Courant Positiviste Ou Jusnaturaliste

vérification scientifique, sans quoi un juriste qui ferait passer pr vrai ce qui n'est ni vrai ni faux mais juste ses preferences ideologiques ferait croire que quiconque est en désaccord avec lui est dans l'érreur, il instrumentalise la science.Les positivistes sont attachés à cette frontiére qui sépare le savant et le polituqe, cette distinction. Le prof peut pour eux donner des jugements de valeur mais en tant que citoyen.En revanche le justenaturaliste lui, il prétend faire de la science du droit tout

duquel les droit ont été considéré opposables au pouvoir a connu une évolution dans l'histoire des idées, une distinction doit donc être faite selon que cette opposabilité soit défendue par des jus naturalistes ou des positivistes. 1. L'opposabilité dans la conception jusnaturaliste a. La théorie philosophique L'école moderne du droit naturel va édifier le droit sur la nature de l'homme. Les défenseurs des droits naturels c'est-à-dire de l'idée que les individus ont des droits, vont en faire

aux conditions qui garantissent la liberté de tous. Ces libertés sont regroupées sous le terme d' « OP ». La liberté s'exerce ici aussi sous la responsabilité de son titulaire. Le sujet est civilement et pénalement responsable. Dans le langage courant, le mot liberté a été appliqué à des droits qui ne sont plus aujourd'hui des libertés. C'est le cas des droits-créances. Ils consistent à revendiquer des droits vis-à-vis de tiers. Ex : Le droit au procès équitable, droit à l'instruction.... Ce ne

o La guerre limitée : c’est la guerre où on va essayer d’acquérir un avantage, de façon à ce que l’adversaire cède, on essaye de gagner des batailles et après on ouvre les négociations. Les problèmes de méthodes peuvent soit être positivistes donc considérer les faits comme des objets de manière causal et légal. On peut donc faire l’économie des idées et juste analyser le fait (préconiser par Durkheim). Les problèmes peuvent aussi être par la sociologie dites compréhensible (Weber)

On utilise également la distinction du prescriptif et du descriptif. En effet, les normes prescrivent des comportements tandis que les énoncés relatifs aux faits ne constituent qu’une description de la réalité. Une autre distinction est également courante, celle des faits et des valeurs. Les faits se rapportent évidemment à l’être. Quant aux valeurs, elles sont la base des normes : dire qu’il faut céder sa place aux vieilles dames dans le métro suppose une appréciation positive de ce comportement

ltre. On utilise galement la distinction du prescriptif et du descriptif. En effet, les normes prescrivent des comportements tandis que les noncs relatifs aux faits ne constituent quune description de la ralit. Une autre distinction est galement courante, celle des faits et des valeurs. Les faits se rapportent videmment ltre. Quant aux valeurs, elles sont la base des normes dire quil faut cder sa place aux vieilles dames dans le mtro suppose une apprciation positive de ce comportement et une apprciation

droit est partout. • Des termes courants n'ont pas la même signification en droit. Exemple: crime= homicide, mais pas en droit. En droit pénal on distingue trois types d'infractions=> 1. Contravention.    2. Le délit.   3. Un crime(le plus grave)   échelle de peines selon laquelle se faite la distinction.   Un arret par exemple c'est pas un stop; est une décision rendue par certaines juridictions. • Dans le langage juridique parfois on a certains termes courants qu'on peut pas utiliser en droit

Coutume : règles simplement acceptées et non élaborées directement par l'autorité 2) Raison ou volonté - Création du doigt par l'autorité publique : savoir d'où elle tire la règle - Démarche jusnaturaliste : idée d’un droit “reconnu” ( mais non créé) par la raison + droit procède de la nature Deux courants : quelle nature ?Jusnaturalisme classique (Aristote, Saint-Thomas) Jusnaturalisme moderne (Grotius) Droit gît dans la nature des choses C'est dans l'ordre cosmique, dans l'harmonie de la nature

universalité des droits et libertés. C’est se pose la question de savoir si les droits et libertés valent pour tous et en tout temps ou, au contraire, s’ils sont contingents, relatifs. - Le deuxième débat porte sur l’opposition entre les positivistes et les jusnaturalistes du droit. Section 1. L’universalité des droits et libertés. Pour le Professeur Mireille Delmas-Marty : « L’universalité des droits de l’homme renvoie davantage à l’univers mental qu’à l’univers réel. Affirmée par la Déclaration

Relations internationales A- L’état des recherches en Relations internationales B- Une tentative de définition des Relations internationales Section 2 : Les principaux courants de la discipline des Relations internationales P.1 : Le courant conflictuel A- La conception réaliste B- La conception marxiste P.2 : Les courants « solidaristes » ou de l’interdépendance A- La théorie fédéraliste B- La théorie fonctionnaliste (et la théorie systémique) Chapitre 1 : L’évolution des relations internationales