Champ Lexical Du Combat

embarquée dans un frêle esquif (voir le champ lexical de l’eau : enfle, onde, abyme, nef, péril, rompre (à propos de la vague). Voir la thématique baroque de la mer P 2 : Tout m’assaut : la chair dont l’effort m’esbranle (me fait vaciller). Quel appuy sans tomber me donneras-tu ? Ton invincible main ? Et quoy ? mon dieu, je sens combattre maintes fois encore avec ta main ceste chair. Mais non pourtant, ta main sera l’appuy où mourra c’est effort. Champ lexical de l’assaillant, de l’équilibre : assaillir

de Horace et Sabine(Curiace), de Curiace et Camille (Horace). Une guerre éclate entre les deux cités, un combat est organisé entre les trois frères Curiaces pour Albe et les trois frères Horaces pour Rome. Au final, les deux frères Horaces et les trois frères Curiaces meurent. Horace doit maintenant affronter le désespoir de sa sœur Camille qui a perdu ses frères et son fiancé lors du combat. Cet extrait se situe à l'acte IV, scène 5, v.1268 à la fin. Qu'est-ce qui incite Horace à assassiner sa

Hitler au nom de la Liberté. I) Un poème évoquant la guerre : - Ce poème évoque largement la guerre, avec la présence du champ lexical de ce thème très présent : « guerre », « bat », « combat », « bataille », « battait », « sang brûlant », « salpêtre », « émeute », « battant » »assaut », « révolte », « liberté ». - Parallèlement à ce champ lexical de la guerre, il y a le champ lexical du bruit qui rappelle le martèlement des tambours de la guerre ou les coups de feu : « rythme », « tel bruit », « répande

| | |Lexique |Connaître le champ lexical du portrait physique |Etudier le champ lexical de la guerre et du combat (début) | | |Connaître le cursus honorum |Reconnaître

Plan : I Les méfaits de l'Opinion A- Une dénomination de la pensée réformée péjorative.B- Les victimes de l'Opinion II La dénonciation de l'opinion A- Champ lexical de la violenceB- Champs lexical du désordre III Un texte engagé A- La position de RonsardB- Caractère engagé du texte I- Les méfaits de l’Opinion A- Une dénomination de la pensée réformée péjorative. .Opinion (doca en grec) : lexique péjoratif, signifie le sens commun, vs paradoxe, qui induit la réflexion et la pensée. .Ce monstre :

et celle de Katow ensuite ) : quelle est notre position en temps qu’être humain par rapport à la mort, et comment en supporter sa lourde charge ? I. VISION DE LA MORT • On trouve dans ce texte une omniprésence de la mort, avec notamment son champs lexical, ainsi qu’une récurrence de ce mot, trahissant l’inquiétude de Kyo. Cette mort est en lui, il la connaît (« il avait beaucoup vu mourir ») et il l’accepte : « qu’il est beau de mourir de sa mort », mais elle l’entoure également : « ...comme chacun

contre cette fatalité : la passion. On remarque que la Princesse de Clèves cède à la raison contrairement au Duc de Nemours qui suit sa passion. Pathétique (pathein « souffrir ») : On remarque un peu de pathétique dans cet excipit de roman, avec le champ lexical de la souffrance, de la mort : « sa maladie » (l.4) « expire la douleur » (l.31) « accablé de douleur » (l.35), « mort » (l.9). Par exemple ligne 30 et 31. Il fait éprouver au lecteur de la pitié pour les personnages Epique : On retrouve dans ce

par ailleurs la dureté des combats pendant la guerre grâce à la gradation ascendante « se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres » ce qui illustre aussi les ravages engendrés par la guerre. Parmi les nombreuses conséquences de ces ravages, les « veuves » et les « orphelins » sont présents dans la population touché de ce drame. Donc, les procédés littéraires présents dans ce texte sont une gradation ascendante aux lignes 6 et 7, un champ lexical qui évoque la guerre éternelle

romain et sa belle étant reine en Orient. Leur séparation devient doncobligatoire comme Titus ne peut abandonner son peuple pour son cœur. Avant d’affronter Berenice Titus se livre à un combat intérieur présenté sous forme de monologue dans le texte, Acte IV scène 4. Nousmontrerons comment ce monologue expose le combat entre Titus empereur et son devoir envers Rome, et Titus amoureux de Berenice. Nous analyserons tout d’abord un dilemme entre l’amour et le devoir puis lavoix de Rome et les yeux de Berenice

l’incapacité de pouvoir venir en aide à son ami : « Rieux jugea impossible de les ouvrir » (l.3), « il ne pouvait rien contre ce naufrage » (l.9), « les larmes de l’impuissance » (l.10), « sans armes et sans recours » (l.10). De plus, la présence du champ lexical du naufrage contribue à mettre en relief l’impuissance du héros face à la situation. Tout d’abord, Tarrou est comparable à un marin face à une tempête. La corde du voilier rompu, il fait naufrage, incapable de surmonter la nature : « Tarrou dérivait