Courant Systémique

5                                                              Idem, p 165 GIP Expérience /CAFOC de Nantes Compétences clés et organisation de la formation Septembre 2009 3 2. Question de méthode : de la nécessité d’une approche systémique Nous pensons que pour atteindre l’objectif fixé, il faut agir en faveur du développement des compétences individuelles mais aussi d’une évolution des organisations de formation ou, tout du moins, de leurs process, ceci afin de rendre possibles

dit, il faut éliminer toute transformation qui n’ajoute aucune valeur au produit et qui est, en fait, reliée au processus lui-même. Jean NOLLET, Joseph KÉLADA, Mattio O. DIORIO et al., La gestion des opérations et de la production, Une approche systémique, 2 e édition, Montréal, Gaétan Morin Éditeur, Montréal, 1994, p. 52-53. 2 -6- 5. Les stocks de surplus, c’est-à-dire les produits qui ne font pas encore l’objet d’une commande d’un client. Il est primordial d’éliminer ce genre de stocks

problématique. Elle permet d’identifier : - La demande de service - Les capacités du client - L’état de son réseau de soutien - Le ou les facteurs déclenchants - La motivation - L’urgence de la situation L’approche court terme planifié systémique a cerné 6 questions auxquelles l’intervenant devrait pouvoir répondre suite à l’évaluation : 1. Quel est le principal problème selon vous? 2. Quel est l’impact de ce problème? 3. Quelle est l’histoire de la situation problème? 4. Quelles

renonçant au sport pour ses nouvelles fonctions de baby-sitter. a-t-il râlé quand il a entendu les confidences/critiques de sa mère concernant son père. Psychologue, psychothérapeute. Formatrice dans le Groupe de Formation et de Recherche en Approche Systémique et Thérapie Familiale au SSM Chapelle-auxChamps. Document téléchargé depuis www.cairn.info - Université Louis Lumière Lyon 2 - - 159.84.125.51 - 16/02/2015 09h10. © De Boeck Supérieur Maggy Siméon1 Maggy Siméon – – – Document téléchargé depuis

Les différentes approches managériales A – L’école classique B- L’école des relations humaines C- L’école néo-classique ou empirique D- L’approche socio -technique E- L’approche socio-économique F- L’école systémique G- Les approches les plus récentes H- l’approche stratégique :l’organisation stratégique II- quelques applications organisationnelles : A- structure et organisation B- description de postes C- gestion des compétences

dirigeants. Ensuite Alain BOUVIER démontre les évolutions de l’O.S.T. En effet, il explique qu’E. Mayo et J. Roethlisberger dans les années 1930 ont compris les limites de l’O.S.T et mettent en place une nouvelle approche plus « humaines » : le courant des relations humaines. Ils sont les « pères » des termes « équipes » et « leadership ». En suivant la technique de l’entonnoir, Alain BOUVIER exprime maintenant l’importance des groupes restreins dans l’organisation. Pour cela il s’appui sur « La

tant que raisonnement systématique des besoins, est utilisée depuis longtemps, notamment en architecture ( Viollet le Duc, Walter Gropius et l’école du Bauhaus, Le Corbusier, le « fonctionnalisme » ). Elle va s’épanouir dans le courant de pensée de l’analyse « systémique » des années 70, avec pour objectifs de :  modéliser des systèmes complexes dont il faut repenser l’organisation,  mieux appréhender les systèmes à fin d’amélioration et d’optimisation, de mise en œuvre de méthode « qualité ».

les sciences sociales aident à comprendre la complexité et à trouver des marges de manœuvre, des solutions novatrices. Ceci en se basant sur trois idées fondamentales que les auteurs des différentes disciplines sociales ont appelé la perspective systémique (l’entreprise est un système humain ouvert sur l’extérieur, composé d’acteurs en interrelation entre eux et avec des tiers, dans un contexte structuré par des règles, des procédures, des dispositifs et finalisé par des stratégies), le principe de

connaissance et que l’on passe d’un concept isolé à un réseau conceptuel qui permet d’élargir et d’affiner le diagnostic. Cette progression fait appel aux cours qui nous ont été dispensés par Jean Clénet, et qui associe à la pensée complexe (ou systémique) du courant d’Edgar Morin dans la prise en considération des interactions, des invariants dans la complexité d’un environnement. Si les modèles cognitifs répondent aux questions : Comment ça fonctionne ? Qu’est ce qui organise l’action ? Leur finalité

réalité est que ce management dont on cherche une dénomination transcende le cadre à l'intérieur duquel on veut souvent le confiner, car il devient, actuellement, trans, pluri ou multidisciplinaire. Dans notre étude, nous avons adopté le "management systémique", un être hybride qui naît du croisement de la science du management et de l'approche par les systèmes. Le vocable reproduit le caractère de multi—représentativité qu'il faut reconnaître au management moderne. Notre premier choix s'est donc porté