Conflit Actionnaires Manager

ET L’INNOVATION 5.5 - LA FONCTION COMPTABLE 5.6 – LE SYSTEME D’INFORMATION 5.7 – LA MAITRISE DE LA QUALITE 5.8 - LA FONCTION RESSOURCES HUMAINES 6.1 - LES COMPORTEMENTS INDIVIDUELS 6.2 - LA MOTIVATION 6.3 - LES GROUPES ET L’ORGANISATION 6.4 – LES CONFLITS AU TRAVAIL 6.5 – LA CONDUITE DE REUNION 6.6 – LES PRINCIPALES THEORIES DU COMPORTEMENT HUMAIN 7.1 – DIRECTION, POUVOIR ET GOUVERNANCE 7.2 – LE LEADERSHIP 7.3 – L’ANIMATION ET LA COORDINATION 7.4 – LA PRISE DE DECISION 7.5 – LA CULTURE ET L’IDENTITE

des bénéfices 2. La logique managériale A- Le manager Le terme management est directement tirer de l’anglais, il signifie « gestion, direction, pilotage ». Le manager est celui qui fixe une stratégie et doit ensuite motiver les ressources et les énergies pour les mener à bien. Il a également une responsabilité de gestion, c’est-à-dire qu’il va tirer le meilleur partie des moyens dont l’entreprise dispose. Notre compréhension du rôle du manager doit beaucoup aux travaux du théoricien Français

du débat sur la gouvernance d’entreprise, dont il accompagne la mutation actuelle. Dans le cadre d’une gouvernance actionnariale, faisant primer les intérêts des actionnaires dans le processus de prise de décision stratégique, l’actionnariat des dirigeants s’inscrit dans une perspective d’alignement des intérêts dirigeants/ actionnaires. Dans le cadre d’une gouvernance partenariale, où sont pris en compte les intérêts de l’ensemble des partenaires de l’entreprise, l’actionnariat des salariés non-dirigeants

l’apprentissage de l’administration des entreprises dans les écoles d’ingénieurs et la réduction du poids des mathématiques dans les études supérieures. 3 – Bilan des approches classiques Ces approches (avec une nuance concernant Fayol) nient les conflits (la bonne organisation doit y remédier) et ignorent les facteurs externes à l’organisation. Elles supposent un « One best way » et déshumanisent le travail, les individus interchangeables (à poste et qualification équivalents). Le management y est

ces entreprises. L’analyse thématique de ces documents met en évidence la présence de 4 grands thèmes : Relations interpersonnelles Relations intra-organisationnelles Relations inter-organisationnelles Relations extra-organisationnelles Le manager a recours à la formalisation éthique car elle permet d’orienter son action en indiquant la manière par laquelle les droits des différentes parties prenantes sont préservés. Par conséquent elle est considérée comme un cadre de référence pour la prise

dans le Développement Durable. Dimension citoyenne de l’entreprise (ex : Leclerc, Toyota…). 9. Bien répartir ses clients. Le danger de dépendre d’un seul ou de 2 clients. La règle devrait être 10%. Etre manager éthique, c’est l’autorité par l’adhésion, c’est être au service des autres. Manager éthique Petit chef Les autres Moi Les autres Moi Les autres Moi Réflexion sur l’entreprise : Dans la finalité d’une entreprise, quel est le pourcentage à caractère financier ? A caractère social ?

ans, de plus en plus de pays participeront à ces négociations, appelées « rounds », qui s’étalent sur plusieurs années. En 1995, l’OMC succède au GATT, doté de moyens supplémentaires, comme un organe de règlement des différents pour régler les conflits commerciaux internes. Des accords de libre-échange, comme le Mercosur pour l’Amérique centrale et du Sud, l’ASEAN pour l’Asie, l’ALENA pour l’Amérique du Nord. Il existe actuellement plus de 150 accords de libre-échange dans le monde. La création

lutte de pouvoir entre actionnaires et managers. 3 - l’analyser « behavioriste » (comportementaliste) proposée par Cyert et March (1963) conduit vers deux observations : a) l’entreprise est une forme organisationnelle « complexe, constituée de groupes aux intérêts divers, dans des rapports simultanés de conflits et de coopération » ; b) la firme est le lieu d’apprentissages collectifs. => l’entreprise comme lieu et système de socialisation par les rapports de conflit-coopération et par les

SOMMAIRE 1. Partie 1 : Manager une équipe 2. Partie 2 : Construire une équipe 3. Partie 3 : Progresser en équipe 4. Partie 4 : Communiquer au sein d’une équipe 5. Partie 5 : Gérer les conflits dans une équipe 6. Partie 6 : Diriger une équipe MANAGEMENT DES RESSOURCES HUMAINES PARTIE 1 : MANAGER UNE EQUIPE MASTER 1 MOS 2007-2008 1. PARTIE DESCRIPTIVE Secteur : loisirs sportifs Organisation sportive : salle d’escalade MRoc Manager : Marc Ivorra 1

la structure de gouvernement d'entreprise et la gestion stratégique de l'entreprise et qui a remis en question la vision néoclassique ou libérale de l’économie «suprématie des actionnaires ». Cette vision traditionnelle de l'entreprise estime que le but de l'entreprise est de maximiser les intérêts des actionnaires. La théorie des parties prenantes se présente donc comme une tentative de fonder une nouvelle théorie de la firme intégrant son environnement avec lequel elle entretient des relations