Cétose

B A) On considère dans cette question le métabolisme du glucose et le rôle de la régulation. i. Quelles réactions sont faites par les enzymes (4 points) 1. Phosphogluco-Isomérase (PGI) Inter-conversion de l'aldose de Glucose 6 phosphate en le cétose Fructose-6-Phosphate (voir diagramme). 2. Phosphofructokinase (PFK) Transfert d'une groupement phosphoryl de l'ATP a Fructose-6-Phosphate pour donner de l'ADP et le Fructose-1,6-bisphosphate. ii. L'enzyme glucose-6-phosphate déshydrogénase

۰ Que sont les monosaccharides ? Où en trouve-t-on ? Sont-ils solubles dans l’eau ? Cite 3 exemples (avec leur formule) Les monosaccharides sont les glucides les plus simples et ne sont pas hydrolysables. Il y a deux types : les aldoses et les cétoses. On trouve les monosaccharides dans le miel, les fruits, les baies, les légumes. Les monosaccharides sont très solubles dans l’eau. Le glucose, le fructose et le mannose. Ils ont tous la même formule chimique (avec des configurations différentes) :

réanimation pour cause d'acidocétose diabétique suite a un malaise au domicile de ses parents (une élévation excessive de l'acidité du sang due à une accumulation d'éléments appelés corps cétoniques, associe une hyperglycémie, une acidose métabolique, une cétose excessive), il a été mis sous insulinothérapie en perfusion. Le patient est allergique à la pénicilline et a subi une appendicectomie. A l'examen clinique le 12/09/11 Mr O mesure 1,80m, pèse 61 kilos. Il a une TA à 92/56 Il a une glycémie

aboutissant à la perte d’une petite molécule (ici de l’eau). La liaison osidique est une liaison éther (C-O-C) résultant de la condensation (perte d’une molécule d’H2O) entre l’hydroxyle réducteur du carbone anomérique (C1 pour les aldoses et C2 pour les cétoses) (OH hémiacétalique en position α ou β) et l’hydroxyle d’un autre ose. Trois types de liaisons peuvent se former : - OH hémiacétalique + OH alcool primaire C6 (OH de C1 libre donc diholoside réducteur) - OH hémiacétalique + OH alcool secondaire

b- Est actif sur la lumière polarisée. c- Peut être obtenu par réduction d’un aldose D ou L d- Peut être obtenu par réduction d’un cétose. CH2OH 5- Le glycogène est : a- Un polyoside b- Fortement ramifié c- La réserve glucidique des animaux supérieurs CH3 d- Ne renferme que des liaisons

ESP BIO 2· La première consiste à préparer les réponses aux questions sur le diabète posées ci-dessous (p. 4). Certaines de celles-ci seront choisies pour l’évaluation qui aura lieu à la semaine d’examen. · La seconde tâche consiste à analyser le contenu d’articles scientifiques (2 ou 3) traitant d’aspects particuliers du diabète et à tracer les liens qui s’imposent entre leur contenu et les réponses obtenues pour la première tâche. QUESTIONS· Expliquez les différences entre le diabète de type 1

Sx : polyphagie, polyurie, polydipsie, perte de poids, faiblesse, fatigue, glycosurie.Causes : excès de nourriture, manque de mx antidiabétiques, inactivité, stress, mauvaise absorption d’insulineTx : hydratation, insulinesyndrôme hyperosmolaire sans cétose (type 2) : polyurie, polydipsie, déshydratation. Client type 2 produit un peu d’insuline donc jamais dégradation des protéines et lipides donc aucun corps cétoniques mais osmolalité sérique très élevé dû au taux de sucre élevé ds sang/en mesure de

physique) car elles augmentent les besoins en insuline que le diabétique n’assure pas tjrs. III) Physiopathologie Causes déclenchantes Déficit sévère en insuline Acidocétose Hyperglycémie (> 4g/L) Polydipsie Cétose Acidose - Respiration de Küzssmaul Glycosurie massive (> 100g/L/24h) (gde respi, arrêt) Odeur pomme - Nausées, vomissements Reinette surie de Polyurie l’haleine + urines Diurèse

liquides dans les voies respiratoires ou la gorge, - Une déglutition douloureuse. 23) Citez 3 signes cliniques observables lors d’un dysfonctionnement de la régulation hormonale du pancréas et évoquant un diabète - Une hyperglycémie, - Une cétose, - Une acidocétose, - Une glycosurie, - Une polyurie, - Une perte de poids. 24) Citez 3 signes cliniques observables lors d’une pancréatite aiguë ou chronique - Une douleur abdominale aiguë épigastrique irradiant dans le dos et/ou vers

80-90% Age du début Moins de 30 ans Plus de 30 ans Poids initial Sujet non obèse Sujet souvent obèse Mode de début Souvent brutal Insidieux Envie fréquentes d'uriner et soif Marquées Peu marquées perte de poids Présentes Absentes Acido-cétose (sans traitement) Habituelle Absente Traitement injections d'insuline, HbA1c = 7% Mais aussi Arrêt du tabac Bon contrôle de la pression artérielle Normalisation du taux de cholestérol pas d'injections d'insuline, parfois antidiabétiques