Conclusion De La Démocratie Athénienne

déterminés les bases de la démocratie Athénienne. Hippias, fils de Pisistras était le dernier tyran de d’Athènes, ensuite, Athènes fut pendant un moment une démocratie oligarchique (période des 4 tribus et donc des grandes familles : les plus riches). Le fondement de la démocratie se base sur une lutte de pouvoir entre deux hommes Clisthène et Isadora. L’une des réformes de Clisthène est de répartir le peuple athénien en 10 tribus : 10 dèmes (précédemment 4) en prenant des athéniens qui n’avaient pas

déshérités. Empire musulman qui ne sera jamais unifié, il croit jusqu’au 10ème siècle et puis va petit à petit s’écrouler. • Empire Otoman (1299-1922) o Sultan = Calif o Le plus connu Soliman le magnifique (16ème siècle) 3ème Leçon : Athènes, démocratie et philosophie Civilisation greco-romaine : La Grèce est géographiquement situé vers l’Asie. Le trajet d’Alexandre Le grand va jusqu’à l’Asie. L’empire romain est une ère géographique de la Méditerranée. C’et une ère géographique extrêmement

hellénistique. Mais l’histoire de la Grèce antique retient sans doute, Athènes comme la cité antique la plus célèbre jusqu’à nos jours. De cette cité l’on voit apparaître une nouvelle forme de gouvernement politique, la démocratie. Avec la démocratie, la jeunesse Athénienne avaient besoin d’une nouvelle formation pour intervenir dans la politique, ils la trouvèrent avec les sophistes. Ceux-ci enseignaient la vertu (areté) qui, pour eux, consistait à être un bon citoyen qui à travers une brillante

siècles après son invention par les Grecs, la démocratie, qui a été l’objet de critiques acerbes, redevient un idéal politique. La souveraineté du peuple est alors défendue par les penseurs. La démocratie prend cependant une forme différente que celle qu’elle avait connue durant l’Antiquité. Le principe de représentativité vient se greffer à celui de démocratie de manière évidente et nécessaire. En effet, la démocratie directe telle que l’ont connue les athéniens n’est plus possible du fait de la contrainte

médiques. Puis, jusqu’en 431, on assiste à la montée en puissance d’Athènes dans ce que Thucydide appelle la ‘pentékontaétie’. Et enfin, la confrontation des deux puissances et leurs alliés lors de la guerre du Péloponnèse (431-404). En 490, les Athéniens demandent l’aide des Spartiates afin de repousser les troupes perses de Darius Ier, commandées par Datis et Artaphernès le jeune, qui débarquent sur la plaine de Marathon. Ils sont prévenus par Philippidès, qui court d’Athènes à Sparte et revient

cette pièce mais à travers les réformes qu’il a mises en place. Aristophane s’attache donc à montrer le caractère néfaste que peut avoir une telle réforme sur la population athénienne. Ainsi, au travers des Guêpes, nous allons voir comment Aristophane cherche à monter les athéniens contre cet aspect de la démocratie athénienne et en quoi derrière cette attaque, il s’agit d’une violente critique contre Cléon. La pièce reprend la structure des comédies anciennes avec : le prologue (entrée et présentation

Sparte d'injecter dans ses institutions une dose, même très faible, de démocratie dans un système qui globalement est une oligarchie très stricte. Face à ce système spartiate, l'anti-modèle constitutionnel sera Athènes. Bien sûr les législateurs athéniens vont exiger une soumission des citoyens à la Cité et à ses lois mais sans pratiquer un nivellement égalitaire mais produit une masse de paria. L'esprit constitutionnel athénien du 7ème siècle avant J-C et bien sera un esprit aristocratique qui accepte

selon les contextes. « La notion de démocratie représentative ». Si cette notion est bien connue aujourd'hui, la démocratie représentative reste une notion problématique. Mettre côte à côte le terme « démocratie » et « représentative » est banal. Révolution française = la notion de « démocratie » et « représentation » sont différentes, voire opposées. « Qu'est-ce que le tiers État ? ». Discours de Seyes oppose dans son discours la notion de démocratie + représentation. « Le peuple ne peut

aborde la notion de l'irréductibilité du devenir et de la cité prisonnière du monde du temps. Ainsi le discours de Platon est au cœur de la réflexion grecque sur la polis et toute sa philosophie politique prend pour référence (ou pour cible) la démocratie athénienne. Avec Xénophon, déjà, la source sera autre. Sparte devient la cité par excellence dans la République des Lacédémoniens. Dans l'Anabase, même si l'armée est représentée comme une petite polis, l'importance du rôle du mercenaire est révélatrice

Ioniens ont demandé de l'aide pour conquérir leur liberté. Ils voulaient le choix de leur régime politique. Les Spartiates refusent (problèmes avec Argos) et les Athéniens apportent une aide mais une aide modeste (car Hippias intriguait avec les perses) Il ne faut pas imaginer que les perses vivaient complètement à part du monde grec. Les athéniens voulaient se débarrasser d'Hippias, ils envoient 20 vaisseaux, c'est peu et bcp à la fois car Athènes n'a pas bcp plus de vaisseaux et guerre avec Egine. Intervention