Cour d'appel de Rennes

imposition supplémentaire. Elle n'y contestait nullement le principe de l'imposition, mais demandait seulement que lui soit appliqué le régime des plus-values et non celui du droit commun. Cette requête a été rejetée par le Tribunal administratif de Rennes par un jugement dont la société a régulièrement fait appel. Nous vous proposerons d'accueillir cet appel. En effet, il nous semble que le précédent déjà cité du 4 novembre 1970, qui fonde très largement la position de l'Administration, mais qui n'a

réalité préexistante prenant vie sur un support et marquée par l’empreinte de la personnalité de . son auteur. Les idées, elles, sont de libre parcours. Les droits de propriété intellectuelle UNE SIMPLE IDÉE UNE OEUVRE   Le tableaux végétal Cour d’appel de Lyon 30/06/2011 La callas : Apesteguy c/ Arte TGI de Paris 21/09/2010 Les droits de propriété intellectuelle  Les droits de propriété intellectuelle renvoient aux droits de l’auteur sur son œuvre.  Ils sont de deux types : Les droits

que le préavis aurait dû expirer le 10 novembre, l'employeur l'ayant réduit d'une semaine sans dispenser le salarié du préavis et sans l'accord de ce dernier qui n'a pas perçu l'intégralité de ses salaires pendant la durée légale du délai-congé. La Cour de cassation a estimé que l'employeur n'étant pas libéré de ses obligations, la relation contractuelle n'avait pas pris fin en dépit du départ effectif du salarié de l'entreprise. Le reçu qui, dans ces conditions, n'a pas d'effet libératoire, n'avait

clichés ne soient revenus que le 8 octobre. Le retard est alors considéré comme un préjudice pour le client préjudice. La société est alors reconnue responsable. => Pourvoi examiné le 7 février 2006 Moyen : Le juge aurait dénaturé le contrat  La cour de Cassation aura donc à rechercher si le contrat avait besoin ou pas d’être interprété. (def: Le juge dispose d'un pouvoir souverain pour interpréter les clauses d'un contrat ou les dispositions légales lorsqu'elles sont rédigées de telle manière

commune avait décidé d’ériger, contre les dispositions de l’article 28 de la loi de 1905, une gigantesque statue de Jean-Paul II. Le Conseil général avait voté une subvention de 4 500€ pour financer le socle de la statue. Le Tribunal administratif de Rennes a annulé la décision, car depuis le 9 décembre 1905 : « il est interdit, à l’avenir, d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soi ». Les 4 500€, versés illégalement, devront

17/11/2010     Cour de cassation   chambre criminelle   Audience publique du 8 septembre 2010   N° de pourvoi: 10-84174   Non publié au bulletin   Rejet   M. Louvel (président), président   Me Spinosi, avocat(s)       REPUBLIQUE FRANCAISE   AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS   LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE CRIMINELLE, a rendu l’arrêt suivant :   Statuant sur le pourvoi formé par :   - X... Pierre-Yves, contre l’arrêt de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de DIJON, en date

Docteur en Droit Expert-comptable – Commissaire aux comptes Expert près la Cour d’appel de Paris Agréé par la Cour de cassation Article 1843-4 du code civil / evAluAtion à dire d’expert / Jurisprudence / titres de société bombe à retardement lors d’évaluation à dire Pierre Loeper Ancien élève de l’Ecole Polytechnique Expert-comptable – Commissaire aux comptes Expert agréé par la Cour de cassation et près la Cour d’appel de Paris Président du CNCEJ (Conseil national de la Cie des experts de justice

Peut-on engager la responsabilité de l’hôpital alors même qu’aucune faute n’est constatée ? Pour les juges du fond, l’hôpital est responsable donc doit indemniser les victimes même s’il n’y a pas faute de sa part. Les juges de la cour de cassation pensent la même chose… Prétentions des parties / Solutions et portée : L'arrêt affirme que le service public hospitalier est responsable, même sans faute, des dommages causés à ses usagers par les produits et appareils de santé

société, aux droits de laquelle se trouve la société. Les Cliniques chirurgicales, lui avaient donné mandat, moyennant redevance de 5 %, de recouvrer les honoraires dus par leurs patients hospitalisés au sein de l'établissement ; qu'un arrêt rendu par la Cour de cassation le 17 juillet 1998 (B. V n° 401) a dit les forfaits "KFA et KFB" de sécurité sociale exigibles par les praticiens de leur spécialité ; Attendu que pour débouter MM. X... et Y... de leurs demandes de condamnation de la société à leur verser

Jur. p.2239, note J. Ghestin ; RTD Civ., 2004, p.290, note B. Fages et J. Mestre), la Haute juridiction rejette le pourvoi formé par le cocontractant qui, pour résilier le contrat, se prévalait d’un déséquilibre survenu dès sa conclusion. Selon la Cour de cassation en effet, il « ne pouvait fonder son retrait brutal et unilatéral sur le déséquilibre structurel du contrat que, par sa négligence ou son imprudence, elle n'avait pas su apprécier ». C’est ce qui explique, par exemple, qu’un franchisé