Concile De Latran

vont profité des incertitudes du droit pour l’interpréter au mieux de leurs intérêts et pour le sanctionner de manière arbitraire. Les plébéiens sont le peuple, ils vont s’insurgés. Ils se réunissent dans des assemblées appelées conciles de la plèbe. Au sein de ces conciles ils élisaient des représentants, des tribuns. Par l’intermédiaire de ces tribuns, la plèbe va demander à partir de 462 avant JC, des lois écrites permettant de limiter l’arbitraire du magistrat. En 451 avant JC, les patriciens sont

l’islam contre lequel la lutte est déjà engagée avec la Reconquista espagnole. 3 | | Première croisade | Afficher cette section au format imprimable Les croisades débutent officiellement le 27 novembre 1095, lorsque le pape Urbain II, au cours du concile de Clermont (aujourd’hui Clermont-Ferrand), prêche devant une assemblée, invitant les participants à se porter au secours des chrétiens d’Orient et à libérer les Lieux saints. Cet appel est entendu, et beaucoup d’entre eux rejoignent les rangs de

l’Eglise sur le domaine peut porter une évaluation) temporel. Savoir-faire : mettre en relation des documents de nature différente Supports utilisés 1. l’Eglise est sous l’autorité du Pape doc 3 p 67 : une miniature sur le concile de Lyon : nature du doc. ? (expliquer ce qu’est un concile) ; qui sont es personnages ? décrire leur habillement ? où sont ils réunis ?décrire leur position respective ? chercher à côté la définition de cardinal ? q 5 doc 1 p 66 : nature du doc ? expliquer ce qu’est un

vers l’au-delà. Aller à la messe, écouter le prêtre, regarder les images qui décorent l’église, chanter… B- L’affirmation des pouvoirs et de la puissance de l’Eglise Voir diapositive n° + répondre aux questions + donner feuille sur les Conciles de Latran Concile: assemblée des évêques catholiques ou orthodoxes, il a une vocation universelle et est destiné à l'ensemble des fidèles. 1- La réforme grégorienne : XI siècle, Pape Grégoire VII (1073-1085). But : lutter contre les abus de l’Eglise, faire

parenté par le sang. Dès le IXème siècle, est posée la règle d’un empêchement dirimant entre personnes parentes par le sang jusqu’au 7ème degré canonique c’est-à-dire le 14ème degré civil. Il sera ramené au 4ème degré canonique par le IVème concile de Latran en 1215.             La “parenté” désigne la parenté spirituelle qui résulte de l’administration des sacrements de baptême et de confirmation. Elle crée un empêchement entre parrain et filleul, entre les parents de l’enfant et ses parrains

sont des lois votés par des assemblées populaires il peut s’agir soit des assemblées a Rome qu’on appelle comices qui rassemblent les citoyens selon caractères fiscaux et georgaphique. Il peut s agir aussi des habitants de la plebe que l’on appelle concile de la plebis qui a partir du début du 3e siècle avant JC voit leurs décisions (plebiscites) assimilés a des lois, on parle dans les deux cas de lois votés. Ces lois au départ sont rédigés par des magistrats de la cité qui émettent un projet auxquels

ethnique. Par un décret pris en 1516, le Sénat de Venise prescrit le rassemblement/confinement des juifs de la ville dans un îlot urbain spécifique, le geto novo (nouvelle fonderie). Ce faisant, il mit en application les recommandations du IVe concile de Latran de 1215 qui demandait une séparation physique entre juifs et chrétiens. Le ghetto était séparé du reste de la ville par la fermeture de ses portes à la tombée de la nuit. La concentration urbaine des juifs dans les villes ne date pas du XVIe

: « Les Juifs (…) doivent porter la marque de couleur jaune, qui les distingue de tous les autres gens et même qu'ils doivent toujours la porter (…) tant dans les juiveries, que hors des juiveries ». Ces dispositions remontent au quatrième Concile de Latran de 1215 qui mettait déjà en place la rouelle ou la roue, soit un morceau d'étoffe rond qui pouvait être trouée. En plus de cette marque jaune les Juives étaient contraints de porter le chapeau pointu : « et les femmes doivent la porter ouvertement

la culture ». Le tout, bien sûr, par l’effort humain prioritairement, Dieu restant très accessoire (le 21ème siècle est pétri de cet humanisme dont bien des évangéliques sont infectés !). 3. Certaines théories conciliaires (décisions, canons des conciles), émanations du raisonnement humain, remettent en cause l’autorité papale, et poussent logiquement les hommes vers la démocratie et l’indépendance par rapport à l’opinion tyrannique du « Saint-Siège ». La conception optimiste des humanistes en

puisé dans les écrits de Jean Scot Erigène, qui le fit condamner en 1204 par le pape Innocent III et, en 1215, par le IVe concile du Latran. Il enseigne la théologie et la philosophie à l’université de Paris. Il eut un grand nombre de disciples, parmi lesquels on remarque David de Dinan. On nomme ceux-ci les Amauriciens : un grand nombre d'entre eux furent jugés au cours d'un concile réuni à Paris en 1210, et brûlés en dehors de Paris, au-delà de la porte des Champeaux, après avoir été livrés à la justice