'est le jeu de la guerre. L'oxymore “ boucherie héroïque ” rend compte à la fois du carnage sanglant comparé à une exécution d'animaux dans un abattoir, et du côté épique soit-disant glorieux. Cette vision déshumanisée de la guerre est d'autant plus efficace qu'elle frappe et touche le lecteur. On peut donc conclure que dans cette première

des ennemis (franquistes et allemands)sur les habitants du petit village Ici, La bête hébétée reste au milieu du propre carnage qu’elle a causée Le taureau Figure récurrente du travail de Picasso, elle symbolise la brutalité et l’indifference des ennemis (franquistes et allemands)sur les habitants du petit village Ici, La bête hébétée reste au milieu du propre carnage qu’elle a causée

paragraphe 1 et le paragraphe 2. Une « horrible » bataille. Il y a une critique politique car ce ne sont pas les rois qui font la guerre mais envoient le peuple le faire à leur place et une critique religieuse car la religion bénit ce carnage. Un carnage, une description très réaliste. Ce sont des civils qui sont tués. Il y a des assonances en [e] «brulés », « eventrés », « cribles », « égogés ». Bonne organisation avec les connecteurs logiques. On passe de vieillards, femmes, enfants →

destruction : « carnage » « tellement ». L’homme et la mer partagent des sentiments humains. Ils se rapprochent pour l’amour ou pour la lutte (lame = vague ou couteau). (Rumeur, abîmes  = homme / plainte, richesses intimes  = mer  sont inversés). • Le goût pour le néant. Les ressemblances : l’homme comme la mer est libre, indomptable, sauvage ; ils partagent les mêmes abîmes, les mêmes secrets, les mêmes richesses intimes, la même jalousie. Enfin ils ont le même goût pour le carnage et la mort

souffrance et leurs expressions horrifiées (yeux en forme de larmes, langues en forme de lames de couteau), donnent une impression de chaos, les personnages ne s’attendaient pas au bombardement et se retrouvent démunis et perdus face à la violence du carnage. Le jeu des regards est important : Les regards se dirigent vers les éléments montrant la domination de l’ennemi (incendies causés par les bombes rappelées par le plafonnier) excepté celui du taureau : ce procédé est utilisé afin d’introduire le spectateur

attendent de pied ferme, « couch[és] contre terre ». La confrontation entre les deux camps, métaphorisée par les deux éléments (eau et terre), produit « des ruisseaux de leur sang », image hyperbolique qui transforme ensuite le décor en « champs de carnage où triomphe la mort », métaphore saisissante du champ de bataille. Puis, le parallélisme du vers 62 met en évidence le retournement de situation et l'inversion du mouvement dans le décor : « Le flux les apporta, le reflux les remporte. » La description

hypotypose.C’est une véritable reconstitution de la ville en feu où se déroule le plus atroce des carnages que raconte Andromaque à travers ses souvenirs. L'auteur,Racine, n'a pas fait dominé le champs lexical de l'héroïsme et de la guerre mais plutôt celui du massacre,de la mort, de la barbarerie comme le montre les termes :« ensanglantant » (v. 996), « morts » (v. 1001 ), « carnage » (v. 1002), « mourants » (v. 1003), « expirants » (v. 1004).Comme dans le cas général des récits