Configuration Bureaucratique Mintzberg

autre chose, c'est-à-dire à s'intéresser à la gestion interne des entreprises pour développer de nouvelles théories. Leur point fort consistait à créer des cadres conceptuels et des principes de management (Taylor,1911, Fayol, 1916, Barnard, 1938, Mintzberg, 1986). Aujourd'hui toutefois, peu de gestionnaires ont compris l'intérêt de la théorie des coûts de transaction. Par contre, les programmes de doctorat de management de haut niveau possèdent un cursus très développé sur cette théorie et les recherches

compte pour concevoir la structure de l’organisation. Le pouvoir relève à la fois du contrôle externe sur l’organisation, des besoins personnels des membres de l’organisation et enfin des normes sociales qui modèlent le comportement des individus. H. Mintzberg rappelle trois hypothèses sur les facteurs de pouvoir et leur implication sur l’organisation. Plus le contrôle externe qui s’exerce sur l’organisation est puissant, plus la structure de l’organisation est centralisée et formalisée. Un contrôle

Ensuite, la théorie des organisations a vu s'imposer d'autres concepts comme l'analyse symbolique. Cette discipline étudie les thèmes majeurs qui concernent les organisations à savoir, le pouvoir, les relations et les rapports sociaux, l’analyse des configurations et l’analyse de la communication dans les groupes. Le développement de la théorie des organisations a suivi les évolutions politiques, économiques et sociales qui ont marqué le XXe siècle. Née au début du XXe siècle, elle constitue le résultat

plutôt s’intéresser au comportement des individus dans les organisations alors que les sociologues vont plutôt s’intéresser au comportement de l’organisation et non pas au comportement des individus. A la suite de Max Weber, c’est le phénomène bureaucratique qui sera analysé et l’individu ne sera pris en compte que du point de vue de l’efficacité de l’organisation et non pas du point de vue de la satisfaction de ses membres. Les principaux auteurs sont Simon, Lewin, Argyries. Ce courant d’organisation

L’idéologie, Fayard, 1986. ▪ BOURDIEU P. – Réponses, Seuil, 1992. ▪ CHALVIN D. – L’entreprise négociatrice, Dunod, 1997. ▪ COMMARMOND G. et EXIGA A. – Le management par les objectifs, Dunod, 1998. ▪ CROIZIER M. – Le phénomène bureaucratique, Seuil, 1964. ▪ CROIZIER M. – Apprendre le management postindustriel, InterEditions, 1989. ▪ CROIZIER M. et FRIEDBERG E. - L’acteur et le système, Seuil, 1977. ▪ DELAVALLE E. – Pour ne plus gérer sans la culture, Revue Française

ces deux économistes est d’éviter que cette différenciation génère des disfonctionnements. L’objectif n’est pas forcément de réduire les disfonctionnements mais surtout de les gérer (par l’intégration). b) Coordination et mécanismes de liaison : Mintzberg a expliqué 5 mécanismes fondamentaux de coordination : 1- L’ajustement mutuel : Ca consiste à s’accorder par une communication informelle, implicite. On l’utilise dans des situations complexes et pas qu’au niveau des ouvriers. 2- La supervision directe

but d’en être l’icône. Aussi, dans le cadre de mon apprentissage en tant qu’organisateur, après avoir effectué un travail sur le management et l’organisation (fiche de lecture D.E.S.T. : Management, voyage au centre des organisations d’Henry MINTZBERG) et dans l’approche théorique qu’il m’est demandé, je me suis intéressé à ce mot si « tendance » : INNOVATION. Avant de partir dans ma réflexion (mémoire de troisième cycle), j’ai engagé un processus critique (rapport d’activité) puis j’entame désormais

relations internationales : – les modèles rationnels, auxquels on rattachera la théorie « réaliste » des relations internationales, les théories de la décision tirées de l’économie, la théorie des jeux, la théorie de la dissuasion ; –  les modèles bureaucratiques et la sociologie des organisations avec, évidemment, les contributions de Graham Allison ; –  les apports de la psychologie et de la psychologie sociale intégrant les phénomènes culturels et idéels, lesquels comprennent l’approche constructiviste

– LES PARTIES PRENANTES 52 3.3 – LES DEFIS CONTEMPORAINS DU MANAGEMENT 55 3.4 – LA RESPONSABILITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE 59 4.1 – LES STRUCTURES TYPES DE L’ORGANISATION 61 4.2 – LES STRUCTURES TRANSVERSALES 66 4.3 – LES CONFIGURATIONS ORGANISATIONNELLES 71 5.1 – LA FONCTION COMMERCIALE 74 5.2 – LA FONCTION DE PRODUCTION 81 5.3 – LA LOGISTIQUE ET LA LOCALISATION DES ACTIVITES 88 5.4 – LA RECHERCHE ET L’INNOVATION 92 5.5 - La fonction comptable 99

effet, la justice de l’échange ne porte pas sur l’égalité des termes de l’échange mais sur la vérification par les individus dela justesse de leurs anticipations sur ce qu’ils doivent recevoir en contrepartie de ce qu’ils donnent. 5.3. Notion de configuration ou d'arrangement de la situation L’entreprise est constituée de sous-groupes particuliers (directions au sens large, cadres, agents demaîtrise, militants syndicaux, groupes particuliers d’opérateurs, etc...) qui cherchent tous à imposer aux autres