Carnap

comme l’aboutissement de la logique empirique. Le statut de vérité des phrases théoriques implique la reconnaissance des mérites structurels des théories qui contiennent ces phrases. Invoquant pour conclure une dissociation suggérée à son maître, Carnap, la décision ontique vient clore une « escalade sémantique » en traçant une frontière entre des énoncés qui ont un contenu non verbal et d’autre qui ont un contenu purement verbal. Le prix à payer pour éviter l’escalade sémantique n’est-il pas alors

converses à l'oeuvre dans le discours scientifique (cause-conséquence, spécification-généralisation, simultanéité-successivité). Vu que la cohérence est interprétabable logiquement en termes d'inclusion, de présupposition et de postulats de sens (Carnap), nous avons essayé de cerner les différentes actualisations de la cohérence à travers une grille logico-mathématique et lexico-grammaticale. La cohérence lexicale revêt trois matérialisations discursives: i) p a r é q u i v a l e n c e (A = A-récurrence

de 1923 en vue de développer une nouvelle philosophie de la science sous l'horizon de ce qu'ils vont nommer le positivisme logique et dans ce cercle, assez largement amical on trouve des gens comme son fondateur qui est un physicien, Hans SCHLICK, CARNAP, le juriste KOFFMANN, le psychanalyste HARTMAN et l'épistémologue POPPER, ce dernier ayant le plus forcé sur le principe de falsifiabilité. Dans ce groupe on trouve aussi un philosophe: Ludvique Vigenstein. Kelsen en sera membre après 1925.

(No 2003-07); Philippe Nemo : La Forme de l’Occident (No 2003-08); Robert Nadeau: Hayek’s and Myrdal’s Stance on Economic Planning (No. 2003-09); Guillaume Rochefort-Maranda: Logique inductive et probabilités : une analyse de la controverse Popper-Carnap (No. 2003-10); Guillaume Rochefort-Maranda: Probabilité et support inductif. Sur le théorème de Popper-Miller (1983) (No. 2003-11); F.P.O’Gorman: Rationality, Conventions and Complexity Theory: Methodological Challenges for Post-Keynesian Economics

établir le sens des mots, et qui consiste à ancrer (« fonder ») ce sens dans l’action. C’est sans doute avec la philosophie de Ludwig Wittgenstein que le positivisme parvient à son point culminant. Les positivistes logique du Cercle de Vienne (Carnap, Neurath, Popper dans un premier temps, etc.) s’inspirent en effet directement du Tractatus logico-philosophicus paru en 1922. Le positivisme de Wittgenstein repose sur une conception très rigoureuse du langage et de la logique. C’est une théorie

Elle se poursuit jusqu'au 18éme siècle par Kant qui dit que la logique est une théorie de la compréhension, c'est-à-dire, la faculté de comprendre. Au 20éme siècle, après la publication de travaux rédiger par 2 auteurs, c'est-à-dire, Frege et Carnap, qui ont publié à partir de 1820, la logique n'est plus considérer comme dépendant de la réalité, elle n'est pas considérer comme l'articulation de pensée. Pour ses auteurs, la logique viendrait du langage (mode d'expression, syntaxe, grammaire, sens

il faut choisir ce qui est le meilleur moralement (Kant) - critique : si on cherche le bien, on ne trouve pas le vrai ! (Nietzsche) 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) - il faut séparer vivre et connaître (positivisme) (Carnap) - opposition historique entre la religion (chrétienne notamment) et la science - la religion comme illusion, c’est-à-dire idée née de nos désirs (Freud) B. Le problème du mal - contradiction entre l’idée d’un Dieu tout-puissant et suprêmement

fait pertinemment F. Rastier, d'une part les ontologies qui les sous-tendent effectivement, et d' autre part, les metaphores dont ils sont porteurs ou promoteurs. Le cognitivisme classique est tributaire de la philosophie logico-positiviste (Russell, Carnap) et de la notion rudimentaire de representation avancee chez le premier Wittgenstein. Les connexionnistes en retour ont emprunte ala phenomenologie pour combattre le positivisme logique. Le paradoxe, comme le fait observer F. Rastier, c' est que«

de reconnaître cette précarité, il ne faut pas en exagérer l'ampleur. Les empiristes ont raison d'affirmer qu'une proposition n'a de sens que s'il existe, en principe, une possibilité de la confirmer de façon empirique. Mais comme le souligne R. Carnap, « ceci ne veut pas dire qu'une proposition est significative si et seulement s'il est possible de décider dès aujourd'hui de sa vérité » (53). Le scénario, même s'il simule une réalité future, n'est pas nécessairement, dans les propositions d'ordre

hypothèse par des expériences répétées. Dès lors, l’expérience précède la théorie. Ce point de vue sera repris dans l’entre deux guerres par les intellectuels du Cercle de Vienne (que l’on appelle les positivistes logiques et parmi lesquels nous trouvons Carnap, Quine, Schlick ou encore Neurath). En parallèle, la microbiologie (sous l’influence de Pasteur et Koch) se développe. Ainsi, nous découvrons des agents infectieux mais également la capacité de reproduire la maladie afin d’isoler l’agent responsable