Comportement Organisationnel

Peut-on planifier le changement Organisationnel Cours de Mme Véronique Perret. Aline Murcia Pacal Servant Pierre Jouannel DEA 128 FC N°3 Peut on piloter le changement organisationnel Peut-on planifier le changement organisationnel ? Owner: Scope: Originator: Status: Document ID: Location: Aline Murcia, Pascal Servant, Pierre Jouannel Cours de la conduite du changement Véronique Perret Version 0.1 ID2004-02-21 C:\DEA128\CDO Change History Issue 0.1 Date 21-02-2004 Handled by Pierre

prise de risque et pro-activité dans les PME. Les résultats de cette étude indiquent que la culture nationale a une impact important et identifiable sur la volonté des organisations entrepreneuriales a s’engager dans la prise de risque et les comportements proactifs . Les implications de ces résultats pour chercheurs et la pratique sont discutées et les orientations des recherches futures sont suggérées. INTRODUCTION Les chercheurs ont compris depuis longtemps que les sociétés diffèrent dans

circonstances Gérer le changement organisationnel Motivation { Exigences d’efficacité: z { Efforts doivent permettre l’atteinte des objectifs Exigences d’efficience: z Efforts doivent permettre l’atteinte des objectifs de façon la plus économique et harmonieuse possible Pour comprendre et vaincre les résistances: { Établir les liens entre la motivation, la satisfaction, le leadership et l’exercice du pouvoir { Identifier l’importance du climat organisationnel sur la motivation, z L’ensemble

Auteurs : Stefano ZAN et Massimo FERRANTE Titre : Le phénomène organisationnel Éditeur : L'Harmattan, Coll. Logiques Politiques Année de publication : 1996 Les organisations sont présentent partout dans notre quotidien aussi bien d'un point de vue personnel que professionnel. L'essai « Le phénomène organisationnel » écrit par Stefano Zan et Massimo Ferrante nous explique ce qu'est une organisation et les différents aspects qui la compose. Le thème de cet ouvrage, est de démontrer le rôle

faire d’une firme sont encastrées dans sa mémoire organisationnelle et ils orientent les comportements individuels et collectifs, les échanges d’informations et les stratégies mises en œuvre. Par conséquent, l’acquisition de nouvelles connaissances technologiques dépend des compétences organisationnelles existantes mais elle se traduit également par l’évolution des procédures spécifique de résolution de problèmes ou des compétences organisationnelles d’une firme. Nous étudierons dans ce projet le processus

effets inattendus, aberrants sur le plan collectif d’une multitude de choix individuels autonomes et rationnels. Ils marquent le décalage entre les orientations de l’action collective et les intuitions des acteurs, et l’effet d’ensemble de leur comportement dans le temps. L’effet contre intuitif est au cœur de tout effort d’action collective et peut apparaître comme un dilemme logique inhérent à la structure des problèmes matériels à résoudre. Les moyens que nous utilisons pour atteindre nos fins

l’économie d’entreprise peut se décliner en plusieurs courants. Le point de départ est qualifié de théorie standard correspond à la théorie néo-classique qui repose sur deux piliers : - la coordination des comportements individuels est réduite au marché , - la rationalité des comportements individuels est réduite à l’optimisation. Toutefois, chacune de ces piliers va faire l’objet d’amendent. La théorie standard présuppose que le marché est l’unique mode d’allocation des ressources via le mécanisme

KARL WEICK, la construction du sens D’après un article de C. Roux-Dufort rouxdufort.ch@edu.edhec.asso.fr : « Le regard de Karl Weick sur la fiabilité organisationnelle » 3.1. La construction du sens comme cadre théorique « Au risque d’être schématique, il est possible de formuler de la manière suivante la question de recherche qu’il (Karl WEICK) pose : comment les acteurs parviennent-ils à réduire dans l’interaction l’équivocité des situations ? » (KOENIG, 1996, p. 62). L’équivocité est

personnelles décideur jouent un rôle clé lors de la prise de décisions. Elles déterminent ce qu'il juge approprié ou non et influent sur son comportement. Selon H.Simon, du fait de sa rationalité, l'individu ne va donc pas chercher la solution « optimale » (qui consiste à maximiser le rapport coût-bénéfice de son comportement) mais plutôt adopter un comportement qui lui assure un niveau minimum de satisfaction « séquentielle ». Dés qu'il sent avoir trouvé une solution qui satisfait au mieux son critère

les routines (1982) 3. Edgar Schein et la culture d’entreprise (1985) Le contexte de la rationalité limité d’Herbert Simon (1955) • « Le but est de remplacer le modèle de rationalité absolue (substantive) de l’homo oeconomicus par un type de comportement rationnel compatible avec l’accès à l’information et les capacités computationnelles que possèdent réellement les organismes, dont l’homme, dans leur environnement. » Herbert Simon, “A Behavioral Model of Rational Choice”, 1955. Dans ce contexte