Champ Lexical Du Regard

narrateur provoque au lecteur le sentiment d'être ému par le départ de sa petite amie « un matin, je vis sa place vide dans le lit » (l.4). Le personnage est ici présenté comme une sorte de victime, le thème est lié à la souffrance et il y a le champ lexical de la souffrance et de la culpabilité « intenable; ma faute; quelqu'un sur la conscience; personne peut m'aider; j'imaginais le pire; me sentis responsable. »(l.6 à 9). Il y a même une hyperbole quand le narrateur dit que c'est

rougir comme si elles se trouvaient nues pour la première fois, de pudiques épaules qui avaient une âme, et dont la peau satinée éclatait à la lumière comme un tissu de soie. Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complètement fasciné par une gorge chastement couverte d'une gaze, mais dont les globes azurés et d'une rondeur parfaite étaient douillettement couchés dans des flots

Séquence 2 : la peste d’Albert camus 　Objet d’étude : le roman et ses personnages , vision de l’homme et du monde Problématique : en quoi le fléau qui s’abat sur la ville d’Oran est-il révélateur du regard que porte le romancier sur l’homme et le monde ? Séance 1 : lecture analytique n °1 , pages 11 et 12 , du début «　hasard des cartes　» Comment est décrite la ville d’Oran ? Est- ce une ville originale, digne d’intérêt ? Plusieurs adjectifs : ordinaire (l5) , tranquille(l8) , neutre(l13)

est sujet de certains verbes d'action, par exemple au vers 12 "Sourcil qui chasse et provoque les nues". C'est donc une sorte de métonymie. Le poète fait ressentir le plaisir mais aussi la souffrance que dégage ce sourcil car il dit emploi un champ lexical de la mort "funèbres",'ténèbres","dolente","mort".C'est don c son rapport avec les femmes et l'amour qu'il décrit ici, un rapport beau mais qui a sa part de souffrance.Il y a une présence implicite mais très forte de l'amour. Prenons maintenant

question de la raison. Dans les deux textes le champ lexical de la folie est utilisée; Dans l’extrait de l’horla, «  Perdu la raison », « reconquis la raison », « éperdu d’étonnement », « contemplais », « somnambule », « étranger inconnaissable, invisible », « qui comprenda », « sain d’esprit », «  plein de raison ». Dans l’extrait de l’ouvrage pédagogique « diable, personnage fantastique, double, la partie brimée, inavouée, refoule par la raison, regard autrui et la morale, a travers le rêve, sosie

marque le pivot du sonnet et du discours du poète . Ainsi apparaît alors la forme affirmative « j'écris à l'aventure » Le poète semble prôner une poésie spontanée ( voir hémistiche 2 v 8 ou la concordance vers/syntaxe est restitué) 3)Champs Lexicaux: Poésie Rejetée : Recherche: Sonder ; Fouiller ; Chercher ( verbe du premier groupe en 2 syllabes en fin de 1°hémistiche). Art Visuel Ostentatoire: Peinture, Tableau, Dessiner, Architecture. Poésie Rejetée: Argument, Vers, Écris

pronoms. Au début, il utilise la première personne, qui est la principale marque de sa présence comme locuteur ; néanmoins, les verbes qui suivent les pronoms ne sont pas celles qui montrent une forte affirmation de ses idées: « j’ose dire » et « je regarde ». Une occurrence du pronom-objet affirme cela: « me parait être ». Après ces trois occurrences, il ne reviendra jamais à réutiliser le « je », ou du moins, pas dans cet extrait. A la ligne 6, il utilise la première personne du pluriel : « malheureusement

» (l.2) nous place dans le registre de l’émotion.Le champ lexical du pathos (=sentiment) nous le confirme :« malheureux » (l.2), « trahi » (l.2), « trahie » (l.2), « trompeuses » (l.3), « passion » (l.3), « mortel désespoir » (l.5), « cruauté » (l.5).Ces termes renvoient au sentiment de solitude et d’isolement

___Cette utile curiosité, en servant à m'instruire, m'apprit encore à dissimuler: forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m'entouraient, j'essayai de guider les miens à mon gré; j'obtins dès lors de prendre à volonté ce regard distrait que depuis vous avez loué si souvent. Encouragée par ce premier succès, je tâchai de régler de même les divers mouvements de ma figure. Ressentais-je quelque chagrin, je m'étudiais à prendre l'air de la sécurité, même celui de la joie; j'ai

travers le détail physique des yeux, du regard. Pour cela, il utilise des champs lexicaux afin de nous faire découvrir l’apparence physique, la décrivant comme un peintre dessinant un nu. On retrouve ainsi le champ lexical de la géométrie « courbe, tour, rond …. » évoquant l’idée de forme du corps, de rondeur chez la femme, mais également celui de la perception du regard de l’auteur « auréole, berceau, ailes, couvées, astres, douceur, innocence, yeux purs, regards » Le titre lui-même est évocateur de