Conseil départemental de Mayotte

Sokprapey FICHE DE TD DAG THEME 3 POUVOIR REGLEMENTAIRE ET ACTE ADMINISTRATIF UNILATERAL Pouvoir règlementaire Doc. 1 : Art. 13, 21 et 72 de la Constitution du 4 oct. 1958 Doc. 2 : CE, Sect., 26 juin 1959, Syndicat général des ingénieurs- conseils, req. n°92099 Doc. 3 : CE, Ass., 10 sept. 1992, Meyet, req. n°140376 Doc. 4 : CE, 27 avr. 1994, Mme B., req. n°147203 Doc. 5 : CC, déc. n°2008-571, 11 déc. 2008, Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 Actes législatifs Doc 6- CE

ne seront pas envisagées car elles n’ont pas pour objet direct et immédiat la satisfaction d’un besoin d’intérêt général. La mission de légiférer dévolue au parlement, la fonction de juger l’administration qui est dévolu aux juges administratifs (conseil d’Etat, les cours administratifs d’appels et les tribunaux administratifs), et non plus la justice, les relations diplomatiques dévolues à l’Etat. L’approche quantitative : on appréhende l’importance de l’administration française compte tenu du

vie-publique.fr) C – Le déféré préfectoral 1 – Le régime du déféré préfectoral Doc. 5 : Art. L. 2131-1 et s. du Code Général des collectivités territoriales V. CC, n° 82-137 DC du 25 février 1982, Lois de décentralisation (non reproduite ; v. site du Conseil constitutionnel) 2 – Les actes susceptibles d’être déférés au juge administratif Doc. 6 : CE, 4 novembre 1994, Département de la Sarthe Doc. 7 : CE Sect., 28 février 1997, Commune du Port 3 – Le délai du déféré préfectoral Doc. 8 : CE, 18 avril

des sources normatives alors on remet en cause l’indivisibilité de l’Etat, donc on se dirige vers le fédéralisme. Le Conseil Constitutionnel dans une décision du 17 janvier 2002 reconnait l’existence du pouvoir réglementaire de collectivités territoriales mais il assortit ce pouvoir d’une série de réserves destinées précisément à garantir l’indivisibilité du pouvoir central. Le conseil constitutionnel pose quatre réserves à l’exercice du pouvoir réglementaire territorial : - Ce pouvoir doit s’exercer

nationale aboutissent au blocage des institutions. Cinq gouvernements se succédent entre le 31 janvier 1956, date de l’investiture du Gouvernement de Guy Mollet, et le 1er juin 1958, date de l’investiture du Général de Gaulle, dernier président du conseil de la IVème République. Entre temps, le Gouvernement de Maurice Bourgès-Maunoury ne dure que trois mois et celui de Félix Gaillard, six mois. Ce dernier est renversé le 15 avril 1958 sans qu’un successeur puisse être désigné.  C’est dans ce cadre

mesures qu’implique nécessairement l’application de la loi. En dehors des cas ou le respect des engagements internationaux de la France y ferait obstacle. De plus selon l’article 72 alinéa 3 les collectivités territoriales s’administre librement par le conseil élu et dispose d’un pouvoir réglementaire pour l’exercice de leurs compétences. Cet article pose un pouvoir réglementaire subordonné à la loi. - Deuxième composante, la constitution consacre également l’existence d’un pouvoir réglementaire

un changement avec de Gaulle. Paragraphe 1 : les compétences présidentielles 1er, art 13, le pouvoir réglementaire : en principe quelque chose d’exception (complémentaire ai pouvoir du 1er ministre). Il signe les ordonnance et décrets pris en conseil des ministres (mercredi matin, le président convoque les ministres et l’Elysée). A l’origine le pouvoir complémentaire est le fait de compléter la loi (exécutif). Exécutif : le pouvoir d’exécuter la loi. C’est un pouvoir réglementaire qui à la lecture

privées, parfois créées par les collectivités publiques elles-mêmes (ex. : SEM —> société d’économie mixte) se sont mises à participer à la gestion des activités administratives, notamment en collaborant avec l’administration (ex. : les fédérations départementales de chasse et de pêche, les établissements privés d’enseignement primaire et secondaire sous contrat d’association avec l’Etat apportent leur concours à l’Administration) voire en assurant elles-mêmes la gestion de services publics (ex. : fédérations

guerre la confédération est supprimée => confédération helvétique CH. Tout comme les autres Etat fédéraux la Suisse est composé de certains nombre d’Etats fédérés = cantons. Il y a partage de la souveraineté entre la fédération et les entités. Le Conseil National Suisse, l’assemblée Fédéral et le tribunal Fédéral dans plusieurs domaine il y a une règlementation uniforme par exemple un code civil helvétique mais une seule armée etc. Cependant chaque canton possède sa propre législation, en matière

une deuxième partie réglementaire (décrets en conseil d’État). Les deux parties se composent de sept livres, déclinés en titres. Elles concernent des dispositions générales relatives à la répression, des crimes et délits contre les personnes, les biens, la Nation, l’État et la paix publique, des autres crimes et délits, des contraventions et des dispositions applicables dans les territoires d’outre-mer et dans la collectivité départementale de Mayotte. 1.11 - Droit pénal général Il étudie : −