Chrématistique

monnaie internationnale , utilisée pour que l’individu aille qq temps dans d’autres cités (mais revient toujours) * Les échanges doivent être minimisés et effectués par ordre public : AUTORITARISME 3) Aristote et les question de la chrématistique « Politique » Question de l’art de l’acquisition 2 types de valeur => valeur d’usage (propre à l’objet) But naturel * Valeur d’échange (impropre) = 2 manières d’utiliser un objet

sur les individus, la politique est donc la science souveraine (hiérarchiquement) 3. distinction entre bonne et mauvaise chrématistique Dans une économie, il existe une partie prépondérante appelée la chrématistique, ie l'art d'acquérir des biens et des richesses (le chef de famille doit apporter des richesses à sa famille pour bien administrer la maison) - la bonne chrématistique : art d'acquisition naturel et légitime : se procurer des biens et richesses en vue de satisfaire des besoins eux-même

notre rapport avec l’argent. [...]   Aristote distinguait ainsi l’usage normal de l’argent - l’économique -, et l’usage anormal - la chrématistique. L’économique est l’art d’acquérir « les biens nécessaires à la vie et utiles soit au foyer domestique soit à l’Etat », et elle se borne à cela, se satisfaisant le plus souvent du troc sans argent ; la chrématistique au contraire est née de l’augmentation des échanges de marchandises, qui a rapidement utilisé la monnaie. C’est pour avoir confondu ces

un homme doit le faire. Quand l’activité de commerce est introduite dans la Cité, toutes les activités humaines sont corrompues. Aristote développe ces idées fondamentales en désignant « chrématistique » toute activité qui existe dans l’acquisition des biens ou des richesses. Il distingue donc la chrématistique de ce qu’il appelle l’économie. L’économie d’Aristote c’est l’économie fermée par nature, c’est-à-dire domestique : la production pour la consommation familiale (on peut éventuellement y

TD d’Histoire de la pensée économique Dossier n°1 : Économie et morale : le cas de l’usure Commentaire du Texte 1 – Aristote : Les politiques Chapitre 9 de Les Politiques d’Aristote. Il y définit ce qu’est la chrématistique. La ​chrématistique désigne ce qui à affaire à la gestion/négociation des affaires​, particulièrement des affaires d’argent. Aristote a mis ce terme en avant pour décrire une pratique qui vise à ​accumuler des moyens d’acquisition​, qui vise à accumuler de l’argent/​monnaie

parle de cette économie comme une bonne chose, il considère que c’est un intéressant mais il perçoit quelque chose qu’il appelle « chrématistique » c'est à dire le penchant qu’ont certains individus à essayer de gagner de l’argent, de s’enrichir. La chrématistique n’était pas digne des citoyens d’Athènes qui devaient avoir une morale. Ceux qui se livrent à la chrématistique sont ceux qui viennent d’ailleurs, des non citoyens athéniens et font du commerce, « c’est une disposition extrêmement néfaste »

grande importance à l'économie, plus en temps que art que comme nécessité pour le bien d'une communauté. Et ainsi dans L'éthique à Nicomaque mais aussi dans Les Économiques, il fait la différence entre ce qu'il appelle l'économique et la chrématistique. La chrématistique c'est l'art de s'enrichir, cela vient du grecque Khréma : la richesse, la possession. Tout comme son maître, il condamne l'avarice. Pour lui, la monnaie pour la monnaie est un vice qui est contre nature et plusieurs siècles plus tard

temps qui l’est puisque celui-ci aurait pu vous enrichir. Dans un second temps il s’agit de la conception de temps et d’argent de la société moderne cette fois-ci. La notion de chrématistique apparaît dans une comparaison antithétique, selon Aristote c’est le commerce qui permet l’enrichissement et non la chrématistique qu’il trouve vaine. Franklin pense que c’est l’essence même de l’enrichissement : elle est productrice de richesses. En cela l’argent est le « médiateur universel », symbole de réussite

est fondée sur la satisfaction des besoins, sur la production et la consommation de valeur d’usage. Cette économie peut recourir au commerce, et à la monnaie, mais la monnaie ne sera qu’un instrument qui facilite l’échange, M-A-M.  Economie chrématistique fondée sur l’accumulation des objets, l’acquisition privée de la richesse, privilège des actions marchandes, monétaires. Ce qu’on cherche à obtenir dans l’échange c’est plus d’argent. C’est une économie qui vise l’accumulation des valeurs d’échange

métaux précieux. Aristote : la monnaie n’est pas la richesse. Il distingue « l’oeconomie » (art économique, économie domestique naturelle) et la chrématistique (art d’acquérir des richesses, commerce) qu’il juge condamnable. Il veut un régime économique proche de la nature et dont on se procurait des bien nécessaire à la vie. Tandis que la chrématistique a pour but l’enrichissement personnel et l’accumulation illimité d’argent. - La rupture : l’accumulation des richesses comme une fin en soi Recherche