Civ 2ème 28 Novembre 1984

s’occuper de son commerce. Les actes juridiques peuvent aussi être accomplis sans dire expressément qu’il s’agit des intérêts du maître de l’affaire. Le gérant peut avoir traité à son nom, mais au bénéfice du maître de l’affaire. Acte matériel : 28 février 1910. Deux cochers livreurs blessés dans un accident devant une auberge. L’aubergiste les recueille, les loge, les nourri le temps qu’ils aillent mieux. Pas de contrat. Mais l’employeur des livreurs a du rembourser l’aubergiste de ses frais

uniforme donc les communes et les départements ont été créés par la loi du 26 février 1790. Le Consulat parachève avec le révolutionnaire. Le conseil d’Etat est créé sous cette application par l’art 52 de la Constitution du 22 frimaire an VIII. La loi du 28 Pluviôse an VIII institue dans chaque département un préfet et un conseil de préfecture qui est l’ancêtre des tribunaux administratifs. Au début du XIXème siècle tout le décor est en place avec une administration nationale et locale. Le juge et

au sens de l'art 6. Sur cette matière pénal 3 décisions importantes : Arrêt Engel/Pays-Bay 8 juillet 1976 sur les punitions disciplinaire infligés à des militaires Öztürck/Allemagne du 21 février 1984 sur les sanctions répressives en matière routière. Cambell et Fell / R-U 28 juin 1984 sur les punitions disciplinaires des détenus. Au travers de ces trois décisions on constate que les sanctions disciplinaires selon la qualification nationale peuvent être considérés comme relevant de la

la possibilité de résiliation unilatérale ne portait pas atteinte aux principes de dignité, et le conseil a insisté sur le caractère contractuel de l'institution. On peut, contrairement au mariage, le rompre du jour au lendemain. (Décision du 9 Novembre 1999, commentée dans la revue «  droit de la famille 99  », commentaire n°6). Ceci étant, ce contrôle, à priori, est resté limité car il y a de nombreux textes qui ne sont pas référés au conseil constitutionnel. Il n'y a pas eu de saisine

des pompiers et constitution de la première Cie d’assurances contre l’incendie. En France, la 1ère société royale d’assurance fut constituée en 1786 et s’appelait la Royale vie. Son créateur, Etienne Clavière, obtint du CE le fameux arrêt du 3 novembre 1787 qui met un terme à la prohibition de l’assurance vie. Elle était considérée comme immorale car elle permettait de spéculer sur la vie humaine. Le CE, un an plus tard, rendit un arrêt obligeant à séparer les royales qui doivent être gérées

.................................. 28   Section  1  :  Au  commencement,  était  la  faute ....................................................................... 28   §1. La légitimité historique de la faute ........................................................................................ 28   §2. L’assise philosophique de la faute.......................................................................................... 28   Section2  :  L’objectivation

fin au contrat. En droit français, c’est le principe de la résolution judiciaire. Un contrat étant un accord de 2 volontés, pour le défaire, il faut 2 volontés selon le droit français. Néanmoins, la résolution judiciaire de l’art. 1184, al. 3 du c. civ, dans l’alinéa 1er mentionne la condition résolutoire qui est toujours sou entendue dans le contrat. La jurisprudence a évoluée pour admettre la résolution unilatérale. Arrêt fondateur de 2003. Mais pour éviter l’insécurité juridique, elle prévoit

naissance et de décès, mais un Acte d’enfant sans vie qui est mentionné sur le registre de décès (Art.79 ind.1-1 Code Civil). Une circulaire du 30 Novembre 2001 avait tenté de limiter l’application de cet article à l’enfant mort-né, soit un délai de 22 semaines aménorrhée, soit pesant plus de 500g. Mais par un Arrêt du 6 Février 2008 de la 1ere CIV, C.Cass a estimé que l’Art.79-1Al.2 ne subordonne l’établissement d’un acte d’enfant sans vie, né au poids du fœtus, ni à la durée de la grossesse. Ici

Arrêt du 3 novembre 1976 : la Cour de Cassation relève la différence entre un grand avocat d’un grand cabinet et son client grand infirme ému de recevoir une grande indemnisation qui accepte de payer de forts honoraires. i. Est-ce que toute menace constitue un vice de violence ?  Une menace légitime ne peut pas servir de base au vice de violence. (Commercial, 20 mai 1980)  La menace d’exercer une voie de droit est en règle générale légitime. Mais 3ème chambre civile, 17 janvier 1984 : « La menace

l'accomplissement ». Le texte impose une action au débiteur. Les tribunaux vont exiger de l'acquéreur qu'il présente des offres de prêts, qu'il prouve avoir fait des démarches, mais que cela ne correspondait pas à la clause de la promesse de vente. 3ème civ, 30 janvier 2008 : il appartient à l'acquéreur de démontrer que sa demande de prêt était conformes aux caractéristiques prévues dans la promesse de vente. Il arrive aussi que dans le contrat, dans la promesse de vente, on ait introduit une clause d'immobilisation