Champ Lexical De Verbes

- Les différents registres Le registre désigne la tonalité générale d’un texte, liée à des genres ou des procédés d’écriture. Admiration, pitié, joie, angoisse, amusement, sont créés par les différentes composantes du texte (choix du thème, champs lexicaux, agencement des mots…) Le registre lyrique Associé à la lyre d’Orphée, prince des poètes, le registre lyrique vise à traduire les émotions et les passions du locuteur, comme la mélancolie, la nostalgie, les regrets, la douleur, mais aussi

ekphrasis (= c’est une figure qui consiste à mettre sous les yeux du lecteur une description rappelant un autre art que la littérature : la peinture, la sculpture, etc) * Temps des verbes : présent * Champ lexical des couleurs * Champ lexical des arts plastiques * Champ lexical de la musique * Champ lexical du théâtre * « cristal » l. 1 : optique * « des ciels gris de cristal » l.1 métaphore * Allitération en [an] l.2 * Allitération en [l] l. 3 et 4 : canal, élément fluide

grâce à une entrée « in medias res », à la perception du temps et à l’évocation du cadre a) une entrée « in medias res » - le lecteur est plongé au cœur de l’action, du drame, par - « tenterait-il », « frapperait-il » deux verbes d’action  l’action a donc commencé et ces deux verbes nous plongent dans les interrogations d’un personnage devant l’action à accomplir - personnage dont on ne connaît quasiment rien :  Cette première page, si elle nous dévoile le prénom du personnage « Tchen », ne nous dit

dans la description de la guerre- Antithèse entre harmonie et enfer (le regard naïf de Candide se traduit par un euphémisme « Ota du meilleur des mondes… ») = Le personnage ne prend pas conscience de l’horreur de la guerre (les verbes se référant à Candide ne sont pas des verbes d’actions)- Décalage : entre l’attitude du personnage qui apparait comme un voyageur devant cette horreur - Antiphrase : « héros » = pour Voltaire ce n'est pas un héros + « boucherie héroïque » = "boucherie" détourne "héroïque"c)

une œuvre d’art, perfection b) Une approche réaliste _ Quelques critiques/balancements « déteint » (11) « poils » (16) « pâle » (12) « trop aiguë » (18) inscrit le personnage dans un cadre réaliste/naturaliste, personnage imparfait _ champ lexical de la vue « apercevait » (12) « distinguait » (17) impression d’un « portrait » statique _ Utilisation de modalisateurs « semblait » (10) « on aurait » incertitude de la description, cadre réaliste _ Anaphore de « elle » en début de Chaque

est présenté par le champ lexical de repos et de fatigue “à loisir étaler mes vieux os” “Et dormir” le vieillissement renvoie à la lassitude qu’il prouve La mort ici est valorisée et semble être un soulagement, un échappatoire pour le poète exprimé dans ce poème macabre comme le montre le champ lexical de la mort “fosse” “os” “oublie” Mvmt 2 le poète refuse de laisser une trace de son existance Je hais les testaments et je hais les tombeaux ; répétition du pronom “je” +, les verbes de volonté ”hais”

TEXT 9 - LATexte 9: Candide Problématique: Comment Voltaire utilise l’ironie pour critiquer la guerre? 1er mouvement: Une description spectaculaire 2ème mouvement: Brutalité de la scène 3ème mouvement: La fuite de Candide Transition: La scène est perçu du point de vue de candide, il admire la grandeur de la guerre … de loin. Son apprentissage est fait d’admiration et de peut ce qui le rend paradoxale. Le lecteur perçoit donc déjà l’ironie cruelle de cet épisode. Citation Procédés Analyse

l’inspiration | |Outils indispensables pour le décryptage du texte | |Le type de texte, la versification, les sonorités, l’énonciation, | |les valeurs des temps et modes des verbes, les adjectifs antéposés | |et postposés, les adverbes, le champ lexical, champ sémantique, | |connotation, dénotation, la syntaxe, la ponctuation, les figures de | |style, le niveau de langue, les modalisateurs… | 1. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux

fin du texte, le champ lexical de la solitude est présent. Dès la première strophe, Lamartine est sur un « sentier solitaire ». On sent qu’il est abandonné par tout le monde : « A ses regards voilés, je ne trouve plus d’attraits, c’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire ». Vers la fin du texte, l’auteur a un léger doute : « peut-être dans la foule, une âme que j’ignore ». Nous pouvons conclure que Lamartine est exilé, seul dans la nature. 2) Le principal champs lexical de ce poème est

du couple. Les deux seuls rimes du poème "di" et "oir" marque l'idée d'un face à face entre ce couple. Il y a très peu de description de la femme, le poème reflète surtout un geste quotidien, la répétition de vers entier ainsi que l'imparfait des verbes marque l'idée d'habitude. Ce mouvement est un mouvement de douceur, le poète suggère "un air de harpe" au vers 9 puis "ses patientes mains" au vers 4.C'est ce geste de douceur qui fait renaître des souvenirs communs au poète. Le "je" dans ce poème