Cassation Com 5 Décembre 2006

2008 2009 Droit Administratif Les biens 3ème Année, semestre 5 Xavier ROLLIN Université de Reims Champagne-Ardenne Introduction : Le droit administratif a pour objet de fixer les règles et procédures des biens appartenant aux personnes administratives. A l’instar des personnes physiques, les personnes de droit publics sont susceptibles d’être propriétaire et de posséder des biens. La qualité de propriétaire, renvoi à une situation juridique dans laquelle un droit est consenti à une

nécessaire d’attendre la réalisation d’un certain chiffre d’affaire. Une exception : une clientèle peut préexister à l’ouverture du fonds au public : station service. Cela a donné lieu à une jp abondante dans les années 1970. Selon la Cour de cassation (Com. 27 février 1973), les compagnies pétrolières ont confié aux gérants de station service la location gérance d’un fonds de commerce du fait que la clientèle existait déjà étant attachée au renom de la marque et à la qualité des installations mises

cautionnement (une sureté personnelle, auquel cas on applique l’article 1415 et on n’a pas besoin du consentement du conjoint) ou une sureté réelle (auquel cas on applique l’article 1422 et il faut obtenir le consentement du conjoint) ? CCass, 2 décembre 2005, arrêt de revirement : « le cautionnement hypothécaire (cautionnement réel) n’est pas un cautionnement (une sureté personnelle) mais une sureté réelle ». Le législateur a réceptionné cette jurisprudence. Sect I PRESENTATION GENERALE

Revue trimestrielle, citée Clunet, ou JDI. IV : Ouvrages divers : B. Ancel et Y. Lequette, Grands arrêts de la jurisprudence française de droit international privé, Dalloz, 5ème édition, 2006, cité G.A. Travaux du comité français de droit international privé, publiés périodiquement, cité Trav. com. fr. dr. int. pr. Jurisclasseurs de droit international, 10 volumes, éd. techniques Répertoire de droit international, 3 volumes, Dalloz - Recueil des cours - Académie de droit international

être dressé pour tous les enfants ? Même ceux qui ne sont ni vivants ni viables ? L’article 1-2 dit que l’enfant devait respecter au moins une des conditions. On distinguait dans les enfants mort nés ceux qui en bénéficiaient ou pas. ⎝La Cour de cassation à considérée que la circulaire (au moins une condition) n’avait aucune valeur dans 3 arrêts du 6 fevrier 2008. L’article 79-1 du CC ne subordonne pas l’établissement de l’acte ni au poids du fœtus ni à la durée de grossesse. Tout enfant né sans vie

du 17 février 2005. A) Le champ de la garantie. - Les biens couverts. - Les contrats couverts. - Les désordres couverts B) Les conditions de la garantie. - Un défaut caché. - Un défaut antérieur à la vente. - Les circonstances indifférentes. 5 - Y a-t-il des causes d’exonération du vendeur ? C) La mise en oeuvre de la garantie. - Les délais prévus. - Action directe et action récursoire - Les sanctions. - Caractère d’ordre public du régime § IV L’obligation de sécurité. Section III

d’expliciter le raisonnement du juge (I) et de le restituer dans son contexte doctrinal et jurisprudentiel (II). I – Explicitation de la décision 2. - Lire l’arrêt. - Le plus souvent, le commentaire proposé sera un arrêt rendu par la Cour de cassation. Ces arrêts sont relativement courts : ils sont donc plus lisibles et, pour la même raison, ils laissent plus de place aux commentaires… Pour rédiger un commentaire, il faut évidemment commencer par lire l’arrêt. Mais il faut

PREMIERE ANNEE - DEUXIEME SEMESTRE DROIT CIVIL TOME 1 Mme DURRLEMAN – Mme SERRAS M. RAVIT 1 PLANNING DES TRAVAUX DIRIGES Séance 1 Du 25/1 au 30/1 p. 5 La classification des contrats et la capacité des contractants Séance 2 Du 1/2 au 6/2 p. 11 Séance 3 Du 8/2 au 13/2 p. 27 Séance 4 Du 22/2 au 27/2 p. 43 Séance 5 Du 1/3 au 6/3 p. 61 L’existence du consentement Les vices du consentement L’objet Les nullités 2 BIBLIOGRAPHIE MANUELS J.L.AUBERT : Le contrat –

et des exceptions purement personnelles. • Ex : le CMF impose le respect d'un certain nombre de formalités lorsqu'une personne emprunte à une banque ; en cas de non-respect de ces formalités, la dette principale est nulle. La Cour de Cassation a décidé en 2010 que la caution ne pouvait pas s'appuyer sur le non-respect de ces formalités pour échapper à son engagement : en effet, le non-respect de ces formalités est considéré ici comme une exception purement personnelle, de la même manière

qu’auraient déterminé la concurrence naturelle et libre du concurrence. Ce texte a fait l’objet d’une interprétation extensive, et on va étendre la sanction des entendes de prix à tout ce qui est l’objet des spéculations du commerce (Crim – 8 Décembre 1836). Néanmoins, ce texte reste peu appliqué et les poursuites pénales sont très peu fréquentes même lorsqu’il a été modifié en 1926 pour assouplir les conditions d’application. En comparaison, les Etats-Unis vont adopter en 1890 le Sherman