Cedh 22 Novembre 1995

qu'applique le JA se sont des principes non écrits issus de la tradition juridique française et que le JA pourrait dévoiler en raison de la portée générale. Cette théorie est une fiction, car ces principes reposent en réalité sur du droit écrit (DDHC/ C°/CEDH). Principal problème avec les PGD c'est la valeur normative, la JP a hésité. Aujourd'hui, d'après CHAPUS les « PGD ont une valeur infra-législative et supra-décrétale ». Ils se situent au dessus des règlements mais en dessous des lois. Les PGD ont

européenne des Droits de l'Homme (CEDH), fut le premier traité légal du CoE à protéger les droits de l’homme, ainsi que le premier traité international relatif aux droits de l’homme à avoir des mécanismes applicables. Il est inspiré de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de l’ONU (1948), qui fut signée à Rome le 4 novembre 1950, et qui est entrée en vigueur le 3 septembre 1953. Seuls les membres du CoE peuvent être signataires de la CEDH. Le préambule de la CEDH assure « la sauvegarde et le

droit d’agir en justice abouti parfois à une inflation du contentieux administratif (augmentation de 6% par an). Il faut aussi avoir à l’esprit l’existence de règles de droit international qui vont modifier la donne : on parle ici du droit de la CEDH et de l’UE. *Le droit communautaire concerne le droit privé, mais il ne faut pas oublier que le vecteur de cette règlementation est l’ensemble des directives et des règlements qui devront s’appliquer en France à travers une transposition[3]⋄ il

qualifiés d’actes législatifs les actes dits : -lois de Vichy (CE, 22 mars 1944, VINCENT) -ordonnances du GPRF (CE, 22 février 1946, BOTTON) -ordonnances de l’art. 92 de la constitution (CE, 12 février 1960, EKY) En ce qui concerne l’art. 16 (CE, 2 mars 1962, RUBIN de SERVENS), seules les décisions du domaine réglementaire vont rentrer dans la compétence du JA. Enfin pour les actes pris en vertu de la loi du 13 novembre 1962 relative aux accords d’Evian (CE, Ass, 19 octobre 1962, CANAL)

république semble inéluctable. Seules 4 personnes peuvent saisir le CC : PDR, PM, PDT de l’AN et PDT du sénat. Mais trois premiers était d’accord. Seule possibilité pour saisir : pdt du Sénat PDT sénat a saisit deux fois CC. Alain Poher pour ratifié CEDH. (35 ans a la ratifier). Rôle important dans défense des LP. CC a déclaré le texte qui lui été soumis non conforme a la C°. Dans ses visas le CC se contentait de dire « vu la C° » habituellement > ICI, il a ajouté « , et notamment son préambule »

jugé dans un arrêt comme une personne privée alors même que ce syndicat dispose de prérogatives de puissance publique, CE, sect., 13 janvier 1961, Magnier. Idem pour les fédérations de chasseurs, pour les centres de lutte contre le cancer TC, 20 novembre 1961, Centre régional de lutte contre le cancer « Eugène Marquis ». En conséquence, le simple but d'intérêt général et la simple détention de prérogatives de puissance publique ne suffisent pas à la qualification de personne publique. * B –

Constitution du 4 octobre 1958. En outre, le Conseil constitutionnel a reconnu à la liberté de conscience une valeur constitutionnelle en la hissant au rang de principes fondamentaux reconnus par les lois de la République dans une décision du 23 novembre 1977. Le principe de neutralité du service public, c'est-à-dire des organismes destinés à la satisfaction des besoins collectifs, quant à lui, a été pendant longtemps confondu avec le principe constitutionnel de l’égalité des usagers devant le service

demandeur peut invoquer l’article 1147 du code civil. Il existe également différents cas de jurisprudence qui pourrait venir en aide au demandeur. On peut citer par exemple deux jurisprudences de la Cour de Cassation, celle de l’arrêt Perruche du 17 novembre 2000 et ainsi que celle de l’arrêt d’assemblée plénière datant du 13 juillet 2001. Tout d’abord, l’article 1147 du code civil énonce : «Le débiteur est condamné, s'il y a lieu, au paiement de dommages et intérêts soit à raison de l'inexécution

individuelles L1121-1 du code du travail L’identité humaine, les libertés individuelles ou publiques : lois du 6 janvier 1978 article 1. Textes internationaux : Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales du 4 novembre 1958 article 8 (respect vie privée, correspondance, pas d’ingérence d’une autorité publique sauf si prévue par la loi nécessaire (sécurité publique, nationale, bien-être économique du pays, défense de l’ordre, prévention des infractions pénales,

doit être « juste et équitable garantissant l’équilibre des droits des parties » (Conseil Constitutionnel, 2 février 1995) Article 34 et 66 de la Constitution, c’est le législateur qui a la compétence pour rédiger les règles de PP (pas le cas en PC), vise l’autorité judiciaire comme gardienne des libertés individuelles, notion de recours au juge, droit au juge, sens de l’art 66 C°. CEDH dont surtout JP de l’article 6 paragraphe 1 de la Convention ; et textes internationaux 2 – La procédure pénale